Les Misérables Waterloo

et Louis XVIII tente un compromis entre l'Ancien régime et la France nouvelle. Des mesures maladroites et impopulaires suivent comme la réintégration des nobles émigrés. Napoléon averti, revient sur Paris, on a une fuite de louis XVIII à Gand. A Waterloo on a une bataille décisive, Napoléon vaincu abdique et se retire à sainte Hélène ou il meurt le 5mai 1821. THEME N°2: EXPANSION ECONOMIQUE ET SURSAUT DEMOCRATIQUE. PROBLEMES SOCIAUX ET POLITIQUES DE L ANGLETERRE INDUSTRIELLE. LE FAIT

LES MISÉRABLES TOME 1 FANTINE LIVRE I - UN JUSTE Chapitre I Monsieur Myriel En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C'était un vieillard d'environ soixante-quinze ans ; il occupait le siège de Digne depuis 1806. Quoique ce détail ne touche en aucune manière au fond même de ce que nous avons à raconter, il n'est peut-être pas inutile, ne fût-ce que pour être exact en tout, d'indiquer ici les bruits et les propos qui avaient couru sur son compte au moment où

tourner vers la loi Le Chapelier qui, malgré les meilleures intentions de son rapporteur, a eu le résultat d’empêcher une réorganisation des relations de travail et l’exploitation des ouvriers. Ce délit allait exister jusqu'en 1864. condition ouvrière misérable du 19ème siècle. Quant à la propriété tout ce qui était propriété collective va disparaître ou être limité. Ex des biens de l'Eglise. c)La famille : le registres d'état civil ne seront plus tenu par le clergé, instauration du mariage civil

un peu, mais mourir, c'est partir beaucoup. * L'Angleterre, c'est un pays extraordinaire. Tandis qu'en France nous donnons à nos rues des noms de victoires : Wagram, Austerlitz..., là-bas on leur colle des noms de défaites : Trafalgar Square, Waterloo Place. * Le comble de la politesse : S'asseoir sur son derrière et de lui demander pardon. * Pourquoi lave-t-on une injure alors qu'on essuie un affront ? * Les tarifs de chemins de fer sont aménagés d'une manière imbécile. On devrait faire

pouvoir, ce triomphe sera de très courte durée, car les empereurs et les rois qui ont vaincu Napoléon, vont à nouveau s'allier contre Napoléon et entrer en guerre contre la France. L' armée impériale va être mise en déroute le 18 juin 1815 bataille de Waterloo. Napoléon est contraint encore d'abdiquer, 100 jours après son retour de l'île d'elbe. Il est fait prisonnier par les anglais et envoyer sur l'île de Saint Hélène. Louis 18 va signé le second traité de Paris en novembre 1815, ce traité de Paris est

capital de cette scène, que Delacroix avait du mal à peindre. En dessinant un soir chez son ami Frédéric Villot (1809-1875), le peintre se serait fixé un ultimatum, en déclarant : « Demain j’attaque cette maudite nappe qui sera pour moi Austerlitz ou Waterloo ». Et ce fut Austerlitz74. Pour la charpente de la voûte, il s’était inspiré de croquis faits au Palais de justice de Rouen et du vieux hall de Westminster qu’il avait visité durant son séjour à Londres. C’est à partir de 1830 que Delacroix commence

!... Et trois, quarante-neuf, dit Boucard. -- Nous espérons , reprit Godeschal après avoir tout relu, que Messieurs composant le tribunal ne seront pas moins grands que ne l'est l'auguste auteur de l'ordonnance, et qu'ils feront justice des misérables prétentions de l'administration de la grande chancellerie de la Légion d'honneur en fixant la jurisprudence dans le sens large que nous établissons ici... -- Monsieur Godeschal, voulez-vous un verre d'eau ? dit le petit clerc. -- Ce farceur

fait l’ombre. Comme on voit, il avait une manière étrange et à lui de juger les choses. Je soupçonne qu’il avait pris cela dans l’évangile. Il entendit un jour conter dans un salon un procès criminel qu’on instruisait et qu’on allait juger. Un misérable homme, par amour pour une femme et pour l’enfant qu’il avait d’elle, à bout de ressources, avait fait de la fausse monnaie. La fausse monnaie était encore punie de mort à cette époque. La femme avait été arrêtée émettant la première pièce fausse

souvent !...) et trois quarante-neuf, dit Boucard. – Nous espérons, reprit Godeschal après avoir tout relu, que Messieurs composant le tribunal ne seront pas moins grands que ne l’est l’auguste auteur de l’ordonnance, et qu’ils feront justice des misérables prétentions de l’administration de la grande chancellerie de la Légion d’honneur en fixant la jurisprudence dans le sens large que nous établissons ici... – Monsieur Godeschal, voulez-vous un verre d’eau ? dit le petit clerc. – Ce farceur de Simonnin

souvent ! … Et trois, quarante-neuf, dit Boucard. – Nous espérons, reprit Godeschal après avoir tout relu, que Messieurs composant le tribunal ne seront pas moins grands que ne l’est l’auguste auteur de l’ordonnance, et qu’ils feront justice des misérables prétentions de l’administration de la grande chancellerie de la Légion-d’Honneur en fixant la jurisprudence dans le sens large que nous établissons ici… – Monsieur Godeschal, voulez-vous un verre d’eau ? dit le petit clerc. – Ce farceur de Simonnin