Les Malheurs D Arlequin

d’Arlequin. La fin de la pièce n’est en fait que le retour au début de l’histoire, ce qui est le propre de la comédie. Lecture du texte IPHICRATE : Esclave insolent ! ARLEQUIN, riant : Ah ! ah ! vous parlez la langue d'Athènes ; mauvais jargon que je n'entends plus. IPHICRATE : Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? ARLEQUIN, se reculant d'un air sérieux : Je l'ai été, je le confesse à ta honte, mais va, je te le pardonne ; les hommes ne valent rien. Dans le pays d'Athènes, j'étais ton

grinçante Persistance des formes traditionnelles du comique On retrouve dans Les Fausses Confidences les formes traditionnelles du comique qui provoquent chez le spectateur un rire franc, comme le comique de mots (sur le verbe « donner », mal compris par Arlequin, I, 8) ou le comique de situation (Dorante se retrouve en un instant fiancé à Marton à cause de Monsieur Remy alors même qu'il projette de séduire Araminte, I, 4). De même, Marivaux ayant toujours travaillé avec les comédiens du Théâtre-Italien,

elle qu’on l’envoyait au couvent, pour arrêter sans doute son penchant au plaisir, qui s’était déjà déclaré et qui a causé, dans la suite, tous ses malheurs et les miens. 13 Manon Lescaut, Seconde partie, la mort de Manon, Abbé Prévost (1731) 1 5 10 15 20 Pardonnez, si j’achève en peu de mots un récit qui me tue. Je vous raconte un malheur qui n’eut jamais d’exemple. Toute ma vie est destinée à le pleurer. Mais, quoique je le porte sans cesse dans ma mémoire, mon âme semble reculer d’horreur

|*Rédiger la tirade d’Iphicrate (réponse à |*Travail à la maison (écriture) | | |*Etudier l’enjeu de la scène | |Arlequin) | | | | |Voir le document |

Partie B : Cette scène nous expose l'action. - § 1 : Iphicrate présente à Arlequin la particularité de l'île des esclaves. - § 2 : Arlequin s'affranchit (se libère) de son maître. - § 3 : Arlequin expose à son maître sa nouvelle condition sociale. le 22/01/210 (Partie A :) Cette scène présente toutes les caractéristiques d'1 scène d'exposition (- § 1 :) Elle nous renseigne sur le couple maître-valet. Arlequin est 1 bon vivant, il boit constamment de l'eau de vie, il a sa bouteille

femme montait sur scène , elle ne portait pas de masques. Comme le peuple était peu cultivé à cet époque , afin de reconnaître les personnages et comprendre les histoires , les comédiens interprétaient toujours les mêmes personnages. Par exemple , Arlequin était reconnu grâce à son costume très coloré formé de losanges et à son masque noir. --Aussi , elle est définie comme une pièce où l'on fait « son texte » face au public , sur un thème réglé d'avance : le scénario ; il s'agit de l'improvisation

impressions- arlequin en fait un peu trop, il exagère- il déclare son amour et essaie de retenir ses faveurs- arlequin va très vite, elle essaie de le ralentir - lisette rentre dans son jeu, jeu de la séduction- ils sont censé jouer le rôle de leurs maîtres, mais dans le jeu de séduction ils n’arrivent pas à abandonner leur langages, leurs façons de parler - un peu d’ambiguïté dans le jeu de lisette- l’avidité d’arlequin qui est dans l’impatience, il lui prend la main- comment arlequin prend la main

qu’est Iphicrate, et son esclave, Arlequin, ont fait naufrage, et échouent sur une île. Tous leurs compagnons semblent avoir péri en mer, mais Iphicrate veut partir à leur recherche. Arlequin, profitant de la situation, décide de ne plus être son esclave, d’autant plus qu’Iphicrate lui indique imprudemment que, sur cette île, se trouvent « des esclaves de la Grèce révoltés contre leurs maîtres […] et leur coutume, mon cher Arlequin, est de tuer tous les maîtres qu'ils

m’exposer à leur vengeance chez les dieux ? Que je dusse mourir, ne le savais-je pas ? Et cela, quand bien même tu n’aurais rien défendu. Mais mourir avant l’heure, je le dis bien haut, pour moi, c’est tout profit : lorsqu’on vit comme moi, au milieu de malheurs sans nombre, comment ne pas trouver de profit à mourir ? Subir la mort pour moi n’est pas une souffrance. C’en eût été une, au contraire, si j’avais toléré que le corps d’un fils de ma mère n’eût pas, après sa mort, obtenu un tombeau. De cela, oui

spectateurs, cette critique s’adresse au public. Les valets n’étant pas admis à la Comédie française, Arlequin et Cléanthis deviennent leur porte-parole, les porte-parole d’une classe sociale obligée de subir tour à tour violences physiques et morales. Ces violences conduisent même à la dépersonnalisation des valets : ils n’ont même plus de noms et répondent seulement aux surnoms " hé " pour Arlequin et " Sotte, Ridicule, Bête, Butorde, Imbécile " pour Cléanthis (cf Scène III) Mais, il y a dans L'Île