Les Liaisons Dangereuses Tragédie

Mme de Sévigné. Lettres (à partir de 1670) Littérature poétique • J. de La Fontaine. Fables (1668-1693) • N. Boileau. Satires (1666-1716) ; L’Art poétique (1674) ; Le Lutrin (1674-1683) • Ch. Perrault. Contes en vers (1694) Littérature dramatique Tragédies : • P. Corneille. Horace (1640) ; Polyeucte (1642) ; Cinna (1642) ; etc. • J. Racine. Andromaque (1667) ; Britannicus (1669) ; Phèdre (1677) ; etc. Comédies : • Molière. Les Précieuses ridicules (1659) ; L’Avare (1662) ; Le Misanthrope (1666) ; etc

est si il y pense.” 2. Voltaire, Candide, Chapitre 30 : Conclusion : « Ayant dit ces mots, il fit entrer les étrangers dans sa maison … - Cela est bien dit, répondit Candide, mais il faut cultiver notre jardin. » 3. Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, Lettre 48, 1782. 4. Alain, Propos sur le Bonheur, “L’Eloquence des passions” 1913 : « L’éloquence des passions nous trompe presque toujours ... Nous sommes conseillés par et menés par des moralistes d’occasion qui ne savent que se mettre

plus impirtant dans la vie est d'être heureux. Mais il faut aussi savoir se conduire avec prudence. L'art prend soin de conduire la nature dans les discours. 3.1 Les phrases alambiquées troublent le discours plus qu'elles ne l'embellissent. La tragédie regardée de près devient pompeuse et ridicule car trop grandilocante. Le discours ordinnaire ne peut être fait de pareille façon. 3. 2 Critique de certains auteurs, dont Clitarque qui pensent être mus par une fureur divine et ne disent que des

de raison : c'est la subjectivité universelle. L'art est alors une cartharsis, il purifie les passions pour la contemplation désintéressée du beau et du bien. D'ailleurs, Aristote réhabilite ainsi l'artiste critiqué par Platon en montrant que la tragédie obéit à une finalité moraliste : elle met en scène pathos et phobos pour nous nous en délivrer dans la vie réelle. Quand la tradition s'accorde à dire que ce qui est beau est bon, ils se rencontrent certains artistes qui dépeignent le mal. Ainsi

lecture et son accessibilité. D’une part, le roman n’a pas de règles précises. C’est le seul genre littéraire dont les règles ne sont pas décrites par Aristote dans la Poétique, référence en matière de littérature au XVIIe siècle, tandis que la tragédie, la comédie, la poésie ou l’épopée sont extrêmement codifiées. Le roman peut allier de nombreuses formes textuelles : théâtre, poésie, récit, lettres, journal. L’auteur n’a pas de réelles contraintes comme c’est le cas au théâtre (qui est écrit pour

mère, elle pourrait décider d’écarter le Duc de Nemours de sa vie. Le classicisme Ce roman fait partie du courant classique car il se rapproche d’une tragédie classique. Il y a plusieurs éléments qui y font penser : Les personnages sont, tout d’abord, de hauts-rangs, comme dans toutes les tragédies. En effet, les personnages font tous partie de la Cour du roi Henri II. Il est, aussi, question d’amour impossible et d’un dilemme pour le personnage principal : soit Mme de

car il pousse les jeunes gens aux vices. Lescaut = Le frère de ManonM. de B. = Un fermier général qui habite dans la même rue que DG au début du roman. Il va entretenir une liaison avec Manon au début du roman car Manon dépense beaucoup. M. de G.M. père et fils : Ce sont deux libertins qui vont essayer d’entretenir une liaison avec Manon. Le plus vieux représente la noblesse qui a connu tout le règne de Louis XIV et a perdu sa puissance, devenant ainsi une noblesse de cour. Le deuxième représente

roman décrit la lutte de mineurs excédés par leurs mauvaises conditions de vie face à leur patronat, le tout sur fond d’émergence du socialisme. Afin de pouvoir parler le plus exactement possible des mineurs les liaisons dangereuses : de Choderlos de Laclos. Les Liaisons dangereuses sont une histoire d'intrigue, de pouvoir et de séduction, dans laquelle les deux sexes se livrent bataille. C'est un roman épistolaire où les 175 lettres révèlent les pensées, les actions et les désirs intimes de chaque

bruyante avec une tradition jugée conservatrice. » GCLF) Quel nom porte ce mouvement ?) La ModernitéAuteurs, œuvres et mouvements littérairesCite les noms de deux auteurs de tragédies du 17e siècle.Pierre Corneilleet Jean Racine150016001700180019002000Auteurs, œuvres et mouvements littérairesQui a écrit les Contes (Le petit Chaperon rouge, le Chat botté, Cendrillon…)Charles Perrault…150016001700180019002000Auteurs, œuvres

de l’aimer . → le complot des libertins est donc imparable, puisque les « innocentes » elles-mêmes deviennent nocives : la gentille mais stupide Mme de Volanges, la bonne et généreuse Mme de Rosemonde ; cela confère au roman son caractère de tragédie. - pour la condition féminine : Mme de Volanges et Mme de Merteuil aux antipodes l’une de l ’autre ; celle qui est immergée dans la société dont elle accepte tous les codes auxquels elle se conforme, par peur de n’être pas dans le rang ; l’autre