Les Limites Des Fmn

tout comme la plupart des pays en transition, se trouvent confrontés au problème du financement de leur activité économique avec des ressources domestiques souvent insuffisantes. Les recours aux crédits internationaux sont pour nombre d'entre eux limités par le niveau de leur endettement et, malgré les promesses telles que celles qui furent lancées à Monterrey (en 2002) qui tardent à se concrétiser, l'aide au développement, reste insuffisante1. De plus, elle ne présente pas les mêmes intérêts que

DIPP s’est développée dans l’état des techniques correspondant au fordisme (processus continu de fabrication, automatisation rigide, machines spécialisées, réponse quantitative plus que qualitative à la demande). Les années quatre-vingt marquent les limites et la fin des techniques fordistes et l’apparition d’une demande personnalisée et versatile, exigeant des gammes de produits renouvelées et une production flexible, en petites séries ; C’est la naissance du Toyotisme.
 Les connaissances scientifiques

sud deviennent émergents. 2 LA NOUVELLE DIVISION INTERNATIONALE DU TRAVAIL 11/12/2013 Ainsi notre travail s’articulera sur la problématique suivante : Comment le monde est-il passé de la DIT à la Nouvelle DIT ? et peut-on parler dès lors, des limites de cette Nouvelle DIT ainsi que de son avenir ? Pour essayer de traiter cette problématique, un premier axe de notre travail portera sur la genèse de la Nouvelle DIT (PARTIE I) ensuite un deuxième axe s’articulera sur les enjeux de cette Nouvelle

comment se passe ce phénomène de diffusion de la culture occidentale (quels en sont les vecteurs) et quels sont les aspects qui font penser à une uniformisation culturelle. A) Vecteur économique : développement des échanges commerciaux et des FMN = ont fait connaître au reste du monde les produits occidentaux. ● Au départ, ces produits sont conçus pour le marché intérieur puis sont diffusés, avec plus ou moins de succès aux autres pays (Coca-cola

espaces mal desservies au Sud (régions intérieures mal reliées aux littoraux en Afrique), espaces traversés par les flux entre les nœuds au Nord. II. Les acteurs de la mondialisation 1)Les firmes multinationales Les Firmes Multinationales (FMN) sont environ 77 000 dans le monde et contrôlent quelques 770000 filiales. Elles réalisent 20 % du PIB mondial, le tiers du commerce mondial. Les 100 premières sont responsables du tiers de l'investissement direct dans le monde. Elles appartiennent

“progressivement, les pays riches se sont passés des pays pauvres et ainsi ces derniers n’ont pu compter sur le commerce international pour rattraper le niveau de vie des pays développés” Le Tiers Monde garde espoir avec l’implantation des FMN c) L’expérience des FMN, acteurs privilégiés de la mondialisation : une chance pour l’industrialisation du pays ou un facteur croissant de la dépendance au Nord ? Accélération du progrès technique + coût croissant : peu de possibilités d’insertion active

définissent une culture et des identités propres. En dernière analyse, l’Antiquité présente bel et bien de nombreux points communs avec notre globalisation actuelle : des puissances économiquement spécialisées, des échanges se faisant jusqu’aux limites du monde connu à l’époque, un formidable brassage humain précédant un réel cosmopolitisme et une unité culturelle relative dans la conception du commerce et des affaires, au-delà des clivages religieux et/ou politiques. Comme chacun sait

nés d’un redéploiement des stratégies des FMN à l’intérieur même des frontières de l’Union ? Si le scénario d’un décollage économique fondé sur le dynamisme de l’industrie ne fait aucun doute, le conflit Dacia n’en révèle pas moins un certain nombre de traits caractéristiques d’une reconfiguration du rapport salarial largement piloté de l’extérieur, par l’Union Européenne avec la reprise de l’acquis communautaire et plus encore par les stratégies des FMN dont les IDE représentaient environ 8 milliards

intermédiaires et des biens d’équipement (80% à 90% des importations); - La rigidité des structures des exportations (constituées essentiellement des produits primaires); - La pénétration accrue du capital étranger: dès 1950 de nombreuses FMN américaines s’implantèrent en Amérique Latine entraînant la faillite des entreprises nationales, mais aussi une “décapitalisation“ suite au rapatriement du capital étranger.  Les critiques :  Répartition des revenus : Le renforcement de l’inégalité

Les exportations de marchandises du commerce mondial augmentent en valeur comme les produits manufacturés, services, produits énergétiques (minerais & hydrocarbures) et produits agricoles. • Cette explosion des échanges est dû au rôle des FMN (firmes multinationales, implantées dans plusieurs pays avec un intérêt pour le marché de chacun de ces pays ) et FTN (firmes transnationales, implantées dans plusieurs pays, mais pas forcément d'intérêt pour les marchés locaux) se trouvant dans la