Les Mains Libres Rêve

| |Choisir un poème et adopter la démarche suivante : | |Remarques libres des enfants. | |Si nécessaire, interventions du maître pour souligner les formes structurelles :

perdus. Quant à Mathilde, elle essaie de convaincre Julien de faire appel mais sa quête n’aboutira pas. En effet, Julien sera guillotiné sans regret de sa part. Après son exécution, Mathilde ensevelit la tête de l’amour de sa vie de ses propres mains. Mme de Rênal s’éteindra trois jours après la mort de Julien.  Pourquoi ce titre Le rouge et le noir ? Il illustre ici l’opposition entre deux couleurs : le rouge qui exprime la passion, l’amour, le sang et la gloire militaire, et le noir qui

commence sur l’île Maurice, on suit un petit garçon de huit ans, Alexis, dans sa découverte du monde, la construction de sa personnalité et ses rêves naissants. Adolescent, il se découvre une passion pour la mer, les voyages et il décide de poursuivre le rêve fou de son père : retrouver l’or du Corsaire, caché sur l’île Rodrigues. La coupure avec l’enfance est brutale, on passe d’un monde calme, heureux et douillet à la violente réalité du monde. Son père fait faillite puis décède. Sa maison est détruite

tel un lieu rempli de vie et de joie. Cette joie de vivre est aussi marquée par de nombreuses personnifications comme celle de la rivière qui « chante » ou encore de la montagne qui est « fière ». Ces personnifications donnent l’image d’un lieu de rêve, qui donne envie. En effet, grâce à la luminosité renvoyée par les mots, la nature apparait comme idyllique. L’expression « la lumière pleut » nous le traduit. De plus, dans ce poème quasiment toutes les sensations sont au rendez-vous : la vue,

cas ! il est vrai que je rendais souvent visite a mes parents au restaurent et que je tenais compagnie a ma mère dans la cuisine, mais au aucun cas je n’y allait pour profiter des effluves qui émanaient des casserole ou encore moins pour mettre la mains a la pate.je profitais plutôt du moment pour m’atteler studieusement a mes devoirs d’école. De temps en temps je levais la tète pour regarder ma mère s’afférer en cuisine et mon père faire des aller retours pour assurer le service en salle.je me disais

Aristote avait une conception fixiste de l’Homme, pour lui nous naissons intelligents, avec des mains. Il faut rattacher la prise en main (Knetikê) comme partie de la technique. Pour Platon, c’est la disposition à utiliser un certain nombre d’outils. Aristote : On utilise les outils avec les mains (conception finaliste de la technique) ; N’est-ce pas un projet de la nature que l’Homme possède des mains, pour utiliser des outils et montrer son intelligence. Knetikê se rattache alors à Alethia,

je sais que tu m'attends.J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombeUn bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.Victor Hugo

Guillaume de Lorris et Jean de Meun écrivent successivement le long poème, au XIIIe siècle. Prenant la forme d`un songe allégorique, est narrée la conquête d`une Rose – une jeune fille – par un jeun homme, l`Amant. Le narrateur raconte comment, en rêve, il est entré dans le jardin où réside le Dieu d`Amour et y est tombé amoureux d`un bouton de rose. Sa quête de la Rose est ponctuée par les interventions de diverses personnifications: Raison, Ami, Richesse, Faux-Semblant, La Vieille, Nature, Genius

devant Ma porte, que j'ouvris d'une façon civile. Les ânes revenaient du marché de la ville, Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.  C'était le vieux qui vit dans une niche au bas  De la montée, et rêve, attendant, solitaire, Un rayon du ciel triste, un liard de la terre, Tendant les mains pour l'homme et les joignant pour Dieu. Je lui criai : « Venez vous réchauffer un peu. Comment vous nommez-vous ? » Il me dit : « Je me nomme Le pauvre. » Je lui pris la main : « Entrez, brave homme. » Et

Sa main agrippa une main , inerte et glacée. D’une poussée rugissante de ses dernières forces elle s’échoua sur le rivage avec le corps sans vie de son frère. Toussant , crachant , elle le secoua , pleurant et suppliant l’enfant déjà mort . Deux mains solides la repoussèrent s’emparant du petit et rejetant la sœur . Man séssé était là qui la regardait d’un œil dur . Grégoire le jardinier courait déjà vers la camionnette avec le corps bleuté de son frère. Au loin retentissait la fanfare de Port-au-Prince