Les Mércantilistes

est une focalisation des ensembles économiques régionaux sur leur compétitivité face aux autres grandes économies. Le vocable de « guerre économique » ou la recherche systématique de la « compétitivité » sont les symptômes d’un retour des dogmes mercantilistes, de ce que Paul Krugman appelle la « théorie pop du commerce international ». Cette mentalité qui associe le commerce international à une compétition où il y aurait des gagnants et des perdants se manifeste régulièrement dans les discours politiques

entièrement, et l'on garde la possibilité de contre-révolution, c'est-à-dire du retour d'anciens paradigmes (ex: Aujourd'hui, on est tenté de réutiliser certaines thèses mercantilistes alors qu'elles paraissaient caduques à l'âge classique). I - Du XVIe au XVIIIe siècle, la lente légitimation du gain A) Les mercantilistes France : Jean Bodin (1530-96) ; Colbert (1610-83) ; Antoine de Montchrétien (1575-1621) Angleterre : William Petty (XVIIe) Espagne : Luis Ortiz (XVIIe) 1) Une pensée multiple

Commentaire de texte sur le pouvoir royal contre les corporations La fin des corporations sonnent le début d’une industrie et d’une politique profondément mercantiliste (Doctrine et politique éco selon laquelle la richesse d’un pays est proportionnelle a son stock d’or et autres métaux précieux.) C’est le début de l’interventionnisme d’état. Ce texte est un édit promulgué après un lit de justice du Roi daté du 12 mars 1776. Il est écrit à Versailles probablement écrit par le greffier qui semble

Colbert devait cependant s'inscrire avant tout dans le domaine économique. Le terme de colbertisme désigna ainsi le système selon lequel son promoteur réorganisa l'industrie et le commerce français. Il s'agissait en réalité d'appliquer les principes mercantilistes. Pour accroître la réserve royale en métaux précieux, le stock monétaire mesurant la puissance d'un État, celui-ci devait augmenter les exportations et réduire les importations. Suivant ce modèle théorique, Colbert favorisa la création de manufactures

tout en restreignant les avenues par lesquelles ces métaux étaient exportés. Les mécanismes mis en place pour parvenir à ceci comprenaient l’interdiction des transactions de ces métaux précieux par des particuliers. Principes d’une Économie Mercantiliste 1)     . Interdiction de certains produits à l’import en imposant des tarifs élevés, des législations du gouvernement ou des taxes douanières très élevées. 2)      Une large gamme de subventions gouvernementales sur les industries d’exportation

richesse nationale, en adoptant des politiques pertinentes de nature défensive (protectionnisme) mais aussi offensive (favorisant l'exportation et l'industrialisation). De nos jours, la discussion de la pertinence et de la validité des idées mercantilistes refait surface, notamment dans le débat contemporain sur la mondialisation Origines du Concept[modifier | modifier le code] Pour certains auteurs le mercantilisme n'est pas un courant de pensée en tant que tel. Pour plusieurs historiens de la

salaires, dans les pays du Sud la destruction de l’agriculture locale par la concurrence des produits subventionnés du Nord. I)Les approches et les fondements theoriques .La théorie du libre échange s’impose Il s’impose d’abord face aux mercantilistes. Il est né avec la mécanisation et se développe avec l’industrialisation. Défense du libre échange déjà présente chez les physiocrates, au 18ème s (Quesnay, Turgot, Colbert) qui revendiquent la liberté du commerce des grains ; et qui sera reprise

réaction salutaire à la pollution planétaire du libéralisme, laquelle peut à tout instant détruire socialement tout individu au nom de l’individualisme. Il s’agit d’une remise en cause fondamentale de l’insupportable légèreté de la technocratie mercantiliste, en même temps que la revendication d’un système de régulation fondé sur des principes politiques éprouvés ou prometteurs: l’exigence de démocratie, le principe de précaution, la nécessité de l’émergence de droits universels. Le “laisser faire”

pensée de Smith 1) Présentation de l'auteur et se place dans la pensée économique : Ecossé, à base philosophique, il s'est interrogé sur la place des passions dans les comportements humains « Des sentiments moraux » 1759.Contre les mercantilistes et les physiocrates. Pour les mercantiles, la richesse des nations provient du commerce donc des échanges extérieurs. Ils sont favorables à l'intervention de l'état pour mettre en œuvre une politique protectionniste. En favorisant les exportations

ensemble de discussion portant sur la manière dont une nation devrait organiser ses échanges. Pour servir les intérêts propres à une nation, il fallait encourager ses exportations en provenance de ces derniers. À la fin du 18ième siècle, l'optique mercantiliste cède progressivement la place à l'optique libre échangiste. Pour les partisans du libre-échange, la meilleure façon de satisfaire à la fois les intérêts du monde entier et les intérêts particuliers d'une nation était de laisser les gens commercer