Les Malheurs D Arlequin

d'exprimer toute son amertume dans un monologue demeuré célèbre. ANNOCE DU PLAN +LECTURE DU TEXTE I/ Un monologue exceptionnel par l'ampleur et le dynamisme qui traduit le génie du verbe de Figaro. Contrairement au valet alcoolique et égoïste Arlequin rencontré 50ans plus tôt, Figaro apparaît ici très vite comme un génie. Notons que ce monologue est l'un des plus long du répertoire théâtral français, ce qui montre d'emblée le génie du verbe de Figaro. Le temps de parole est également exceptionnel

sous les auspices du dieu Dionysos, mais surtout il avait une fonction éminemment civique. Pour Aristote, par le biais de la " catharsis ", il contribuait à rendre les hommes meilleurs en provoquant en eux la " terreur " et la " pitié " devant les malheurs qui frappaient des personnages auxquels la plupart pouvait s'identifier. Quant à la comédie, elle a toujours prétendu corriger les mœurs par le rire. Au Moyen Age, les représentations des mystères chrétiens sur les parvis des cathédrales étaient

d’angoisse de la vieillesse. Le vieux juif, 1903, Pablo Picasso, période bleue En 1904, il s’installe définitivement à Paris et tombe amoureux de Fernande Olivier, ce qui égaiera un peu ses toiles. Il s’intéresse au monde du cirque, peint des arlequins, des jongleurs et acrobates dans une teinte rose qui évoque une certaine mélancolie. Cette période Rose s’achève en 1906, date à laquelle Picasso commence à créer des peintures beaucoup plus géométriques. La famille de Saltimbanques, période

------------------------------------------------- L'Île des esclaves Auteur : Marivaux (1688- 1763) Genre : comédie théâtrale Date de publication : 1725 Structure : un acte composé de 11 scènes Sujet : C’est une pièce qui dénonce l’esclavage. Un valet Arlequin (personnage de la comédie dell’arte : influence de cette comédie sur Marivaux) et son maitre Iphicrate sont naufragés sur une ile : « l’ile des esclaves » c’est une ile ou les esclaves se vengeant de leurs maitres en inversant les rôles. Cependant

le xviie siècle entreprit de codifier le genre, établissant les règles de latragédie classique. Cette dernière met en scène des personnages nobles et héroïques qui tentent de faire face à la fatalité d'un destin qui les conduit le plus souvent à la mort ou au malheur. Elle reprend le mot d'ordre d'Aristote et de la tragédie antique en se voulant catharsis : évacuation des passions néfastes par le biais d'un spectacle qui inspire à la fois « terreur et pitié ». La comédie, florissante aux xviie (Molière) et xviiie siècles

Il se présente comme un héros typiquement romantique. C’est un homme cultivé et orgueilleux, qui se croyait promis à un destin d’exception. Idéaliste et passionné, il voulait changer la société, avait « bâti des plans sur tout », « plaignai[t] le malheur de l’Espagne » et croyait « qu’au monde [il] manquai[t] » (v. 317-320). Il vient cependant du peuple et, génie incompris, a connu la désillusion. Désormais laquais, il reste en marge de la société ce qui le rend mélancolique. Toutefois, sa passion

qu’elle a fait ; aucune puissance ne peut le changer ; et quand il n’a plus lieu, elle rentre dans le droit et dans la pleine liberté d’en passer un nouveau avec qui et comme il lui plaît. C’est ce qui arriverait en France si, par le plus grand des malheurs, la famille entière régnante venait à s’éteindre jusque dans ses moindres rejetons : alors le sceptre et la couronne retourneraient à la nation. Diderot, portrait par Louis-Michel Van Loo (1767) 35 Article « Christianisme » [Dans cet article

MONSIEUR ORGON Que veut dire ce galimatias ? Une âme, un portrait : explique-toi donc ! Je n'y entends rien. SILVIA C'est que j'entretenais Lisette du malheur d'une femme maltraitée par son mari, je lui citais celle de Tersandre que je trouvai l'autre jour fort abattue, parce que son mari venait de la quereller, et je faisais là-dessus mes réflexions. LISETTE Oui, nous parlions d'une physionomie qui va et qui vient, nous disions qu'un mari porte un masque avec le monde, et une grimace avec

l’humour pour instruire. « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », dit Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville, de Beaumarchais. Figaro, un personnage de théâtre, prend ainsi du recul, grâce à l’humour, sur ses malheurs personnels afin de mieux les supporter. Nous pouvons nous demander : « Peut-on traiter des sujets sérieux sur un mode léger ? ». Est-il possible d’évoquer des sujets graves sur un ton plaisant ? Pour répondre à cela, nous verrons qu’à première vue

un amoureux naïf Argument 1 :Exemple 1 :Argument 2 :Exemple 2 :c)La crédulité du personnage : une volonté de faire rire le lecteur Argument 1 :Exemple 1 :Argument 2 :Exemple 2 :Proposition d’un exemple de référence extérieure en lien avec le I : Arlequin ou Géronte, stéréotypes de la crédulité littéraire.Formulez votre conclusion partielle + transition : II. De plus, outre la volonté d’amuser, de séduire le lecteur, Candide tend également à instruire