Les Misérables Waterloo

sur les plus honnêtes femmes, sur les mieux nées. En 1815, Hulot suivit la ligne de conduite du prince de Vissembourg, l’un de ses amis intimes, et fut l’un des organisateurs de cette armée improvisée dont la déroute termina le cycle napoléonien à Waterloo. En 1816, le baron devint une des bêtes noires du ministère Feltre, et ne fut réintégré dans le corps de l’intendance qu’en 1823, car on eut besoin de lui pour la guerre d’Espagne. En 1830, il reparut dans l’administration comme quart de ministre

favorable à la classe populaire et ouvrière Et pourtant par rapport à l’aristocratie humiliante et à la bourgeoisie le système napoléonien a laissé plutôt un bon souvenir et disposait d une popularité. 2 SECTION 2 : 1814 prise de paris 1815 Waterloo 2 dates pour se débarrasser de napoléon 1875 Le deuxième cycle constitutionnel 3 On repasse mais plus longtemps par les mêmes étapes avec la volonté de se référer au cycle précédent mais ac un souci de modération. Monarchie/république/empire

la France perdit les conquêtes napoléoniennes et se retrouva limitée aux frontières de 1792, elle garde donc la Savoie, le Comtat Venaissin, une partie de l’Alsace et la Saar. Cependant, suite au Cent Jours, au retour de Napoléon et à sa défaite à Waterloo, le second Traité de Paris, le 20 Novembre 1815, les mesures contre la France se durcissent, elle perd les régions acquises durant les guerres de la Révolution, est partiellement occupée et est contrainte à payer une indemnité de guerre. L’Autriche

avocat légitimiste Pierre-Antoine Berryer, prononce un discours éloquent dans lequel il déclare :« Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple, la cause celle de l'Empire, la défaite Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie ; la défaite, vous voulez la venger. […] Représentant d'une cause politique, je ne puis accepter, comme juge de mes volontés et de mes actes, une juridiction politique. […] Je n'ai

sur les plus honnêtes femmes, sur les mieux nées. En 1815, Hulot suivit la ligne de conduite du prince de Wissembourg, l’un de ses amis intimes, et fut l’un des organisateurs de cette armée improvisée dont la déroute termina le cycle napoléonien à Waterloo. En 1816, le baron devint une des bêtes noires du ministère Feltre, et ne fut réintégré dans le corps de l’intendance qu’en 1823, car on eut besoin de lui pour la guerre d’Espagne. En 1830, il reparut dans l’administration comme quart de ministre

sur les plus honnêtes femmes, sur les mieux nées. En 1815, Hulot suivit la ligne de conduite du prince de Wissembourg, l’un de ses amis intimes, et fut l’un des organisateurs de cette armée improvisée dont la déroute termina le cycle napoléonien à Waterloo. En 1816, le baron devint une des bêtes noires du ministère Feltre, et ne fut réintégré dans le corps de l’intendance qu’en 1823, car on eut besoin de lui pour la guerre d’Espagne. En 1830, il reparut dans l’administration comme quart de ministre

développements subjectifs, des intuitions originales. C'est pourquoi Stefan Zweig les compare à la stratégie de généraux célèbres et à la musique. Les généraux cités page 18 sont Napoléon et Hannibal (orthographié «Annibal»). Le premier a été battu à Waterloo par «le lourd Koutousow» (page 18) ; le second, durant les guerres puniques, s'était fait écraser par ce Fabius Cunctator qui «présentait lui aussi dans son jeune âge des signes frappants d’indifférence et d’imbécillité» (page 18). Stefan Zweig constate

sont faits délateurs pour être innocents » tient-il à préciser. Lors du visionnage du documentaire, une question lancinante revient à l’esprit : comment expliquer cette infâme lâcheté ? « La délation est une maladie de l’âme. Laissons de coté les misérables qui tuent pour quelque argent, mais à côté, il y a ce qui se disent patriotes et autres donneurs de leçons qui paradent en tant que « bons français » pour se donner bonne conscience. Si ce ne sont pas des malades, qu’est-ce que c’est ? » s’interroge

développements subjectifs, des intuitions originales. C'est pourquoi Stefan Zweig les compare à la stratégie de généraux célèbres et à la musique. Les généraux cités page 18 sont Napoléon et Hannibal (orthographié «Annibal»). Le premier a été battu à Waterloo par «le lourd Koutousow» (page 18) ; le second, durant les guerres puniques, s'était fait écraser par ce Fabius Cunctator qui «présentait lui aussi dans son jeune âge des signes frappants d’indifférence et d’imbécillité» (page 18). Stefan Zweig constate

garçon libre et sans soins, toujours agresseur, n’a rien à craindre d’un insuccès. En état 10 de mariage, un échec est irréparable. S’il est possible à un amant de faire revenir une femme d’un arrêt défavorable, ce retour, mon cher, est le Waterloo des maris. Comme Napoléon, le mari est condamné à des victoires qui, malgré leur nombre, n’empêchent pas la première défaite de le renverser. La femme, si flattée de la persévérance, si heureuse de la colère d’un amant, les nomme brutalité chez un