Les Misérables Gavroche

Ils mettent ainsi en avant l’exploitation des pauvres par les riches. Comme dans la plupart des romans de la série des Rougon-Macquart de Zola. Dans Les Misérables notamment, Victor Hugo fait la description d’une société de clivages entre riches et miséreux. En effet, il dénonce les injustices faites aux plus pauvres (Fantine, Cosette, Gavroche) tout comme les abus de certains personnages peu recommandables (les Ténardiers) ainsi que les excès des puissants. Mais cette œuvre met plus en avant « la

dilatés, il porte un bonnet des voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté figure un autre garçon, il symbolise la jeunesse révoltée par l'injustice. Il évoque avec son béret de velours noir d’étudiant le personnage de Gavroche que l'on découvrira dans les Misérables 30 ans plus tard. Il a les armes et la besace qu'il a pris sur des cadavres de soldats du Roi car il n'est pas sensé en posséder. Il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Arrière-plan :

couleurs chaudes dominent les corps des émeutiers. IV) Relation avec d’autres œuvre La scène a probablement inspiré à Victor Hugo sa barricade dans Les Misérables et plus particulièrement son personnage de Gavroche[15]. On remarquera que le garçon porte en bandoulière une sacoche de munitions ou de grenades tout comme le personnage des Misérables qui vole les cartouches pour les « résistants » de la barricade avant de se faire tuer. Si Hugo s'est véritablement inspiré du tableau, c'est l'un des rares

incarne parfaitement la bonté, l'humanisme. Il se bat pour soigner les victimes de la peste qui est en fait l'allégorie de nazisme. Nous avons ainsi envie de nous identifier à cet homme qui combat la maladie. Victor Hugo décrit un Gavroche courageux dans Les misérables. Grâce au registre fantastique, Hugo rend cet enfant féerique et nous transporte au côté de lui. Dans La Princesse de Clèves, Marie-Madeleine de La Fayette raconte l'histoire de cette héroïne éponyme. Elle apparaît comme une femme

de Rimbaud ou « Je t’écris O Mon Lou » d’Apollinaire, grâce au dessin et à la caricature comme Plantu dans le Monde pour dénoncer par l’humour noir la guerre croato-bosniaque en Février 1994, ou encore dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante

de Rimbaud ou « Je t’écris O Mon Lou » d’Apollinaire, grâce au dessin et à la caricature comme Plantu dans le Monde pour dénoncer par l’humour noir la guerre croato-bosniaque en Février 1994, ou encore dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante

de Rimbaud ou « Je t’écris O Mon Lou » d’Apollinaire, grâce au dessin et à la caricature comme Plantu dans le Monde pour dénoncer par l’humour noir la guerre croato-bosniaque en Février 1994, ou encore dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante

mots «condamné à mort»), l'anaphore qui permet de rendre plus fort le cri d'horreur du condamné. Hugo se pencha sur ces bas-fonds sociaux dont il fut plus tard le peintre puissant à la fois épique et réaliste dans ‘’Claude Gueux’’ et dans ‘’Les misérables’’. Le roman est un document sur les grandes prisons de Paris. La violence de la vie en prison est bien montrée, surtout celle que subit le condamné à mort qui est souvent isolé des autres prisonniers, même si on l'autorise à aller à la promenade

de Rimbaud ou « Je t’écris O Mon Lou » d’Apollinaire, grâce au dessin et à la caricature comme Plantu dans le Monde pour dénoncer par l’humour noir la guerre croato-bosniaque en Février 1994, ou encore dans le roman comme le texte des Misérables de Hugo où Gavroche ramasse les cartouches des morts sous le feu des gardes nationaux et des soldats. A cela s’ajoute la possibilité d’insérer diverses formes dans ses écrits : l’auteur est libre dans les fables d’ajouter des dialogues, pour rendre plus vivante

porte en bandoulière le sac d’un soldat certainement mort. Son béret de velours noir évoque les étudiants de Paris. Victor Hugo s’en inspira pour le personnage de Gavroche dans les Misérables. - L’homme au foulard sur la tête : C’est un paysan venu travailler un ville comme ouvrier. Il porte les couleurs de la ville de Paris. Gravement blessé, il se redresse à la vue de la Liberté. - L’homme au chapeau haut de forme