Les Misérables Injustice

«  un misérable » 2/ Antithèse sur le plan humain Riche «  oisif »l.21 Qui se fait servir, qui est assisté Cf chaise à porteurs Cf disproportions «  tout vole a son secours » L.17 + L.16 «  voilà des escortes » Malhonnête et violent Gradation L.10 à L.12, l.31 «  avanies » Pauvre : -actif L.4-5 relative ( travailleur manuel ) L.30 «  loin d’être aidé par personne » l.34 «  âme honnête » Transition un tableau caricatural qui vise à dénoncer les injustices sociales

contemplation; Mélancolia Victor Hugo est le chef de file du romantisme au XIXème siècle. Il est à la fois romancier poète,homme de théâtre,engagé dans l'histoire et la politique de son époque. Il s'est préocupé tout au long de sa vie du sort des misérables, et à lutté contre toute forme d'injustice socia. En 1856, il publie « Mélancolia » poème en alexandrin, exrait des Contemplation. Il évoque ici le travaildure et pénible des enfants, exploités sans pitié et en dépit de toute justice et liberté

Ce projet l’amène à côtoyer les plus misérables couches de la société comme les Mineurs de Germinal ou les ouvriers de L'assommoir. Cet écrivain engagé ne peut rester insensible face à la misère qu'il dénonce, avec force. Il s'engage aussi d'une autre manière en imaginant une société qui serait débarrassée des défauts de la sienne. Dans Le Cycle des Quatre Évangiles (fécondité, travail, vérité, justice) il désire un monde naît des luttes contre les injustices et la misère. Les quatre personnages

prix que vous mangez du sucre en Europe ». C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales. * Prenez un exemple dans votre corpus, culture... est développez-le. Cf. Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné). Cf. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail... sous

distributive et la justice corrective. La justice corrective concerne les transactions privées volontaires (vente, achat, etc.) et involontaires (crimes et délits). Elle obéit à une égalité arithmétique stricte : que l'homme lésé soit puissant ou misérable, le rôle de la justice est de rétablir l'égalité en versant des intérêts de même valeur que le dommage, comme s'il s'agissait de biens échangés dans un acte de vente. • La justice distributive concerne la répartition des biens et des honneurs

minutie et objectivité le monde tel qu’il est et l’homme tel qu’il est plus montrer les rouages de la société et des sentiments. Au 19è siècles, le roman voulait être miroir de la société ( dénonciation des injustices sociales) par exemple Victor Hugo dénonce la misère dans « les misérables » lorsque l’auteur créé un personnage, il se peut que le lecteur s’y attache Le roman est aussi témoin de l’époque. Lorsque le roman raconte toute l’histoire d’une famille il peint aussi une époque, des

Lecture du texte Trois d'entre eux, ignorant combien coûtera un jour à leur repos et à leur bonheur la connaissance des corruptions de deçà, et que de ce commerce naîtra leur ruine, comme je présuppose qu'elle soit déjà avancée, bien misérables de s'être laissé piper au désir de la nouvelleté, et avoir quitté la douceur de leur ciel pour venir voir le nôtre, furent à Rouen, du temps que leur feu roi Charles neuvième y était. Le Roi parla à eux longtemps ; on leur fit voir notre façon,

vie. Ce récit, long monologue intérieur, est entrecoupé de réflexions angoissées et de souvenirs de son autre vie, la "vie d’avant". Le lecteur ne connaît ni le nom de cet homme, ni ce qu’il a fait pour être condamné, mis à part la phrase : « moi, misérable qui ai commis un véritable crime, qui ai versé du sang ! ». L’œuvre se présente comme un témoignage brut, à la fois sur l’angoisse du condamné à mort et ses dernières pensées, les souffrances quotidiennes morales et physiques qu’il subit et sur les

prix que vous mangez du sucre en Europe ».               C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales. • Prenez un exemple dans votre corpus, culture... est développez-le. Cf. Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné). Cf. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail... sous

Jordan 1ere2 FRANCAIS I/ La relation plus frappante entre ces quatre textes qui sont présentés, est sans doute les causes très similaires que chacun des auteurs défendent. Ces textes dénoncent la misère du peuple, de leurs existences misérable et de leurs conditions de vie exécrables. Ils utilisent tous quatre l'argumentation direct pour dévoiler leurs causes le plus ouvertement possible bien loin des fables et des contes qui cachent une morales, ici les auteur vont jusqu'à souligner le