Les Méfaits Du Rire

pas orienté vers l’humilité et la recherche de la vérité = Rabelais nous explique que l’intelligence peut être une source de perdition. CCL I : On ne saurait réduire le Pantagruel à l’opposition simpliste entre un bon programmme pédagogique, & les méfaits de la scolastique. Si Rabelais réserve sa sympathie à l’esprit nouveau. II – LA FOI Les facéties de Pantagruel n’empêchent pas Rabelais d’être un croyant sincère. Même si la généalogie des géants rappelle la Bible, que Panurge met sur le grill

faire voir différemment après. Tout d’abord, la personnification de l’alambic par Gervaise et Mes-Bottes nous montre comment ils voient cette machine. Par exemple Gervaise nous dit que Mes-Bottes a changé a cause de cette machine et à désormais « un rire de poulie. » (l.18) ce qui nous montre que l’alambic fait devenir les être humain des sortes de robot. Mes-Bottes nous fait savoir que cette machine «  était bien gentille ! » (1.20) et que c’est « un gros bedon de cuivre » (l.20-21) : il la compare

Plan : Introduction Page 3 I) Le rire a ses bienfaits : Page 4 A) Le rire apporte la joie et le bien-être B) Le rire stimule l’organise C) Certains s’attirent ces bienfaits à travers les clubs de rire. II) Mais il peut aussi guérir : Page 13 A) La thérapie par le rire B) Les clowns d’hôpitaux, des médecins cachés. III) Mais peut-on rire de tout ? : Page 20 A) Le rire a des origines diverses B) Une importance dans

brutalité, rapidité : impolitesse : - "courent, volent" - "éclabousser - coups" succession d'actions rapides (l.18 - 21) : registre dramatique (phrase rythmée) satire des mœurs parisiennes par l'humour et la fantaisie. --> provoque le rire et une remise en question du lent. critique non virulente et non caractéristique des Lumières d'où la précaution ( “ne croit pas que je puisse“ ) objectif 1er : critique du système, institution. * Système politique absolutisme : mise

tard. Le soir même, les deux hommes fêtent leur « victoire ». Les Allemands font alors irruption et prennent les deux hommes, ainsi que plusieurs autres personnes du village pour faire un groupe de quatre otages qui seront fusillés si les auteurs du méfait ne se dénoncent pas. Pour prison, ils sont jetés dans un puits argileux situé sur une carrière. Leurs compagnons d'infortune ne les croiront même pas quand ils leur avoueront être les coupables. Pour les sauver, il ne leur reste que la pitié du cheminot

transformer définitivement le « monstre Néron » : C'est une dimension tragique de la scène. Tout dans cette scène fonctionne par antiphrases : les compliments sont tournés en critique. Cela donne lieu à une ironie tragique, qui pourrait prêter à rire dans un autre cas. I/- La nouvelle fermeté de Britannicus, loin de son affolement Néron adopte un ton hautain, presque de professeur : « Ainsi par le destin nos vœux sont traversés »v1041. Or, ils n'ont presque pas d'écart d'âge. Néron fait un

une nouvelle fois un roman où le personnage principal est une femme, Gervaise Macquart. La vie de Gervaise est racontée ici. Elle est faite de misère dans ses aventures commerciales, mais aussi amoureuses. Ce roman est aussi destiné à peindre les méfaits de l’alcoolisme. Le chapitre III contient un passage important : après la cérémonie bâclée à la mairie et à l'église, les invités cherchent à tuer le temps en attendant l'heure du repas. Tous se rendent à une visite au Louvre où ils vont se p erdre

lecteur différemment : ou bien l’auteur peut choisir de convaincre par des arguments qui font appel à la raison, comme dans « Autorité politique » de Dumarsais, ou bien il peut vouloir toucher le lecteur dans sa sensibilité, en utilisant l’ironie ou le rire, qui établissent une complicité entre l’auteur et le lecteur, comme le font Voltaire ou La Fontaine, ou en provoquant sa pitié ou sa colère, comme Victor Hugo quand il nous dépeint la misère de Fantine ou Cosette dans Les Misérables. Ainsi, non seulement

lecteur différemment : ou bien l’auteur peut choisir de convaincre par des arguments qui font appel à la raison, comme dans « Autorité politique » de Dumarsais, ou bien il peut vouloir toucher le lecteur dans sa sensibilité, en utilisant l’ironie ou le rire, qui établissent une complicité entre l’auteur et le lecteur, comme le font Voltaire ou La Fontaine, ou en provoquant sa pitié ou sa colère, comme Victor Hugo quand il nous dépeint la misère de Fantine ou Cosette dans Les Misérables. Ainsi, non seulement

Mais on accorde les mérites à une œuvre qui remplit la double fonction de plaire et d’apporter une source de réflexion. Par exemple, certaines œuvres délivrent un message au lecteur tout en faisant rire. Elles instruisent donc de façon ludique. Montesquieu, écrivain des lumières, a choisi le rire pour défendre ses idées. Les Lettres persanes rassemblent la correspondance fictive échangée entre deux amis perses, l’un à Paris, l’autre resté en Perse. Ces œuvres épistolaires permettent à Montesquieu