Les Moyens Litteraires Comique Pour Choquer

pièces de théâtre, c'est le genre littéraire que j'apprécie le plus, car on s'imagine la scène. Et puis, lorsque nous voyons une pièce, c'est ce que j'en pense particulièrement du moins, on peut réfléchir alors sur notre propre condition. Même dans la pièce la plus comique, il y a toujours quelque chose à comprendre, allant des conséquences malsaines de l'avarice à la maltraitance d'un entourage. C'est pour ces deux raisons là que le théâtre, ce genre littéraire et artistique, est mon préféré. J'aime

INTRODUCTION Le théâtre est un art qui naquit en Grèce au VIème siècle avant JC puis se répandit à Rome à la fin du IIIème siècle avant JC. Le « théâtre » est un terme complexe ayant plusieurs définitions ; entre autre, c’est un genre littéraire visant à être joué par des comédiens sur scène. Mis à part faire rire et divertir, nous cherchons à savoir si le théâtre a d’autres fonctions, c’est-à-dire d’autres rôles. Pour cela, nous nous demanderons quelles sont les principales fonctions du

permettre de construire des savoir-faire en langue, en écriture, en lecture, de s’approprier des notions d’histoire littéraire, de progresser vers l’autonomie, d’acquérir une approche de plus en plus réflexive de la littérature. Or la lecture analytique de textes sélectionnés par mes soins, la pratique du commentaire composé et de la dissertation, m’apparaissent comme des moyens de gloser, de décomposer, mais non de pratiquer l’écriture. Ajoutons qu’ en me limitant à ces exercices, je risque de

Quand il déclame : « Si vivre est un devoir, quand je l’aurai bâclé, Que mon linceul au moins me serve de mystère », on dirait qu’il était aux côtés de Toulet quand celui-ci composa les contre-rimes. Quel lecteur ne rêverait d’avoir pour cicerone littéraire un écrivain qui aime de passion les livres et ceux qui les écrivent. Grand conteur, Jean d’Ormesson sait redonner vie au plus mal aimé de nos écrivains. Même Zola paraît gracieux. Grâce à lui, La Fontaine et Molière s’échappent des programmes scolaires

faire avancer la littérature. B. Ce texte cite indirectement bcp d’autres textes Intertextualité : conception de la littérature qui fait qu’un texte est tjrs la reprise, le prolongement d’un autre texte. Ici, réf aux textes de la modernité littéraire (Henry James, Melville, Kafka) Image dans le tapis, réf à Henry James qui pose le pb du sens caché ou du sens ultime d’une œuvre. La nouvelle d’H.J n’aboutit pas et pose la question : Il y a-t-il une forme cachée, un sens ultime ? G.P ns pose

artiste de sa trempe construit des représentations symboliques capables d’exprimer, dans leur langage figuré, tel enjeu fondamental de son époque ». Il s’agit donc, pour ce qui est de notre réflexion, de nous interroger sur ce qui fait le génie littéraire de Rabelais en montrant comment il a enfoui la « substantificque mouelle » de sa réflexion et de sa pensée dans un récit inventif aux accents burlesques. Après avoir, dans un premier temps, montré en quoi il rend compte dans son œuvre de son siècle

MOYENNE AGE 1. FRANCOIS VILLON : La ballade des Pendus BiographieFrançois de Montcorbier dit Villon, né en 1431 à Paris et disparu en 1463, est le poète français le plus connu de la fin du Moyen Age.Ecolier de l’université, maitre de la faculté des arts dès 21 ans, il a d’abord mené une vie joyeuse d’étudiant indiscipliné au quartier Latin. A 24 ans il tue un prêtre. Il est amnistié. Il mène une vie errante et misérable

effet la critique n’est pas unanime sur le concept de roman picaresque et l’établissement de ses limites. Certains critiques se sont d’ailleurs demandés si le genre picaresque existait vraiment. Alors, s’il est vrai que la définition d’un genre littéraire relève habituellement de la recherche d’éléments structuraux identiques, alors quelles sont les carcteristiques communes au roman picaresque ? A/ Origine et Contexte 1/ Contexte Bénéficiant de la découverte de l'Amérique et de l'arrivée

appelaient si bien « l’humanité, » tend à disparaître de notre littérature avec la croyance à l’idéal et la croyance au bon goût. Elle a, en tout cas, disparu à peu près complètement de notre théâtre. Châtier les vices est bien moins la loi de nos auteurs comiques que flageller la nature humaine, et, lorsqu’ils prétendent corriger les mauvaises mœurs, nous ne savons comment cela se fait, mais le plus sûr résultat qu’ils atteignent, c’est d’offenser les bonnes. Quiconque s’est formé autrement que par la littérature

artiste de sa trempe construit des représentations symboliques capables d’exprimer, dans leur langage figuré, tel enjeu fondamental de son époque ». Il s’agit donc, pour ce qui est de notre réflexion, de nous interroger sur ce qui fait le génie littéraire de Rabelais en montrant comment il a enfoui la « substantificque mouelle » de sa réflexion et de sa pensée dans un récit inventif aux accents burlesques. Après avoir, dans un premier temps, montré en quoi il rend compte dans son œuvre de son