Les Missionnaires Et Les Explorateurs

conversion de l’Asie centrale (bassin du Tarim) et de la Chine. L’évangélisation de la Chine par les missionnaires bouddhistes peut paraître singulièrement tardive. Le Bouddha est mort en 483 avant J.-C. et ce n’est que dans les années 60 -70 de notre ère qu’on nous signalera l’existence d’une première communauté boud dhique en Chine. En réalité l’évangélisation de la Chine par les missionnaires bouddhistes a pour la première fois été rendue possible par la coexistence de deux grands faits politiques

la connaissance du public, s'alourdit aussitôt d'une « vêture de documents » (Raymond Bayer) [3]. Admirons la fertilité documentaire d'un simple fait de départ: par exemple, une antilope d'une espèce nouvelle a été rencontrée en Afrique par un explorateur qui a réussi à en capturer un individu qu'il ramène en Europe pour notre Jardin des Plantes. Une information de presse fait connaître l'évènement par des communiqués de journaux, de radio, par les actualités cinématographiques. La découverte fait

en dépit de leurs épreuves, leur bonheur toucha à son comble puisqu'ils découvrirent qu'Atala était née d'une première union de sa mère avec Lopez, le bienfaiteur de Chactas. Au plus fort de la tempête, tous deux furent recueillis par un vieux missionnaire, le père Aubry, qui leur donna asile dans sa grotte et leur promit de les marier. ‘’Les laboureurs’’ Pendant qu'Atala reposait endormie, le père Aubry fit visiter à Chactas le village de la mission où il enseignait aux Indiens, devenus laboureurs

On s'interesse à tout ce qui est lié sur les textes écrits et les images. Cela signifie que les premiers ethnologues ont travaillé à porter des descriptions laissées par les explorateurs ,les officiers coloniaux comme par exemple les militaires, les négociants (qui ramenaient les récits de leur voyage) ,les missionnaires.. L'ethnologie c'est pour certains « faire du terrain ,d'ou l'importance du terrain. Cela veut dire que par rapport à l'histoire , on travaille sur des documents qui sont constitués

des relations intenses bien avant, notamment par l'intermédiaire des marchands qui sur la Route de la soie ou des pèlerins qui allaient visiter la Terre Sainte avaient déjà une idée de l'islam. Très rapidement des géographes, des philosophes, des explorateurs des deux parties vont décrire les contrées lointaines. Du côté Arabe, c'est à Bagdad ou au Caire que les premiers géographes commenceront à dessiner des mappemondes en se basant sur les écrits indiens, chinois mais surtout grecs et à décrire

de l'Afrique. Ca va être soutenu par les sociétés de géographie. En effet les géographes seront les principaux alliés des explorateurs: ils veulent connaître le monde. Sur une carte, ce n'est pas anodin, l'Europe est au centre du monde. Les géographes veulent tracer des frontières, savoir où sont les sources des fleuves… La science va légitimer la colonisation. Les explorateurs partent avec l'idée de supériorité européenne. "Tout ce que nous avons à faire, nous, race supérieure vis-à-vis des races

bagnards, les révoltés.Certaines personnes y sont allé volontairement, c'était des avanturiers. Les conquêtes colonialles ont été fortement impulsé par ces avanturiers, qui voulaient découvrir de nouvelles terres, des militairres qui s'ennuyaient, des explorateurs animés par une curiosité géographique, des missionaires. Elles méttaient le gouvernemtn devant le fait accompli. Elles recharchaient une compensation ou une alternative à la vie terne et bourgeoise de la 2nd moitié du 19eme S. Les colonies ont

profondément l’église. On appelle ca la contre-réforme. Le concile de Trente va reprendre toute la doctrine de l’église et servir de base à la reconquête religieuse de l’Europe contre le protestantisme. Il redéfinit et redynamise la vocation missionnaire de l’église catholique. On y impose notamment le célibat des prêtres. Beaucoup de prêtres tentaient de transmettre à leurs descendants leurs biens, leur pouvoirs,… d’où l’obligation de célibat. Le concile rappelle toute une série de principes

Shakespeare, de la « modernité » de Racine, c’est tomber dans une forme de moderno-centrisme qu’il faudrait d’emblée éliminer au contraire. Le passé est autre que le présent. Les mentalités d’autrefois sont différentes et l’historien est comme un explorateur de l’espace qui débarquerait sur une planète habitée et devrait découvrir une vie extra-terrestre. Le culturalisme part du principe que l’altérité humaine est radicale, qu’il n’y a pas d’identité humaine. La solution épistémologique pour traiter

fondateurs : les Autochtones, les Français et les Britanniques. LES PEUPLES AUTOCHTONES On croit que les ancêtres des peuples autochtones sont venus d’Asie il y a plusieurs milliers d’années. Ils étaient établis ici bien avant l’arrivée des premiers explorateurs européens en Amérique du Nord. Les cultures vivantes et diversifiées des Premières Nations étaient enracinées dans des croyances religieuses liées à leur relation avec le Créateur, avec leur milieu naturel et avec les autres Autochtones. 16 Les