Les Misérables Figures De Style

est caractéristique du style épique : en effet La Fontaine insiste sur l’importance de ce mal, sur le fait qu’il touche tout le monde : le vers 7 est caractéristique du style épique : « ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. » ce vers qui forme un chiasme (figure de style a-b-b-a). le cœur de ce vers est l’adverbe : « tous » qui souligne le caractère général de ce mal : tous les animaux sont impliqués. De plus, le terme « guerre » au vers 6 relève aussi du style épique « faisait aux

travail parfois obscures (fragment 22 : « Condition de l’homme : Inconstance, ennui, inquiétude » ou encore fr. 42 : « Vanité. La cause et les effets de l’amour. Cléopâtre »). On ne reconnaît pas, dans ce type de fragments, le travail de style (syntaxe, figures de style) ; l’idée est elliptique, sans développement explicatif. Ce sont d’ailleurs parfois, plus précisément, des notes de lecture : pour les liasses au programme, en dehors de la Bible, principalement sur Montaigne, Essais, livres II et

fîmes » montre que l’auteur n’a pas abandonné le style soutenu. Sur le plan syntaxique, la plupart des phrases sont juxtaposées et non subordonnées. Elles débutent de façon indépendante comme : « Avec ma mère » (l 1), « Dans le grand abandon » (l 8), « Il y a » (l 11), « Tout se passe » (ligne 21). Ces tournures énumératrices donnent un style haché qui correspond bien au langage de tous les jours. Détaillons plus profondément. L’aspect misérable de la banlieue, en l’occurrence, Bicètre, le sud

Pourtant, les chiens de garde de la littérature traitent souvent l'adaptation cinématographique sous le seul aspect de ses écarts avec l'œuvre d'origine, de ses manquements par rapport à la matière romanesque, de son incapacité à en retrouver le style. Le but de l'artiste est pourtant rarement de retranscrire l'œuvre littéraire mais bien plutôt d'en donner sa propre vision. Lorsque Visconti adapte L'innocent de D'Annunzio, c'est sa familiarité avec l'œuvre qu'il indique dès le générique en filmant

INTRODUCTION Le roman commence par la description d'une pension misérable tenue par une veuve : Mme Vauquer. Le narrateur la présente au lecteur en inspectant les lieux et en inventoriant les objets avec minutie. Cette description constitue un préambule au drame qui va se jouer par la suite. En effet, le décors préjuge les personnages qui y vivent. I- UNE DESCRIPTION MINUTIEUSE DU RÉEL 1) L'apparence de la spontanéité La description semble suivre l'ordre de la découverte et l'on remarque que

annoncer « Peuple de Guernesey » (l.1) qui va permettre d’interpeller directement ses lecteurs, cela va donc captiver et donner envie aux personnes de continuer la lecture de sa lettre. Dès les premières lignes, on peut voir qu’il utilise une figure de style qui est l’anaphore « C’est un proscrit », cela permet donc aussi de savoir qu’il est contre quelque chose. On peut aussi remarquer qu’il annonce son thème en disant « C’est un proscrit qui vient vous parler pour un condamné » (l.3). Cette phrase

ne pas être inutiles. » Victor Hugo, Hauteville-house,                                                                                                                            1er janvier 1862. C’est ainsi que Victor Hugo dans la préface des misérables qualifiera son siècle ; siècle d’incertitudes, de crises et de bouleversements. Nous somme au XIXème siècle, la révolution française est terminée et l’ancien régime est mort. Après Bonaparte, la France est battue, humiliée et envahie par les armées

tremblantes", "la voix faible", "soupirs fréquents", " le silence", "le serrement de ses mains" (allitération en "s"). Les efforts de M. pour s’exprimer se réduisent à une annonce à laquelle DG n'accorde en premier temps pas d'importance, rapportée au style direct : ("elle me dit, d'une voix faible, qu'elle se croyait à sa dernière heure"). Puis les efforts de M.L. sont traduits par des expressions et des « marques d'amour ». Il fait l'économie de nous en révéler la nature, comme s'il jugeait que cela

trouveriez ce salon élégant et parfumé comme doit l'être un boudoir. Cette salle, entièrement boisée, fut jadis peinte en une couleur indistincte aujourd'hui, qui forme un fond sur lequel la crasse a imprimé ses couches de manière à y dessiner des figures bizarres. Elle est plaquée de buffets gluants sur lesquels sont des carafes échancrées, ternies, des ronds de moiré métallique, des piles d'assiettes en porcelaine épaisse, à bords bleus, fabriquées à Tournai. Dans un angle est placée une boîte à

Les Misérables Résumé : I. Fantine (première partie) L'évêque et le forçat (livre premier et second) 1815. Après vingt ans de bagne pour le vol d'un pain, Jean Valjean veut se rendre chez lui. Il traverse la ville de Digne et cherche un logement pour la nuit. La seule personne qui accepte de l'héberger, est l'évêque de la ville Mgr Bienvenu. Malgré toute la générosité de l'évêque, le bagnard prend la fuite en pleine nuit, après avoir dérobé les couverts en argent de l'évêque. Au