Les Mouches Les Personnages

a le teint fraisI – La structure du portraitII – Un personnage sûr de lui, objet de tous les regardsIII – Le portrait moralConclusionGiton a le teint frais, le visage plein et les joues pendantes, l'œil fixe et assuré, les épaules larges, l’estomac haut, la démarche ferme et délibérée. Il parle avec confiance ; il fait répéter celui qui l’entretient, et il ne goûte que  médiocrement tout ce qu’il lui dit. Il déploie un ample mouchoir et se mouche avec grand bruit ; il crache fort loin, et il éternue

intemporel. Mais la forme est comparable à celle de la tragédie antique :.La mise en place des personnage (par exemple: un personnage externe qui commente l’action comme le coryphée …) les personnages sont impuissants face aux forces supérieures (des dieux le plus souvent) l’enchaînement des événements et le dénouement nécessairement dramatique relèvent d’une fatalité implacable mais dans les réécritures les personnages sont guidées par des principes différent (la raison ..) et prennent les décisions par

l’estomac haut, la démarche ferme et délibérée : il parle avec confiance, il fait répéter celui qui l’entretetient, et il ne goûte que médiocrement tout ce qu’il lui dit : il déploie un ample mouchoir et se mouche 5 avec grand bruit ; il crache fort loin, et il éternue fort haut ; il dort le jour, il dort la nuit, et profondément, il ronfle en compagnie. Il occupe à table et à la promenade plus de

En quoi peut-on dire qu’il y a du comique dans les fables ? En donnant à ses personnages animaux des comportements humains, La Fontaine crée des décalques parfaits des humains et donne ainsi à ses Fables une dimension caricaturale. Ces amusantes allégories créent une interférence comique entre animaux et humains. De plus, ces personnages, ces animaux désignent la plupart du temps des personnages hauts placés dans la société, par l'utilisation d'un titre de noblesse ou d'une espèce animale connue

d'une grande curiosité intellectuelle, il publie en 1721 à Amsterdam et de façon anonyme les Lettres Persanes. L'histoire couvre une période qui s'étend de 1712 à 1720. Il s'agit d'un roman épistolaire, c'est à dire un roman mettant en scène des personnages échangeant des lettres. L'histoire progresse grâce aux échanges entre les épistoliers. Cette œuvre est particulièrement révélatrice de l'esprit de l'Orient, très à la mode à cette époque. L'Orient est source d'exotisme, de rêverie c'est aussi un

relier a un autre nom.Début du IV l’auteur nous fais une descriptionnous pouvons voir que le poème est bien d’inspiration picturalparcourt mes ligne inégales (image de lui même en représentant son poème)une mouche sur la feuille symbolise la liberté car elle peut voler. Mais aussi la mouche qui est attiré par les mauvaise odeurs dévoile l’insabrulité de sa cellule.V5. Que deviendrai-je ô Dieu qui connais ma douleur : jeu de réecriture des adresse typique de la bible.V6 toi qui me l’as donné :

de la cuire à point, Et de rendre au centuple à la grande nature Tout ce qu'ensemble elle avait joint ; Et le ciel regardait la carcasse superbe Comme une fleur s'épanouir. La puanteur était si forte, que sur l'herbe Vous crûtes vous évanouir. Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride, D'où sortaient de noirs bataillons De larves, qui coulaient comme un épais liquide Le long de ces vivants haillons. Tout cela descendait, montait comme une vague, Ou s'élançait en pétillant; On eût dit que le corps

vision tragique de la vie, intrinsèquement guidée par le destin. Ici, les dieux, soient du côté qu’ils soient, vont toujours annoncer qu’il « y aura la guerre » (l. 7 – 13 – 26). Egalement, les personnages ; Pâris, Hector, Iris, etc... Sont tous liés de certaine façon aux dieux, cette configuration de personnages d’origine divin est typique le la tragédie grecque, de même les paroles des vieillards et des femmes : « Iris ! Iris » (l.1) et « Merci, Iris ! » (l. 8 – 14) nous font penser qu’ils constituent

trop élevé, des personnages et des situations plus délibérément symboliques que ceux des récits ont pu contribuer à dérouter le spectateur et la critique. L'originalité de ce théâtre, qui n'est pourtant pas douteuse, tient en fait beaucoup moins aux formes qu'aux thèmes, et à la permanence d'un même projet: le drame sartrien évoque des « libertés qui se choisissent dans des situations », et plus précisément « le moment qui engage une morale et toute une vie ». Après Les Mouches qui montrent une

« charmant » • L’adjectif « tristes » est coordonné au participe « dansant » qui n’est pas de la même nature que lui. 1 masques : personnages qui portent des masques (métonymie). bergamasques : sens originel : habitant de Bergame, ville italienne qui fut le berceau de la commedia dell’arte. Sens du texte : masque originaire de Bergame et, par conséquent, personnages qui portent ces masques. Certains critiques estiment que Verlaine a choisi ce terme uniquement pour la rime et la sonorité du mot.