Les Jugements De Valeur Sont Ils Arbitraires

travers le mot économie. En effet si les termes posés ici semblent avoir un sens figé, il faut bien comprendre que chacun des trois mots précédemment évoqués englobe des notions générales dont l'approche ne peut être basée que sur des présupposés arbitraires. Même si la réflexion livrée ici s'efforcera d'être la plus objective possible, il nous faudra accepter que l'objectivité à laquelle toute réflexion doit tendre est nécessairement relative à celui qui forme cet réflexion. Et c'est précisément ce

d’argumentation, puis planter les différents raisonnements, et, dans un deuxième temps, distinguer les différentes actions argumentatives. Qu’est ce qu’argumenter ? Argumenter c’est émettre des opinions, des pensées, des idées, des réflexions, des jugements ou encore des enseignements ou des conseils dans le but de convaincre, influencer ou inciter à agir un adversaire, un auditoire ou un lectorat. Dans une argumentation, le locuteur prend souvent partie, il soutient alors une idéologie précise appelée

commente les progrès dont se vante sa civilisation et va relativiser l'orgueil déduit de ses progrès. Le nouveau monde est alors largement inconnu et va donc être jugé par rapport aux connaissances du monde civilisé soit une source d'erreur. Présence de Jugement différents (progrès –décadent) I. Description Ancien Monde/Nouveau Monde - Comparaison physique entre les deux mondes : le nouveau monde est le petit frère du grand : « plein et membrue » - Comparaison intellectuel : « il ne savait pas ces

du sens de la justice dont le but est précisément de surmonter la vengeance » (Ricoeur). Cette récurrence de l’idée de vengeance à l’intérieur de la justice pénale constituerait alors l’échec collectif d’une société. Le problème est celui de la valeur de la justice, de sa prétention à la légitimité. Nous sommes invités, soit à la défense de la justice, soit à sa condamnation. Nous opterons pour sa défense : comment préserver l’acte de justice de sa contamination toujours possible par la vengeance

dépens du sens de la justice dont le but est précisément de surmonter la vengeance » (Ricoeur). Cette récurrence de l’idée de vengeance à l’intérieur de la justice pénale constituerait alors l’échec collectif d’une société. Le problème est celui de la valeur de la justice, de sa prétention à la légitimité. Nous sommes invités, soit à la défense de la justice, soit à sa condamnation. Nous opterons pour sa défense : comment préserver l’acte de justice de sa contamination toujours possible par la vengeance

est celui de faire exécuter ces lois et le pouvoir judiciaire qui est le pouvoir de punir le non respect de ces lois. Ces trois pouvoirs peuvent être répartis différemment à l’intérieur de l’état en fonction du régime choisi. Dans les régimes dit arbitraires le pouvoir de faire la loi et de rendre la justice se trouvait dans les mêmes mains. Il est rare que, dans ce type de régime, le pouvoir exécutif ne se trouva pas ajouté aux deux autres. Le juge, qui est à la fois législateur et chef de l’état,

est une personne qui agit moralement, renvoie à l'honnête et à cette idée de constance. Le droit a bien la fonction d'assurer l'ordre dans la société mais la question est de savoir sur quel fondement il s'appuie pour instaurer l'ordre : est-ce arbitraire (dépend d'une nation, d'une époque donnée), ou le droit réaliserai la justice. Autrement dit, le droit permettrai à la fois d'unir droit subjectif et droit objectif. Ce dernier s'incarnerait dans des droits, des possibilités d'agir, des libertés

ceux présents dans le réel. Elle réorganise les données de la réalité offrant le sentiment de la nouveauté. Cette nouveauté est alors valorisée en étant présentée comme ce que doit rechercher l'art. Charles Baudelaire est le premier à insister sur la valeur de cette nouveauté. Cette valorisation du nouveau se fait en art contemporain au détriment de la maitrise technique. Ce n'est plus la technique qui est admirée mais le caractère nouveau du résultat. Dans ce cadre la liberté de création de l'artiste

De l’esprit des lois, de Montesquieu, est une réflexion historique et politique, dont le propos vise à montrer que les lois ne sont pas arbitraires, mais qu’elles sont dues à différents facteurs (climat, géographie, etc.). Cet ouvrage remet aussi en cause différentes formes d’asservissement ; parmi elles, l’esclavage des noirs, dans le texte intitulé De l’esclavage des nègres. Plutôt que de dénoncer directement cette pratique barbare, l’auteur prend le parti de provoquer une réflexion chez le lecteur

entre les individus d’une même société. D’après l’étymologie, doit être considéré comme juste tous se qu’une société considère comme telle à travers son système de loi. « Positivistes » « légalistes » : ce qui pense que s’est seulement la loi qui a valeur de justice. Celons cette définition « positivistes » ou « légalistes », le juste et l’injuste sont synonyme de l’égale et de illégale Problématique : _Peut on réduire la justice à sa seule dimension juridique ? _Une loi est elle nécessairement