Les Jacobins

mois pour en tirer les conclusions. On ne peut nier que cette procédure constitue un indéniable progrès démocratique. A fortiori dans un pays comme la France où les grands corps ont toujours constitué le bras armé et volontiers autoritaire de l'État jacobin

moderne du terme. En gros, l’état français en 1789 va prendre la forme qu’il revêt encore aujourd’hui mais globalement, en retrouve un certain nombre de principes. (On se charge d’appliquer les décisions nationales au niveau locale = état jacobin France quelque peu jacobin). La France est toujours dotée d’institutions administratives puissante, le chef de l’état, le gouvernement, le ministère et si ces institutions sont toujours importantes, la franc et n’a pas fondamentalement changée. 1789, l’état français

ancêtre du JO), L’ami du Peuple, Le patriote français… Les clubs et sociétés populaires: JACOBINS: société des amis de la constitutions CORDELIERS: société des droits de l’homme et du citoyen FEUILLANTS: juillet 1791-août 1792. Le club Jacobin Les groupes politiques se multiplient. La liberté de réunion existant, les clubs bénéficient d’une grande liberté et se multiplient. Le plus important est le club des Jacobins. Création du club breton (crée lorsque les députés du Tiers Etat attendaient pour

b. Des philosophes qui contestent le droit divin c. Des Mouvements élitistes révolutionnaires 2 - Des « Clubs » révolutionnaires a. Société Patriotique b. Société des Amis de la Constitution (Jacobins) c. Les Etats Généraux contestataires 3 - Des valeurs qui se répandent a. Par la presse b. Par le peuple c. Dans toutes l’Europe III/ Un Roi qui a ses Faiblesses

donc à l’exécution de ce chef-d’œuvre dont la destination, voulue par la Constituante, était la salle des séances de l’Assemblée. Le destin du Serment du Jeu de paume est à l’image de la mouvance révolutionnaire : la souscription lancée par les jacobins pour financer sa réalisation n’aboutit point. La Constituante décida de financer l’œuvre de David aux frais du « Trésor Public », mais l’engagement progressif de l’artiste dans la Révolution et le fossé qui se creusa entre les modérés et les extrémistes

Attitude de l'Assemblée : elle se contente d'incarcérer le roi mais ne tranche pas quant à la nature du régime, renvoyant la décision à une nouvelle décision qui doit être élue fin août. On ne se prononce pas en faveur de la République, même au club jacobin. 21 septembre 1792 : la Convention, élue au mois d'août, décrète l'abolition de la royauté, sans clairement affirmer l'instauration de la République, même si de fait elle est instituée. Finalement, c'est le procès du roi qui décide du sort du régime

journaux libres et les clubs. Les journaux, (« l'ami du peuple » de Marat, « le père Duchesne » de Hebert) se font les relais de l'opinion populaire, tandis que les clubs (la société des amis de la constitution plus connu sous le nom de club des Jacobin, entre 1789 et 1794, Les Feuillants entre 1791 et 1792, les Cordeliers entre 1790 et 1795) sont le cadre des débats de fond sur la « régénération de la France ». Ce climat tendu explique en partie l'échec de la Monarchie parlementaire. En effet

Entièrement neuve, les députés de l'Assemblé nationale se déclarent eux-même inéligible pour l'assemblé nationale. Avec de lignes de partages floues, une droite les « feuillant » environ 300 députés, au centre les « constitutionnels » et à gauche les « jacobins » avec Brissot, Vergnaut. Après deux années de réformes, d'intenses bouleversements, c'est la volonté majoritaire de la stabilisation de la nouvelles constitution dans tout les domaines, politique, religieux, social, administratif. Volonté d'organisation

club des jacobins (société révolutionnaire crée en 1789 en même temps que l'assemblée constituante). Ce club a d'abord été tempéré composé de la monarchie constitutionnelle. En 91, les monarchistes quittent le club divisé suite à la fuite du roi pour laisser la place aux partisans de la république. Peu à peu, les modérés sont exclus du club et ce dernier va être l'inspirateur du gvt révolutionnaire et de la politique de la terreur menée par Robespierre d'avril 93 à juillet 94. Les jacobins qui sont

1790, il rencontre Pascal Paoli, chef indépendantiste corse rentré depuis peu d'exil. Leur entretien est un échec. Le 1er juin 1791, il est affecté au 4ème Régiment d'Artillerie à Valence et obtient le grade de premier lieutenant. Fréquentant les jacobins de la cité, il ne cache pas son désir de voir la république proclamée. Il obtient un nouveau congé à l'occasion des élections de l'Assemblée législative qui se tiennent à Corté en septembre. On le retrouve à Paris en mai 1792 où il assiste aux insurrections