Les Liaisons Dangereuses Un Roman Féministe

LES LIAISONS DANGEREUSES LECTURES LETTRE XXXIII LA MARQUISE DE MERTEUIL AU VICOMTE DE VALMONT [Après avoir félicité Valmont de sa prudence dans ses manœuvres, la marquise doute d'abord que Mme de Tourvel puisse déjà lui succomber.] Mais la véritable école est de vous être laissé aller à écrire. Je vous défie à présent de prévoir où ceci peut vous mener. Par hasard, espérez-vous prouver à cette femme qu'elle doit se rendre ? Il me semble que ce ne peut être là qu'une

I- LE CONTEXTE HISTORIQUEI- LE CONTEXTE HISTORIQUE XVIII me : un siècle marqué par les difficultés économiques et la philosophie des Lumières qui s’achève par la révolution française · Crise économique (guerre, famine, banqueroute de Law) · Affaiblissement de l’autorité de l’état, montée en puissance de la bourgeoisie, contestation des privilèges de la noblesse, importance de l’argent (les discriminations sociales et et les clivages de la société deviennent de plus en plus insupportables

du parcours associé et votre culture personnelle. Cherchez quelques éléments biographiques concernant Flora Tristan. Mettez-les en rapport avec la vie d’Olympe de Gouges. Lisez Les Lettres persanes (lettre161), relisez la lettre 81 des Liaisons dangereuses, lisez les trois derniers paragraphes Le Discours de la servitude volontaire de La Boétie, l’Epître dédicatoire de Louise Labé, le Deuxième sexe à partir de la citation « On ne naît pas femme, on le devient ». Tirez, de ces lectures, des

d’émancipation Objet d’étude E Le personnage de roman du XVIIe siècle à nos jours Sommaire Introduction Introduction historique 1. La revendication de liberté 2. La résistance 3. Émancipation ou aliénation ? 4. Les chemins vers l’émancipation et l’égalité au XXe siècle 5. Bilan de la séquence Lexique de la séquence Séquence 4 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne I ntroduction Figures de l’émancipation féminine dans le roman  : entre soumission et rébellion Présentation de

Littérature Francaise LMDA06 Oeuvres littéraires Guilleragues – Les lettres portugaises Prévost – Histoire du chevalier des Grieux et de Manon Lescaut Rousseau – La nouvelle Héloïse Laclos – Les liaisons dangereuses Louvet – Mémoires Henri Coulet, Le roman jusqu'à la révolution. Le roman – Récit d’aventure 1775, style recherché, non réaliste, extravagant, peu apprécié au 17è et 18 è siècle, Réalisme psychologique – Histoire, Princesses de clef Fin du siècle – Pessimisme, méfiance de l'homme

la femme libre… Égalité inachevée, inégalités recomposées (1960-2000) La maîtrise de la reproduction L’acquisition des droits civils La construction de l'autonomie financière Page 1 sur 32 La prise de certains bastions masculins Le mouvement féministe Une histoire à suivre Bibliographie Page 2 sur 32 SOCIÉTÉS ANCIENNES, REPRÉSENTATIONS PROFONDES Nous reconnaissons les héritages gréco-romain et judéo-chrétien comme socle de notre civilisation occidentale. Les représentations qui s'enracinent

avec un physique particulièrement avantageux pour les critères de l'époque. C'est une jeune fille très timide et le fait de se sentir admirée et désirée la trouble et la gène. Elle s'habituera à ce sentiment au fil du roman et il finira par ne lui posé plus aucun soucis. Au début du roman, elle est très réservée et essaie d'éviter au maximum toutes discussions mais suite à la mort de sa mère et à son mariage avec M. de Clèves, elle s'ouvre au monde de la Cour et se lie d'une amitié forte avec la reine

l'éducation » de Rousseau, qui lui défend la légitime tradition ainsi que la vertu de la femme honnête ou l'extrait de « Les Liaisons Dangereuses » de Laclos qui lui défend le libertinage. Laclos Les Liaisons Dangereuses, Lettre LXXXI, La Marquise de Merteuil au vicomte de Valmont, extrait de « Mais moi … » à « que je voulais acquérir » (1782) L'extrait de Laclos est un roman épistolaire où deux personnages, un homme et une femme, le vicomte de Valmont et la marquise de Merteuil venant de l'aristocratie

une vingtaine d'années corrigent, voire transforment l'image simpliste de la femme chinoise traditionnelle, telle qu'elle s'était imposée à partir de la fin du XIXe siècle dans les milieux progressistes en Chine. Réformateurs, révolutionnaires et féministes, de manière quasiment unanime, avaient dépeint la femme traditionnelle comme la victime passive d'une société patriarcale façonnée par les valeurs du néoconfuciaPar « femme chinoise traditionnelle », nous entendrons ici la femme chinoise jusqu'à

deux enfants, assidue des salons précieux, n'était guère capable de rédiger romans et nouvelles. Au mieux on penchait pour l'hypothèse d'une création collective. En fait, si Madame de Lafayette est bien l'auteure de ses livres, elle doit beaucoup à ses formateurs, à commencer par Ménage, qui surveille la rédaction de La Princesse de Montpensier. Par la suite, Huet1 et Segrais2 participent aux travaux de Zaïde (1671) – roman qui est publié sous le nom de Segrais – et même de sa plus grande œuvre