Les Luttes Et Les Rêves Commentaire

passe un moment avec eux dans la chambre. Ils rencontrent ainsi un ingénieur chez I.B.M., le fils d’une vieille duchesse aveugle et, surtout, Yann, le fils de gardiens d’un château où il a passé son enfance et son adolescence, qui est le refuge de ses rêves et qui est menacé d’une proche destruction. Pour séduire les filles, il fait du spiritisme. Sandra tombe amoureuse de lui et ils partent en Norvège. Tandis qu'ils voyagent, Émile se démène pour sauver le château. Lorsque Sandra lui annonce qu'elle

de Fantine que de Marceline. Lily a des rêves, « elle croyait qu’on était égaux » (ligne 6), « elle aimait tant la liberté » (ligne 11), « elle rêvait de fraternité » (ligne 12). Ceux-ci sont exprimés au passé car elle les a vus déchus et pourtant elle n’en semble pas abattue. A la fin du texte elle semble cependant avoir changé de comportement et cherche à lutter « elle lève un point ravageur Lily » (ligne 42), « combat quotidien » (ligne 46). Commentaire composé Victor Hugo est né en

belle-fille, Sofia. Les incertitudes de Platonov, qui cède à toutes sans choisir personne, aboutissent à une dégradation des relations et à une déchéance que double la ruine du domaine. À la fin du dernier acte, Sofia tire un coup de pistolet sur lui. Commentaire La page titre du manuscrit manquant, plusieurs solutions ont été adoptées par les éditeurs successifs : ‘’Pisa bez nazvania’’ (‘’pièce sans titre’’) ou ‘’Platonov’’, ‘’Ce fou de Platonov’’, titre sous lequel la pièce fut introduite en France

“L’église des jésuites”). Il se lia d'amitié avec un peintre italien, du nom de Molinari, qui l'initia aux secrets de son art et lui inspira cette nostalgie du Sud qui s'exprime si souvent dans ses écrits. Mais il ne devait jamais voir l'Italie de ses rêves, qu'il a pourtant si bien inventée dans “La princesse Brambilla”, “Doge et dogaresse”, “Signor Formica”. Un voyage à Dresde lui permit d'admirer les chefs-d'œuvre de la peinture classique et lui laissa un souvenir inoubliable. Il s'était séparé à

milieu  [pic] " Notre morale est celle que Claude Bernard a si nettement définie : " La morale moderne recherche les causes, veut les expliquer et agir sur elles ; elle veut, en un mot, dominer le bien et le mal, faire naître l'un et le développer, lutter avec l'autre pour l'extirper et le détruire." [...] " [pic]" Nous cherchons les causes du mal social ; nous faisons l'anatomie des choses et des individus pour expliquer les détraquements qui se produisent dans la société et dans l'homme... Notre

découvrir la suite des pages. Il faut dire aussi que même en ouvrant à partir de la gauche vers la droite, c’est sans inconvénient à mon avis. » (Pascal Gbedo, Centre de lecture publique, Djougou, Bénin) Les illustrations ont rencontré peu de commentaires détaillés : soit elles sont belles et simples, en accord avec le texte ; soit le contraire, affreuses et sans rapport avec le texte. Au Cameroun, ce Carnet du dessinateur n’a pas marché en bibliothèque mais il a servi de support de travail

Projet I : Concevoir et réaliser un dossier de commentaire pour présenter les grandes réalisations scientifiques Séquence 01 : Présenter un fait, une notion, un phénomène Séquence 02 : Démontrer, prouver un fait Séquence 03  : Commenter des représentations graphiques Projet II : Mettre en scène un procès pour défendre des valeurs humaines Séquence 01 : Plaider une cause Séquence 02 : Dénoncer une opinion, un fait, un point de vue Séquence 03 : Débattre d’un sujet

 Commentaire composé. L’immoraliste. André Gide L’étude d’un passage de roman peut toujours paraître un parcellaire. Cette appréhension peut être d’autant plus justifiée que l’objet du roman consiste à affranchir l’homme, en lui montrant qu’il n’y a pas d’autre règle que l’amour de la vie. Or, il n’en est rien. Cet extrait de L’immoraliste d’André Gide écrit en 1902 ne pouvait mieux être choisi pour illustrer le projet de l’auteur. Ce roman laisse l’histoire se dérouler d’elle-même comme

que les personnages ont sur leur vie. Vivant de rêves – on pourrait d’ailleurs se demander si ces rêves ne sont ne serait-ce que les leurs – ils en viennent à les abandonner, l’un après l’autre, jetant l’éponge et se conformant, une fois pour toutes. Le roman entretient donc cette impression de vanité de la lutte, – notamment au travers de l’usage des temps verbaux. Toute semble écrit, joué d’avance, vécu et consommé en un instant. Les rêves, les aspirations d’une génération semblent venir d’ailleurs

l’adolescence, les premiers amours, le monde du travail. Parallèlement, nous parcourons au fur et à mesure des pages, les émotions de Catherine, une maman qui apprend à aimer sa fille, une fille qu’elle aurait pensé ne jamais pouvoir aimer. Commentaire La naissance d’un enfant est probablement l’évènement le plus heureux dans la vie d’une femme, c’est tout du moins ce que l’auteur fait ressortir des premiers instants suivant l’accouchement : « je jouais paresseusement avec cette idée bouleversante