Les Lieux Manon Lescaut

roman, du XVIIe siècle à nos jours .......................................................5 Séquence 1 Le personnage, reflet du monde ? ........................................................7 Séquence 2 Parcours de lecteur : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 ................32 Séquence 3 Histoire des arts : Voyages au bout de la nuit ....................................44 Séquence 4 Personnage et société ........................................................................54 Séquence 5

aussi par des engagements contre des oppressions religieuse, morale et politique. Il œuvre pour un progrès du monde, combattent l'irrationalité, la superstition et la tyrannie. 5) Il existe différents lieux de rencontre et de culture au XVIIIème siècle comme : - Les cafés : C'est l'un des lieux de rencontres le plus important où on peut lire, écrire, débattre. Ils ont permis une diffusion des idées des lumières. - Les salons : On parle aussi de salons mondains, ils sont généralement tenu par des

roman, du XVIIe siècle à nos jours .......................................................5 Séquence 1 Le personnage, reflet du monde ? ........................................................7 Séquence 2 Parcours de lecteur : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731 ................32 Séquence 3 Histoire des arts : Voyages au bout de la nuit ....................................44 Séquence 4 Personnage et société ........................................................................54 Séquence 5

Racine Texte 2 : L'illusion épistolaire du roman au XVIIIème siècle : Masques et transparences narratives du personnage féminin : l'héroïsme libertin Les Liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos, page 177, Hatier Prolongement possible : Manon Lescaut , Abbé Prévost ( ambigüités de l'héroïne) Texte 3 : L'amour de l'illusion : l'héroïne moderne et la vision du monde à travers la description. Madame Bovary, Gustave Flaubert, Scène de repas au bal du marquis d'Andervilliers. Écriture d'invention :

Un incipit de conte des plus conventionnels Incipit : informe (qui ? quand ? où ?), intéresse (mode, histoire amour), progresse (attente élément perturbateur, Candide pass/act dans quête, débat opti) Références : cadre spatio-temporel (château+lieux, ex : grande salle), vocabulaire17e?18e, conteur(oral), «il y avait», éloigné (exot), temps récit 2) Des personnages ironisés et hyperboliques Baron : Chap1 : nom-portrait : (allittroc), Thunder=tonnerre ten=article alld («tonnerre de dieu») M.de

quête à lire la métaphore d'une découverte de soi, Il y a toujours cette construction progressive du moi dans l'affrontement avec le monde. L'errance aventureuse devient la succession d'un maître à un autre, faisant ainsi connaître les différents lieux et différents secteurs de la société. L'aventure commence par un surgissement au détour d'un chemin (une personne ou une expérience nouvelle). Don Quichotte est conduit par son cheval plus qu'il ne le dirige, il attend les évènements. Il y a comme

fleuron de la poésie romantique. Ce poème fut inspiré à Lamartine par la liaison amoureuse qu’il eut avec Julie Charles, une femme mariée atteinte d’un mal incurable qui l’emporta en 1817. Lamartine revient seul revoir les lieux qu'il a visités autrefois avec elle. - -Manon Lescaut : La rencontre Le narrateur relate un souvenir comme le montre l’emploie du plus-que-parfait « j’avais marqué » et de sa reprise grandiloquente « que en le marquais-je » ligne 1. Il ne cache aucune émotion avec l’interjection

elle correspond à peu près au portrait de la femme idéale dont rêvait Joseph et c’est elle qui lui permet de s’échapper définitivement de la plaine. II – LE CADRE SPATIO-TEMPOREL 1) Décrivez les principaux lieux du roman. Vous préciserez à chaque fois ce que chacun de ces lieux représente. La plaine où est situé le bungalow est du côté de la mer « un désert de sel et d’eau » où rien ne peut pousser et qui est cerné par la montagne couverte d’une forêt dense et sombre (p.156-157), un univers

s’en aperçut ; il dit à ses parents et à Gordon, sans pleurer, sans gémir, sans s’émouvoir : "Pensez-vous donc qu’il y ait quelqu’un sur la terre qui ait le droit et le pouvoir de m’empêcher de finir ma vie ?" Gordon se garda bien de lui étaler ces lieux communs fastidieux par lesquels on essaye de prouver qu’il n’est pas permis d’user de sa liberté pour cesser d’être quand on est horriblement mal, qu’il ne faut pas sortir de sa maison quand on ne peut plus y demeurer, que l’homme est sur la terre

où Marguerite, abandonnée par tous, ne peut que regretter ce qui aurait pu être. La passion outrepasse la raison, mais à la différence du chevalier Des Grieux, autre amant livré aux affres d’un amour pour une « courtisane dans l’âme » dans Manon Lescaut, ouvrage auquel Dumas fait référence dans son propre roman, Armand aimera une femme toute prête à lui sacrifier sa richesse et son train de vie.[5] L’ouvre de Alexandre Dumas (fils), est une oeuvre plein d’un gran amour pour la femme, d’un élan