Les Miserables La Petite Fille Toute Seule

Une fois que la lumière s’éteint, c’est une jeune demoiselle qui sort de l’immeuble s’encourt dans la rue. Autant d’étrangetés rendent Guillaume septique et le pousse à se poser beaucoup de questions… C’est décidé, dès le lendemain, lorsque la jeune fille réapparaîtra dans la rue pour s’enfuir on ne sait où, Guillaume la suivra pour enfin révélé le mystère. b) En réalité, Gudule essaie d’inciter les enfants et les adolescents à s’intéresser à la littérature et au français car au fil des aventures

Les figures de styles : Consignes : -Identifiez les figures de style contenues dans les énoncés suivants : Enoncés : 1)-Je laisse une mère, je laisse une femme, je laisse un enfant. 2)-Mais ma fille, mon enfant, ma pauvre petite Marie, qui rit, qui joue, qui chante à cette heure et ne pense à rien, c’est celle-là qui me fait mal ! 3)-J’ai entendu dire cela à des curieux qui sont venus me voir comme une bête de la ménagerie. 4)-Du reste, on suppose qu’il y

LE PETIT CHAPERON NOIR Il était une fois une sombre et mauvaise petite fille, au teint blanc comme neige mais à l’esprit noir comme la nuit. Tous disaient qu’elle était impertinente, égoïste, certains même que son corps était possédé par le diable. Elle inspirait méfiance et quelque chose en elle faisait qu’elle effrayait tous ceux qui croisaient son chemin. Une seule personne n’éprouvait pas cette peur à son approche, il s’agissait de sa grand-mère. La vieille femme et la petite fille possédaient

pas. Les enfants riaient, très excités ; et ces fils des champs, plus proches des bêtes, éprouvaient ce besoin cruel qui pousse les poules d'une basse-cour à achever l'une d'entre elles aussitôt qu'elle 35 est blessée. Simon avisa tout à coup un petit voisin, le fils d'une veuve, qu'il avait toujours vu, comme lui- même, tout seul avec sa mère. - Et toi non plus, dit-il, tu n'as pas de papa. - Si, répondit l'autre, j'en ai un. - Où est-il ? riposta Simon. 40 - Il est mort

Arrivée chez Bernard, il lui dicte son comportement et l’enferme dans sa maison pendant plusieurs jours. Bernard l’a emmenée à Paris et après qu’il a laissé Thérèse seule, l’histoire s’achève. III – Résumé de l’intrigue L’histoire commence au palais de Justice de Bazas où Thérèse Desqueyroux (Larroque de son nom de jeune fille) sort du procès où un non-lieu a été prononcé. Elle a essayé d’empoisonner son mari mais en vain. En grande partie grâce au témoignage de ce dernier : Bernard, elle

maladie, il sait qu'il a peu de temps à vivre et c'est dans l'urgence qu'il écrit des romans comme 'Une vie', 'Bel ami' et surtout de nombreuses nouvelles, art dont il devient un maître. Dans mon exposé nous parlerons de l’œuvre Une vie : Jeanne, fille unique très choyée du baron et de la baronne Le Penthuis des Vauds, avait tout pour être heureuse. Son mariage avec Julien de Lamare, rustre et avare, se révélera une catastrophe. Sa vie sera une suite d'épreuves et de désillusions. Ce roman, le premier

possible avec l’homme qu’elle aime. Après sa mort, Jacques sera incapable d’achever une seule œuvre d’art. Voici quelques passages de l’œuvre : « Elle rencontra Jacques et elle l’aima. Leur liaison dura six mois. Ils s’étaient pris au printemps, ils se quittèrent à l’automne. Francine était poitrinaire, elle le savait, et son ami Jacques le savait aussi : quinze jours après s’être mis avec la jeune fille, il l’avait appris d’un de ses amis qui était médecin.Elle s’en ira aux feuilles jaunes

Le roman Les Misérables a été écrit en 1862 par Victor Hugo, écrivain français très engagé dans la lutte pour une meilleure condition du peuple. Dans cet extrait, il s'attarde sur le cas de Fantine, femme du peuple qui se bat pour subsister et assurer un avenir à sa fille. Nous allons nous demander comment, à travers ce personnage féminin, l'auteur dénonce le sort des femmes du peuple au XIXe siècle. Il nous décrit tout d'abord la déchéance de Fantine puis se pose en juge de la société, responsable

frère que la narratrice pourra s'arracher à cette famille haïe. Plus tard, La mère regagna la France avec son fils préféré. Le passager de la limousine, un élégant chinois, aborde la jeune femme. Il propose, non sans timidité, de raccompagnée la jeune fille à Saigon. Sur le trajet elle en apprend davantage à son sujet : fils unique d'une riche famille, il revient d'un séjour à Paris. Un après midi, il se présente à la pension pour la ramener dans son appartement situé dans un quartier moderne de la ville

ma bande ? – Oui. – Très bien, et que le plus habile remporte la victoire. – Amen ! dit l’étranger. La lutte d’adresse commença. Les coups, libéralement donnés des deux parts, accablèrent bientôt l’étranger, qui ne put réussir à toucher Robin une seule fois. Irrité et haletant, le pauvre garçon jeta son arme. – Arrêtez, dit-il, je suis moulu de fatigue. – Vous vous avouez vaincu ? demanda Robin. – Non, mais je reconnais que vous êtes d’une force très supérieure à la mienne ; vous avez l’habitude