Les Misérables Gavroche

Turcs. Evocation de la défaite, de la mort, costume moderne représenté, domination du hayon, nu misérable. La liberté guidant le peuple. Delacroix offre une allégorie de la liberté, ainsi que la mort au pied de la femme, figure de martyr de cette révolution. Apparition de différente classe sociale avec le costume moderne pour faire appel a l’image militante des castes mélangées pour la liberté. Gavroche de Victor Hugo à gauche de la liberté, incite a penser à l’avenir et renforcé la fecondité.Oeuvre

abandonnés à une existence frustre et condamnés à voler leur pain pour survivre. De Claude Gueux, héros tragique d’une nouvelle tirée d’un fait réel, à Jean Valjean, cette figure du martyr humain, tous deux envoyés au bagne pour avoir volé un quignon, de Gavroche à ses deux petits frères perdus dans un Paris hostile, les personnages d’Hugo nous racontent cette machine sociale qui broie les plus faibles et les condamne «au crime ou au vice, selon le sexe». Harcelé par son geôlier, Claude Gueux finit par le

1840, à l’image des grands romans sociaux de Balzac ou de Sue, les Misérables fut publié en 1862 et accueilli avec réserve par la critique mais avec un enthousiasme délirant par le public, tant en Europe qu’aux États-Unis. Hugo confiait d’ailleurs à son éditeur, avant même d’avoir achevé la relecture des Misérables : «!Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre.!» Les Misérables met en scène l’histoire et le progrès du peuple en marche!; malgré

quatre vents de l'esprit (1881) Poésie satirique :Les châtiments (1853) Poésie épique :La légende des siècles (1859,1876,1883) Théâtre :Cromwell (1827) Hernani (1830) Ruy Blas (1838) Les Burgraves (1849) Romans :Notre-Dame de Paris (1831) Les misérables (1862) Les travailleurs de la mer (1866) Quatre-vingt-treize (1874) | | Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est, certes, un auteur d’une stature incomparable et inégalée. Sa devise «!Ego Hugo!», qui traduit son orgueil légendaire

1840, à l’image des grands romans sociaux de Balzac ou de Sue, les Misérables fut publié en 1862 et accueilli avec réserve par la critique mais avec un enthousiasme délirant par le public, tant en Europe qu’aux États-Unis. Hugo confiait d’ailleurs à son éditeur, avant même d’avoir achevé la relecture des Misérables : «!Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre.!» Les Misérables met en scène l’histoire et le progrès du peuple en marche!; malgré

1840, à l’image des grands romans sociaux de Balzac ou de Sue, les Misérables fut publié en 1862 et accueilli avec réserve par la critique mais avec un enthousiasme délirant par le public, tant en Europe qu’aux États-Unis. Hugo confiait d’ailleurs à son éditeur, avant même d’avoir achevé la relecture des Misérables : «Ma conviction est que ce livre sera un des principaux sommets, sinon le principal, de mon œuvre !» Les Misérables met en scène l’histoire et le progrès du peuple en marche. Malgré cette

Corrigé de l'épreuve du BAC S et ES 2011 de Français Lundi 20 juin 2011 Objet d'étude : Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Texte A - Victor Hugo, Les Misérables, 4ème partie, livre 12, 1862 Texte B - Gustave Flaubert, L’Education sentimentale, troisième partie, I, 1869 Texte C – Emile Zola, La Fortune des Rougon, chapitre I, 1871 >> voir le sujet complet et les textes du corpus I - Vous répondrez d’abord à la question suivante (4 points) : Quelles visions

un homme avec de grandes qualités ou de gros défauts, qui vit des sentiments très forts, souvent contradictoires. On peut trouver un mélange et douceur et de violence come avec les personnages de Victor Hugo Claude Gueux ou Jean Valjean dans Les Misérables ou des sentiments allant du bonheur au désespoir. Le héros romantique éprouve un profond mal de vivre et une grande insatisfaction : « L’imagination est riche, abondante et merveilleuse ; l’existence pauvre, sèche et désenchantée. On habite avec

voltigeurs de la garde. A droite, devant la Liberté, figure un garçon. Symbole de la jeunesse révoltée par l’injustice et du sacrifice pour les nobles causes, il évoque, avec son béret de velours noir d’étudiant, le personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard. La giberne, trop grande, en bandoulière, les pistolets de cavalerie aux mains, il avance de face, le pied droit en avant, le bras levé, un cri de guerre à la bouche. Il exhorte au combat les insurgés.

robes de déesses grecques. * LE JEUNE GARCON ARME. Au côté de la Liberté, un enfant d’une dizaine d’années porte deux pistolets. L’artiste n’a rien laissé au hasard : la présence de ce petit garçon qui rappelle beaucoup le Gavroche de Victor Hugo dans les Misérables est également symbolique. * L’ETUDIANT ARME D’UN FUSIL. Derrière la Liberté, un homme coiffé d’un haut chapeau et habillé de manière plus élégante que ses compagnons, tient dans ses mains un fusil. Il peut faire songer à un