Les Malheurs D Arlequin

l’action à lieu en plein Carnaval et cette fête est le synonyme de la joie et des rires. On a tout d'abord d’abord le personnage de Coelio qui rentre sur scène habillé en noir, ce qui est totalement le contraire pour Octave car il arrive déguisé en Arlequin. Le registre comique est aussi mis en évidence quand Octave répond « plus que jamais de vin de Chypre » a une réplique précédente de Coelio, la situation est assez décalée. Ou encore quand Octave s'exclame: « Veux tu de l'argent? Je n'en ai plus

relation les deux personnages entretiennent-ils ? Comment cette relation évolue-t-elle au cours de la scène ? Que dénonce Marivaux ? e) Comment appelle-t-on ce type de scène ? Questionnaire 2 3 - Scène 10 a) Quel choix font Arlequin et Cléanthis ? Pourquoi ? Que prouve ce choix ? b) Selon Cléanthis, quelle est la véritable noblesse ? 4 - Scène 11 a) Quel le rôle de Trivelin dans cette scène ? b) Quelle est la situation finale ? c) En quoi

ils ont un rapport avec Figaro et surtout qu’ils servent ou entravent ses intérêts, en l’occurrence son mariage. Figaro présente au public un visage neuf et un renouvellement de l’emploi du valet qui s’oppose à celui des Scapin, Sganarelle et aux Arlequins du passé. Le rang social reste sans doute le même mais les fonctions attachées à la condition du valet ont évolué et surtout les comportements et l’indépendance s’affermissent. Le Mariage de Figaro eut été impossible quelques années plutôt, non qu’aucun

Masques : Arlequin, Colombine, Pantalon, Goldoni. Théâtre classique (XVIIème siècle) :  Codifié : Règle des trois unités + Bienséance + Vraisemblance + Cinq actes  Exposition (=Situation initiale + Lieu + Temps + Pers. + Relations) = I + Nœud de l’intrigue (= Conflits  Progression dramatique) = II et III + Péripéties (= Retardent/Modifient le dénouement) = IV + Dénouement (= Solution définitive au problème) = V.  Tragédie = Personnages nobles, héroïques  Fatalité/Destin  Mort/Malheur  Catharsis

besoins. Ainsi, il commence à écrire pour la Commedia dell'arte. L'Ile des Esclaves est une comédie en un acte et onze scènes, l'intrigue provient du fait qu'Iphicrate et son valet Arlequin se retrouvent naufragés sur une ile où la funeste coutume consiste à tuer tous les maîtres s'y présentant. Dans leurs malheurs, ils seront accompagnés par Cléanthis et Euphrosine, sa maîtresse. Dans l'extrait présenté, le lecteur arrive au moment où Iphicrate menace de tuer son laquais avec une épée et Trivelin

prend un malin plaisir à se maquiller comme sa maîtresse. De son côté M. Orgon explique amusé à Mario, son fils, que Dorante, pris par la même crainte a lui aussi décidé de se faire passer pour son propre valet et s’attribut le nom de Bourguignon. Arlequin qui est en réalité son valet, se présentera comme étant Dorante. Mario et son père sont alors les seuls au courant du stratagème des fiancés. Tandis que Silvia (déguisée en Lisette) essaie d’en apprendre d’avantage à propos de Dorante auprès de

être le « maître du jeu » et ainsi le « maître de la pièce » grâce à sa rhétorique remarquable : il parle peu et est un bon orateur. Il se démarque des autres domestiques, Marton qui parle beaucoup et Arlequin qui s’exprime de manière crue. On voit cela dans la scène 10 de l’acte II, lorsque Arlequin s’exprime en l’insultant : « tu es un plaisant magot ! », « toute ta race de canaille » ou encore le mot « ostrogoth ». Ainsi, il domine les personnages, dépassant de loin sa simple condition et dépassant

Frontin, ce que j'en dis, c'est en cas que vous n'aimiez pas Lisette, comme cela peut arriver ; car chacun n'est pas du même goût. Frontin. − Paix ! vous dis−je ; car je l'aime. Champagne. − Et vous, Mademoiselle Lisette ? Lisette. − Tu joues de malheur, car je l'aime. Champagne. − Je l'aime, partout je l'aime ! Il n'y aura donc rien pour moi ? Lisette, en s'en allant. − Une révérence de ma part. Frontin, en s'en allant. − Des injures de la mienne, et quelques coups de poing, si tu veux. Champagne

Régence apporte un autre renouvellement du théâtre avec le retour, dès 1716, des Comédiens-Italiens chassés par Louis XIV et le début d’une très grande ;:Silvia…) et rire des lazzi et du dynamisme des personnages issus de la commedia dell'arte comme Arlequin, Colombine ou Pantalon. C’est dans cette lignée que trouve place Marivaux (1688 -1763) avec ses comédies qui associent la finesse de l’analyse du sentiment amoureux et la subtilité verbale du marivaudage aux problèmes de société en exploitant le

classique, la Commedia dell’arte employait des comédiennes pour jouer les rôles féminins au lieu de les faire interpréter par des hommes. La troupe comportait plusieurs personnages que l’on peut classer dans quatre familles : -les zannis (valets) : Arlequin, Scaramouche… - les vieillards : Pantalon, le Docteur… - les soldats : le Capitan… - les amoureux : Isabella, Colombine… Ce sont des personnages « types », caricaturaux et facilement reconnaissables auxquels correspondent des masques « types »