Les Misérables Waterloo

voter, donc pouvoir bourgeois !) + des paires (=les aristocrates)) Cela est mis à mal par la tentative de Napoléon à revenir au pouvoir en 1815 : les 100 jours. Il tente de réunir autour de lui ses fidèles. Ce coup d’état est vain. La défaite de Waterloo met un point définitif à cette tentative de retour. Le Roi est affaiblit et cela va donner lieu à des idées plus radicales. Les Monarchistes (appelés les ultras) vont pousser le Roi à durcir le Régime. A tel point qu’il va se produire la Terreur

teenager is seen from behind. He is wearing a hooded (fleece) jacket and jeans. He is watching the pedestrians, the passers-by walking in the street. He is on his own / alone / by himself. He looks lonely / lonesome, isolated, cut off from the others, miserable, depressed, gloomy. He seems to be an outsider, a misfit, on the fringe of society. He seems to be an outcast (a person who is rejected or excluded from a group or from society). He is without friends. As he is seen from behind, we can suppose he

d’ouvrage philosophique, mais il a laissé des notes qui ont été recueillies sous le titre de ‘‘Pensées’’. Quelles sont ses idées sur l’Homme ? Pascal, comme Montaigne, estime que l’homme est une contradiction, un être à la fois misérable et admirable. C’est un être misérable et malheureux par que son intelligence est limitée, son imagination trompeuse, et ses instincts bons et mauvais tout ensemble. Cependant l’homme est un être admirable parce que, à la différence des animaux, Il peut penser, aimer

qui revient trois fois en neuf lignes page 69 - celle du mot «persienne» qui revient quatre fois en sept lignes, page 383 - celle de la métaphore de la « gorgée d’eau glacée » reçue dans « un désert enflammé », du « verre d’eau glacée offert au misérable qui, dans le désert, meurt de soif et de chaleur » appliquée à deux objets différents (page 382), les comparaisons entre l’ancienne et la nouvelle Mme de Rênal comme entre Mathilde et Mme de Rênal se faisant à coups de «Quelle différence !» (pages

qui venait de tressaillir sur sa chaise comme si l’ébranlement de l’air eût frappé ses sens d’une commotion électrique. Presque au même instant, le bruit d’un coup de fusil fit trembler les vitres du salon, et Noun tomba sur ses genoux. – Quelles misérables terreurs de femmes ! s’écria sir Ralph, fatigué de leur émotion ; tout à l’heure on va vous apporter en triomphe un lapin tué à l’affût, et vous rirez de vous-mêmes. – Non, Ralph, dit Mme Delmare en marchant d’un pas ferme vers la porte, je vous

_____________________ En 1928, Giono rédigea un roman, ‘’Angiolina’’, qu’il laissa inachevé. On y trouve Toussaint, un nabot à grosse tête et un avare qui a la passion de l’or. Impatient de devenir riche, il entraîne dans l’aventure les familiers du misérable café de Manosque où il a ses habitudes, y compris la fille du patron, Angiolina, dite la Bioque, qui est amoureuse de lui. Il médite de punir la cupidité de ses acolytes en les noyant dans le vivier aséché où ils sont censés trouver l’or. Il fit

milieu d'un pareil désordre, qui se complique d'une espèce de panique, laquelle vient s'emparer des habitants de Castiglione et a pour résultat désastreux d'augmenter prodigieusement la confusion et d'aggraver, par l'émotion qu'elle leur donna, le misérable état des blessés. Cette panique fut causée par une circonstance en réalité bien futile. A mesure que chaque corps de l'armée française se reconnaissait, après avoir pris position, on formait, le lendemain de la bataille, des convois de prisonniers

.............................................. 95 3 MPD3 (EXERCICE 46) ................................................................................... 96 CHAPITRE 12 : EXERCICES COMPLETS................................................. 99 1 MISÉRABLES (HÔTEL) (EXERCICE 47) ........................................................... 99 2 TAXE D'APPRENTISSAGE (EXERCICE 48) ...................................................... 103 3 STAGES (EXERCICE 49).........................................

|(Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe) et | | | | |visée universelle qui le fait homme parmi| |décide de fondre son "misérable tas de secrets" | | | | |les hommes. | |dans ce par quoi il rejoint les mythes |

faisant des mélanges. Quand j'allais avec lui à la mosquée où on faisait très bonne impression parce que je le conduisais comme un aveugle et chez nous les aveugles sont très bien vus, il se trompait tout le temps et au lieu de prier il récitait Waterloo Waterloo morne plaine, ce qui étonnait les Arabes ici présents car ce n'était pas à sa place. Il avait même des larmes dans les yeux à cause de la ferveur religieuse. Il était très beau avec sa djellaba grise et sa galmona blanche sur la tête et priait