Les Limites Des Monétaristes

la quantité de marchandises disponibles est supérieure à la demande. En pratique, l'État et la banque centrale ont une certaine capacité à stabiliser la valeur de la monnaie, ou à l'adapter aux nécessités économiques (favoriser les exportations, limiter les importations, augmenter le pouvoir d'achat, mercantilisme, etc.). Les banques et le marché financier sont par ailleurs soumises à des évolutions endogènes, passant par des booms de crédit (favorable à l'inflation) suivis de krachs (favorables

métallique (métaux précieux) Faillite bancaire : demande de conversion de leur billet en or mais la banque ne peux pas. 1721 banque LAN 1848 : seul la banque de France peut émettre, monopole de l'émission de billet, les Bcom ne peuvent plus, cela limite la quantité de billet 1914 : le billet n'est plus convertible en métaux précieux, la loi oblige toute personne à accepter le billet comme moyen de paiement cours forcé : le billet n'est plus convertible cours légal : billet accepté partout le

regroupant des macroéconomistes (ce qui s’oppose à la logique néoclassique pour qui seule la démarche microéconomique compte) qui est apparue dans les années 1970. Ils renouent avec une logique prékeynesienne de l’économie en prolongeant du courant monétariste. On peut distinguer concernant la NEC trois grands apports théoriques : la théorie des anticipations rationnelles, la théorie de la croissance endogène et la théorie des cycles réels. I. La théorie des anticipations rationnelles : Initiée

tentation chez Léon Walras ou dans l'utilitarisme de Jeremy Bentham. Elle a le rôle plus limité de forger des outils pour essayer d'améliorer l'existant. Dès la publication en 1944 du White Paper on Employment Policy, Keynes, sentant revenir chez certains économistes la tentation walrassienne et benthammienne, ironise sur ce qu'il appelle la « joie par les statistiques » (Joy through Statistics)SF 8 Les limites de la Théorie générale[modifier] La Théorie générale de l'emploi de l'intérêt et de

en matière financière et fiscale sont focalisées autour de quatre points11: Premièrement, il considère que le libéralisme doit être aménagé au moyen de l’instrument fiscal. Deuxièmement, l’impôt sur la consommation présente deux risques ; celui de limiter le profit et celui d’accroître la charge du consommateur pour y échapper, ce qui en retour peut ralentir le progrès économique. Troisièmement, une grande partie de ces inconvénients peut cependant être supprimée à condition d’envisager un impôt général

crédit, c’était le fait de la banque de France autrement dit la banque de France fixait la qté de crédit que les banques pouvait accordé(c’était un contrôle quantitatif) la BdF publiait son obj de contrôle et les banques ne devait pas dépasser la limite fixer par la BdF si il y avait dépassement la BdF sanctionnait la banque. Sanction : la banque devait alors déposer des réserves obligatoires supplémentaire a la Bdf qui n’était pas rémunéré (payait une amende) processus dissuasif. Les banques

usage alternatif ».C’est à dire : les fins sont multiples, les moyens de les atteindre sont limités et peuvent faire l’objet d’applications alternatives, les fins sont d’importances diff. Deux méthodes : principe d’économicité ou de la moindre dépense des moyens. Opposition « théorique » entre cette conception formaliste et la conception substantive. * « désir illimités et les moyens limités », « des contraintes différentes […] heures par jour » ($ 4), « Il est maintenant de tradition

néoclassiques. Mais surtout les classiques qui sont anti-étatistes et prônent des principes tel que celui du laisser-faire laisser passer. Des critiques surviennent également à propos de la fiscalité, des politiques sociales. Pour Von Hayek, l’Etat doit se limiter à ses fonctions régaliennes sinon cela conduit à la route de la servitude. De plus celui-ci estime que le marché est plus apte que l’Etat à satisfaire nos besoins. Les critiques émanent aussi des Marxistes et de l’école de Francfort. Marx estime

politique de relance s’ils souhaitent lutter contre le chômage, mais dans ce cas, ils doivent accepter une forte inflation, ou soit, choisir une politique de lutte contre l’inflation ayant pour conséquences une augmentation du chômage. Pour les monétaristes tel que Friedman, l’inflation doit être combattu car elle ne permet pas un bon fonctionnement de l’économie. Selon eux, la lutte contre l’inflation doit se trouver au cœur des politiques économiques. Cet argument se base sur l’analyse des mercantilistes

réel. La thèse monétariste est donc celle-ci le taux d’inflation est la + entre le taux de croissance de la masse monétaire et le taux de croissance de l’éco. La croissance de l’éco. Ne dépendant que de facteurs réels (programme active, épargne, investissement, progrès technique…), il eu résulte que l’inflation est d’abord un + monétaire. Exemple 1 : Si le taux de croissance de la masse monétaire est 7% et que la croissance du PIB est 3%, les monétaristes concluent que l’inflation sera