Les Misérables Waterloo

le jeune homme revient à Jean Valjean qui a la joie suprême de revoir sa chère Cosette avant de mourir comme un saint : «Sans doute, dans l'ombre, quelque ange immense était debout, les ailes déployées, attendant l'âme». Commentaire “Les misérables” sont une vaste fresque historique, sociale et humaine, mêlant tous les sujets, les destins personnels s'entrecroisant avec les forces de la société et les mouvements de l'Histoire. Hugo manifesta sa maîtrise de romancier par la vie de certaines

« Les Misérables » de Victor Hugo Résumé de l’histoire par partie Partie I : Fantine Jean Valjean, un ancien bagnard et forçat, ayant était condamné dans sa jeunesse pour le vol d‘un pain, à être enfermé au bagne de Toulon ; voit sa peine prolongée à chacune de ses tentatives d'évasion. En 1823, il est finalement libéré après dix neuf ans d’emprisonnement. Rejeté par tous, il doit son salut à la rencontre de Monseigneur Myriel qui lui offre la nourriture et le repos. Mais Jean Valjean déchiré

bien des malheurs sans pouvoir rien n’y faire tout comme le lecteur subit l’histoire qu’il est en train de lire sans pouvoir modifier son issu. Umberto Eco illustre cet argument avec un exemple simple : La description de la bataille de Waterloo dans les Misérables par V. Hugo. « Etait-il possible que Napoléon gagna cette bataille ? Nous répondons que non. Pourquoi ? A cause de Welligton ? A cause de Blücher ? Non. A cause de Dieu. » (l.34-35). L’argument 2 est relativement très lié à l’argument

2) Le mal du siècle retranscrit le malaise d’une génération. En effet, le romantisme apparaît dans une période de grands bouleversements politiques avec la Révolution Français de 1789 et l’empire de Napoléon qui se termine sur la défaite de Waterloo en 1815. De ces faits découle un malaise moral qui se traduit par le sentiment de mélancolie, une profonde angoisse car les espoirs de toute une génération sont réduits à néant ou au contraire un sentiment d’exaltation. « Voilà ce qui se présentait

explore les sentiments des personnages, l’étude des caractères « La princesse de Clèves ». Il y a les romans historiques qui prennent en toile de fond un épisode historique majeur comme Victor Hugo « Les misérables » dont la deuxième partie du premier livre est consacré à la bataille de Waterloo. Partie 2 L’influence de la réalité A) Imitation du réel La plupart des personnages des romans s’inspirent de la réalité et évoluent dans un cadre proche du notre. Le fait des descriptions détaillées

coeur des plaies, L'épine au front. J'ai des pleurs à mon oeil qui pense, Des trous à ma robe en lambeau; Je n'ai rien à la conscience; Ouvre, tombeau En 1852, Victor Hugo écrit « Les Misérables » , ce roman est un des piliers de la littérature française. Dans se livre, il décrit la vie des misérables de Paris et les provinces, il décrira plus particulièrement la vie d’un bagnard nommé Jean Valjean qui rappelé quelque peu l’homme du dernier jour d’un condamné. C’est un roman historique et

essentielles. 2) Complétez votre travail avec les éléments en jaune qui vous manquent dans le cahier, en partie Lettres. QUESTIONS DE LECTURE I. Gavroche sur les barricades 1. Rappelez en quelques mots qui est Gavroche dans Les Misérables. Dans Les Misérables, Gavroche est le troisième enfant de la famille Thénardier. Ses parents ne l’aiment pas ; aussi préfère-t-il choisir de vivre dans la rue. Son caractère débrouillard et sa gouaille en font un personnage des plus attachants dans le

cause, aurait une vision d'ensemble de la bataille. Dans cet extrait Fabrice découvre tout sans rien comprendre, sans même reconnaître le Maréchal Ney. Ces occurrences du mot “héros”renvoie à la naïveté de Fabrice face à l’horreur de la bataille de Waterloo. Il ne correspond pas aux caractéristiques du héros tel que nous connaissons de l'Antiquité. Selon les cultures, un héros est un demi-dieu, un personnage légendaire, un idéal, un surhomme ou simplement une personne courageuse. Lui, ne possède pas

temps ou il est nécessaire d’être solidaire. Les descriptions sont d’autant plus vraisemblables puisque l’auteur a vécu l’histoire. Quelques romans historiques, sociaux et philosophiques ont eux aussi un rôle de miroir de la société, tel que Les Misérables de Victor Hugo. Les romans sociaux et philosophiques se spécialisent sur la société en s'appuyant sur de longues analyses et de longues réflexions à propos de celle-ci. Le reflet de la société y est donc le principal sujet. Le roman historique prend

il y a plutôt des constantes. Dans un épisode donné, Stendhal réitère systématiquement les mêmes descriptions définies, sur lesquelles se retrouvent les interlocuteurs les plus divers de Fabrice. Le plus bel exemple est peut-être dans l'épisode de Waterloo. Fabrice y est catalogué sommairement, tantôt comme « blanc-bec », et tantôt comme « petit », « petit soldat », etc., selon que ce sont des hommes qui le nomment (le désignant ou l'interpellant), tous également agacés, ou des femmes (cantinières