Les Limites Concurrence Pure Et Parfaite

Chapitre 3 : le marché et la concurrence I le marché Le marché d’un bien (produit ou service ou facteur de production) est la rencontre d’un ensemble d’offre et de demande de ce bien, donnant lieu à un échange sur la base d’un prix. Pour qu’il y est échange, il faut qu’il y est au moins deux personnes et celle-ci doivent tombé d’accord : tout marché est donc nécessairement le lieu d’un comportement collectif de divers agents économique à l’égard du bien en cause 1- Caractéristiques et structures

Monopole et concurrence se définissent comme deux situations limites d'organisation de l’ensemble des entreprises qui produisent et vendent leurs produits sur un marché donné : • En situation de “concurrence pure et parfaite”, aucune entreprise n'est à même d'influer sur le prix du produit, quel que soit son niveau de production ; le prix se définit donc sur le marché par la confrontation de l'offre et de la demande globales et chaque entreprise se doit de l'accepter, elle s'organise en conséquence

b) Qu’est-ce que l’offre ? C’est la quantité de biens que les entreprises désirent vendre sur le marché à un certains prix. c) Le marché de concurrence pure et parfaite C’est un marché sur lequel un grand nombre d’offreurs proposent des produits identiques à un grand nombre de demandeurs. Le marché de concurrence pure et parfaite présente 5 caractéristiques : * Les produits sont identiques en qualité et caractéristiques. (homogénéité) * Vendu par un grand nombre de vendeur

Le choix entre le protectionnisme et le libre-échange Sur le plan international, les économies sont mises dans une position de choix : S’ouvrir à l’échange international et donc s’ouvrir à la concurrence internationale (libre-échange) Se protéger de la concurrence étrangère (protectionnisme) C’est un choix récurrent car il est sans cesse effectué et n’est jamais définitif. Cela peut être une ouverture ou une fermeture partielle mais le choix existe tout de même. C’est parce que les économies

l’économie et qui permettrait aux marchés de s’autoréguler sans que personne ne doivent intervenir. Pour y répondre, nous verrons d’abord que les économistes libéraux, notamment classiques, prônent la liberté des marchés, puis nous étudierons les limites de l’hypothèse de l’autorégulation du marché. La main invisible, régulatrice de l’économie Nous allons tout d’abord nous intéresser à cette fameuse « main invisible » dont Smith nous révèle l’existence. Adam Smith est un économiste classique et

l'entreprenariat. Cependant il y a toute fois des limites aux noms de plusieurs principes : éthique et moraux le plus souvent. Il est donc interdit d'échange et de vendre certains bien et/ou service (organes humains, stupéfiant). La liberté de commerce n'est donc pas totale Il y a donc apparition de marchés illicites "marché noir". B La pluralités des marchés. On récences une diversité de marché : - au champ d'action - locale : il est limité géographiquement - régional : principalement un

être démontrés par les mathématiques ; l’économie est une science mathématique pour lui. Menger a publié « Les fondements de l’économie politique » où il explicite la démarche du libéral en économie. Walras a publié « Eléments d’économie pure » où il montre que l’économie doit être traité comme un système pur et abstrait susceptible donc d’être complètement représenté sous la forme d’une écriture mathématique (équations). Marshall publie les « Principes d’économie politique

personnel est recherché mais l'addition des intérêt personnel mènent à l'intérêt général. B/ Allocation des ressources, offre et demande satisfaites, l'intérêt du marché de concurrence pure et parfaite. Le marché est guidé par la concurrence pure et parfaite qui est institutionalisée, cette concurrence pure et parfaite a 5 conditions: la première condition est l'atomicité c'est à dire qu'il y ait un grand nombre de producteurs et d'acheteurs sur le marché et qu'aucun agent ne puisse influencer

mécanismes de fonctionnement qui lui sont propres. Il y a une forme de marché désirable : équilibre des forces = situation de concurrence. Il y a aussi des marchés de monopole (dominé par l'offreur). L'Etat intervient à travers une politique économique qui a pour objet de faire respecter la concurrence (politique de la concurrence qui s'appuie sur le droit de la concurrence). Macroéconomie : Approche globale du fonctionnement d'une économie, macrostructure. On établit des lois fondamentales qui

 Marché de concurrence imparfaite : La concurrence imparfaite est une notion qui a été développée dans l’entre-deux-guerres par Edward Chamberlin aux Etats-Unis et par Joan Robinson en Angleterre. On se retrouve devant une situation de concurrence imparfaite lorsque l’une des conditions de la concurrence pure et parfaite n’est pas respectée . Le modèle de CPP (Concurrence Pure et Parfaite) est davantage un modèle théorique vers lequel sont orientées les politiques économiques, que la situation