Les Méchants Peuvent Ils être Heureux

d'autres. Termes proches Le contentement. Etre contenté c'est d'une certaine manière être heureux. La plénitude ou le fait d'être comblé renvoient aussi au bonheur. Le bonheur est différent du plaisir car il suppose un plus et c'est précisément la nature de ce « plus » qui est énigmatique et qui est à trouver. Problèmes que peut poser la notion : Le bonheur durable peut-il s'envisager ? Peut-on être heureux si l'on est immoral ? Le méchant peut-il être heureux ? Films. Le bonheur, film de 1965. A. Varda

philosophique comme lorsque Zadig se retrouve esclave. Ensuite, l’apologue est facile d’accès car c’est une forme brève, donc il n’y à pas d’ennui possible. Il y a également peu de personnages, et les personnages présents sont des personnages types : méchant ou gentil. Chez la Fontaine, il y a les prédateurs et les victimes. Par exemple le lion, qui est autoritaire, représente le prédateur dans « la cour de lion » ou dans «  les obsèques de la lionne », le lion est un personnage récurent chez la Fontaine

connaître que parce que nous le désirons) qui tirent leurs origines de nos besoins, et leurs progrès de nos connaissances. Etat de nature= celui le moins préjudiciable à autrui= le plus propre à la paix (≠de ce que dit Hobbes). Les sauvages ne sont pas méchants car ils ne connaissent pas cde que c’est qu’être bon. Pitié=vertu naturelle universellement présente chez l’homme = répugnance innée à voir souffrir son semblable. De cette seule qualité découlent toutes les autres vertus sociales de l’homme. (Générosité

entraîneront sa réhabilitation en particulier dans le monde littéraire. A. Le loup dans l’Histoire : un personnage à éviter ! Si dans les contes traditionnels de Perrault ou des frères Grimm par exemple, le loup occupe toujours le rôle du personnage méchant, cruel et solitaire, ce n'est pas sans raison. A toutes les époques ou presque, le loup a été considéré comme un animal nuisible et malfaisant mais c’est néanmoins au Moyen Age qu’on le prend plus particulièrement en grippe : froid, guerres, disette

de croyance de Rousseau. Qu’est-ce qu’un vicaire ? C’est un prêtre mineur (subalterne) qui n’est pas curé ( dirige une paroisse) Dans le livre le personnage est vieux mais toujours vicaire en raison de ces relation amoureuses qui le conduisit à être puni. Ce n’est donc pas un dogmatisme, pas officiel (Pas de brillante carrière (Ex : une prêtre ouvrier)). Le vicaire a donc la distance critique nécessaire puisqu’il est du bas clergé et c’est pourquoi il est prêtre et vicaire savoyard à la fois

« mille formes effrayantes », telle « le Protée de la fable » ; et au demeurant, même si on fait partie de « ceux qui n’ont point lâché prise », le plaisir de bien faire n’est rien moins que facile à savourer, puisqu’il faut déjà le connaître pour être capable d’en goûter le prix :  « Rien n’est plus aimable que la vertu ; mais il en faut jouir pour la trouver telle. » On comprend dès lors que Rousseau se soit souvent dit : « Pourquoi me tourmenter à chercher ce qui n’est pas ? Le bien moral n’est

commencement de sa lettre, Voltaire va déjà faire preuve de mauvaise foi, il prétend « j’ai reçu monsieur votre nouveau livre contre le genre humain ; je vous en remercie », il n’aime pas le livre de Rousseau et ses idées. Il ne peut donc pas vraiment être content de recevoir un tel ouvrage. Voltaire va se moquer de Rousseau, en le faisant imaginer qu’il se mettra à quatre pattes. Comme ici « il prend envie de marcher à quatre pattes quand on lit votre ouvrage. » C’est une façon de lui dire qu’il n’ait

devrait obéir »[10]. Il ajoute : « L’empire des femmes n’est point à elles parce que les hommes l’ont voulu, mais parce que ainsi le veut la nature : il était à elles avant qu’elles parussent l’avoir » … « Cet empire est aux femmes, et ne peut leur être ôté, même quand elles en abusent : si jamais elles pouvaient le perdre, il y a longtemps qu’elles l’auraient perdu »[11]. Si l'empire des femmes est indubitable leur dépendance à l'égard des hommes est également très grande. Il affirme : « La femme

: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme. 14 J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent. 15 Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté. 16 J'ai dit en mon coeur : Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science. 17 J'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître

l'objectivité. Le terme doit être entendu au sens fort : pris comme objet, l'homme est réifié, transformé en simple chose, et ses comportements, qu'ils soient bons ou mauvais, voire méchants, ne sont plus, après analyse, que les résultats de mécanismes inconscients et aveugles. Le plaidoyer de l'avocat y gagne, bien entendu. Son discours s'enrichit puisqu'il dispose enfin d'arguments solides pour rejoindre l'adage socratique : nul, c'est maintenant prouvé, n'est méchant volontairement ! Mais le monde