Les Limites Des Monétaristes

de les racheter plus tard. Prenons un exemple: vous pensez que l’action de la BNP Paribas va chuter. Vous vous engagez donc à vendre 100 actions de 30 euros chacune au cours actuel et à les livrer à une échéance variable (mais aussi avant une date limite), ce qui vous rapportera 3000 euros. Trois jours plus tard, vous les rachetez pour 25 euros chacune, ce qui fait un total de 2500 euros, vous les livrez pour 3000 et faites donc une plus value de 500 euros que vous avez gagné sans rien investir. Plus

Smith (1723-1791) .Principe de la main invisible : il faut laisser les individus s’enrichir car, en oeuvrant pour leur intérêt propre, ils contribuent intentionnellement à l’enrichissement de la nation. Etat minimal (=Etat gendarme) : l’Etat doit limiter ses interventions à la police, à la justice, à l’armée et aux travaux d’infrastructure de façon à laisser l’économie s’autoréguler. . .Division du travail : dans le célèbre exemple de la manufacture d’épingles, Smith montre qu’elle augmente

bancaire 1.3 Le rôle de la banque centrale 2. Une brève histoire de la pensée monétaire 2.1 La théorie quantitative 2.2 La doctrine des effets réels (real bills doctrine) 2.3 Wicksell et le taux d’intérêt monétaire 2.4 L’apport keynésien 2.5 La vague monétariste 2.6 La convergence actuelle 3. Les effets réels de la politique monétaire 3.1 Comment démontrer les effets réels de la politique monétaire ? 3.2 Les rigidités nominales 4. Les canaux de transmission de la PM 4.1 Le canal du taux d’intérêt 4.2 L’action

en 1936 et près de 14.3% en 1937 soit près de quatre fois son niveau de 1928. Lorsque Roosevelt, alarmé par la croissance spectaculaire du déficit américain et l'impossibilité qu'il y avait à maintenir cette croissance exponentielle, commença à limiter un peu plus les dépenses de l'état a la fin de 1937 l'économie américaine replongea en récession et le taux de chômage atteignit 19% l'année suivante. La théorie keynésienne prévoyait pourtant qu'en se substituant a l'entreprise privée l'état pouvait

sur le holisme : l'acteur est maître de son destin, toutes ses actions sont des cations au sens weberien du terme Formes de domination (traditionnelle, charismatique, rationellelégale) Désenchantement du monde • - • • • • • • • • • - LIMITES & OPPOSITIONS (liens avec les autres auteurs du programme) Opposition Durkheim / Weber Weber & Marx s'opposent : Pour Weber, les idées (même religieuses) peuvent jouer un rôle moteur dans l'histoire. Pour Marx, les conditions matérielles d'existence

L'inflation est un phénomène très ancien. Il existe des situations inflationnistes très différentes : * Inflation et croissance * Stagflation * Hyperinflation Une préoccupation majeure depuis les années 70 avec l'émergence des thèses monétaristes. Depuis, l'inflation a été maîtrisée mais reste une préoccupation. Retour des craintes déflationnistes. A/ Coûts et avantages liés à l'inflation 1. Les effets liés aux mauvaises

non utilisable comme moyen de paiement direct (livret, compte épargne logement…) * Agrégat M3 – M2 + actifs facilement mobilisables (titres de créance à court terme …) revendable rapidement sur le marché monétaire. Selon les économistes monétaristes, une augmentation de la masse monétaire provoque une hausse des prix mais ne modifie pas la sphère réelle : une politique « généreuse » aura comme seul effet d’augmenter les prix due à l’augmentation de la demande donc la hausse des salaires n’entrainera

baissant leur prix. Il existerait donc une relation inverse entre inflation et chômage : on ne pourrait avoir simultanément plein emploi et stabilité des prix. Il faudrait donc choisir entre inflation et chômage, et l'Europe aurait fait le choix monétariste de la lutte contre l'inflation (l'indice des prix à la consommation n'augmente que de 2% par an) au prix d'un chômage de masse. L'exemple allemand des Trente Glorieuses montre pourtant le contraire : il est possible de concilier stabilité des

une baisse du taux d’I, cela ne va pas dire que l’I a baissé en niveau, volume ou valeur, mais les flux d’I ont continué tandentiellement, relativement a baissé, ce qui a un impact sur l’accumulation du K. 2. L’explication de la crise par les monétaristes : Friedman est à l’origine de la « contre révolution conservatrice » (contre la théorie keynésienne), il dit que la crise qu’il essaye d’analyser est dont le signe st le plus tangible ce n’est pas pour lui la baisse du taux de profit (il le reconnait)

(SEBC), le levier monétaire est abandonné au profit de la BCE. - Souligner que c'était déjà le cas avant la mise en place de l'Euro (cas de la banque de France indépendante depuis 93. - La notion de choc symétrique (doc 5) - Doctrine plutôt monétariste avec objectif majeur: stabilité des prix (au détriment de la croissance? Au détriment de la lutte contre le chômage?) - De manière générale, montrer dans cette sous-partie la "dépolitisation" de la monnaie au sens où elle serait « trop importante