Les Jeux Du Cirque

combats de gladiateurs. Au début, les gladiateurs se battaient un contre un, puis par paires, avant que les jeux soient de plus en plus richement dotés. Les Romains transformèrent ces combats en un véritable spectacle, dont le prétexte était toujours le culte des ancêtres ( une brève cérémonie continuait de précéder le combat ), mais qui devint bientôt pour eux une distraction très appréciée. Ces jeux sanglants prirent, sous l'Empire, des proportions de plus en plus importantes qui parfois dépassent l’entendement

temple de saturne leur est confiée. Les édiles ont également la charge de l’approvisionnement de Rome en blé, des distributions. Le prestige des édiles et l’importance politique de leur charge sont dus à l’organisation des jeux. La contribution du trésor ne suffisait pas au faste des jeux, le complément était fourni par les édiles. Ils s’y ruinaient pour acquérir les faveurs populaires, comptant sur un gouvernement provincial ultérieur pour refaire leur fortune. Ils devaient au moins avoir 36 ans. _ Les

s’opposer individuellement et collectivement) : avec les jeux d’opposition duelle (jeux de lutte, jeux de raquettes) ainsi que les jeux collectifs de coopération et d’opposition (y compris les jeux de tradition, avec et sans ballon) Concevoir et réaliser des actions à visée artistique, esthétique et/ou expressive : en danse (dans toutes ses formes, y compris les rondes et jeux dansés), dans le mime, dans les activités gymniques, dans les activités « Cirque », en gymnastique rythmique… Compétences générales

race étran' eèrè; ils n'ont toléré chez eux de théâtres de pierre [ou v"rc la fin de la République... Maie coest Romulus qui avait institué les jeux du cirque, jeu-x- gui s'êtaient, depuis, multipliês : ordinaires, en l'hon' neur des diiux; extràordinaires (votifs, dédica' toires, triomphaux, séculaires, gratulatoires, inaugu' raux), sans parler des jeux privés, comme on en offrait pour iet mariageâ et les enterrements. Tous donnaient lieu à speciacles; ils duraient plusieurs jours; les théâtres-jouaient

théâtres et amphithéâtres, avec leurs combats de gladiateurs, les odéons et les cirques répondent à un besoin de jeux et de loisirs. Lyon (capitale des Gaules) est un bon exemple de la romanisation de la Gaule. Administrée par un Sénat et par des magistrats locaux, elle présente toutes les caractéristiques d’une ville romaine. Au 2ème, elle regroupe 40 000 hbts et possède des monuments prestigieux comme un théâtre, un cirque et un temple où se réunissent chaque année les délégués des 60 cités de la

l’activité dans une famille d’APSA : Elle appartient à la famille des activités gymniques. Pas de confusion possible avec les activités artistiques : même si elle est chorégraphiée, spectaculaire, pratiquée collectivement, et techniquement proche du cirque («mains à mains » de l’acrobatie circassienne), elle dispose d’un code de pointage avec des figures hiérarchisées et est jugée lors de compétitions officielles. L’évaluation prend en compte la DIFFICULTE (valeur des éléments), la COMPOSITION de l’enchainement

de l'amphithéâtre romain ressemble assez à celle du théâtre romain, mais à la différence de celui-ci, il forme une structure ovale fermée donnant sur une arène centrale où se déroulaient les combats. Les jeux de l'amphithéâtre  Le Colisée a accueilli des combats de gladiateurs et d'autres jeux très variés. Un type de spectacle très populaire était la chasse aux animaux sauvages, qui faisait appel à une grande variété d'animaux, principalement importés d'Afrique. Les écrivains anciens rapportent

symbole de la signification (entreprise religieuse + expression spontanée du corps) : Terme gymnastique né en Grèce (sous appellation de cubiste ou danse à caractère religieux avec peu à peu l’ajout d’acrobaties). Pour jeux athlétiques on employait palestique, et orchestique pour jeux balle. Des grottes à Palerme possèdent des fresques de danseurs acrobates. En Egypte, des peintures datant de 1000ans av JC montrent des duos acrobatiques, une femme faisant le pont, une autre réalisant une souplesse

à la New School de New York avec Marvin Israël et Richard Avedon. Avec le temps le travail d’Arbus se marginalise ; elle immortalise monstres de foire, freaks, malades mentaux, pour lesquels elle éprouve de la fascination. Attirée par le monde du cirque et par tous ceux qui sont différents, elle dresse le portrait d'une Amérique hors norme. Elle mène une réflexion sur l'identité et l'apparence, ce qui l'amène à photographier des travestis, des gens fardés et déguisés. Les individus photographiés

combat. Dans ce cas, c'était le public, le laniste ou l'organisateur des jeux qui choisissait de lui donner une chance.A chaque fin de mois les gladiateurs avaient le droit soit à de l'argent, qu'ils pouvaient garder, où le donner à la personne de leur choix, ou encore ils pouvait obtenir une esclave choisie dans le lot pour se faire plaisir.Dans l'arène, l'ordre de tuer son adversaire était donné par l'organisateur des jeux et n'avait pas le droit d'être refuser, ce qui ne plaisait pas toujours aux