Les Métèques

justice et aux magistratures par laquelle Aristote définit la citoyenneté est donc dans la réalité assez restreinte sauf dans le cas de l’Héliée. Les institutions les plus ouvertes de la Cité d’Athènes restent les assemblées. Question 4 : Les métèques = étrangers résidant dans la cité d’Athènes, ils sont de condition libre et bénéficient d’un statut favorable. Leurs droits et devoirs : Ils doivent verser une taxe annuelle. En échange, ils peuvent :se défendre en justice, participer aux grandes

politique de la cité alors, que dans l'empire romaine uniquement quelques riches citoyens prénnent des decisions sur l'avenir de la cité. En ce qui concerne la cité d’Athènes, la population se divisait en trois groupes distincts : les citoyens, les métèques et les esclaves.Il y avait 40 000 citoyens sur une population de 600 000 habitants. Pour en faire partie, il y avait certaines conditions à remplir. Tout d’abord, il fallait être un homme. "À Athènes jusqu’en 451, pour qu’un homme soit réputé athénien

exclus  de  la citoyenneté. Ce  sont: Les métèques qui sont des hommes libre mais étranger a la  cité  d’Athènes  (mais qui peuvent travailler et résidé dans la cité), les esclaves qui sont des hommes  non libre  et  considéré même comme des  objets, les femmes qui sont en tout et pour tout exclu de la vie politique. Il  y  a  tout  de  même  une exception,  si  un métèques  qui  a  combattu  avec  bravoure  pour  la cité  d’Athènes  (car  les  métèques  et  les  esclaves  sont mobilisé  dans 

de sexe masculin. En effet, les femmes athéniennes sont exclues sont exclues des domaines politiques et religieux qu'implique la citoyenneté athénienne mais elles participent à la vie religieuse de la cité. Elles sont qualifiées de citadines. Les métèques, étrangers installés à Athènes et les esclaves sont donc exclus de la vie citoyenne d'Athènes. Ces restrictions à l'accès à la citoyenneté peuvent s'expliquer par la peur d'un retour à un régime tyrannique, régime que la ville d'Athènes a connu.

ans se déroulaient les Grandes Panathénées qui duraient 6 jours. Les Panathénées sont à la fois une fête religieuse mais aussi une fête civique puisque tous les citoyens, et les autres catégories de la population, comme les femmes, les enfants, les métèques et même des étrangers invités y participaient. Sommaire [masquer] 1 Origine des Panathénées 2 Les compétitions artistiques et sportives 2.1 Les compétitions sportives 2.2 Les compétitions artistiques 3 La procession des Panathénés 4 Pour

appartient-il ? Pourquoi ? Il appartient à la classe la plus riche de la société Athénienne car il est très riche (sa fortune = des terres). Qui sont les « non-citoyens » ? Les non-citoyens sont les femmes, les esclaves et les métèques. Qu’est ce qu’un métèque ? Un métèque est un étranger de condition libre qui n’a pas le statut de citoyen mais sont autorisés à résider sur le territoire de la cité, moyennant le versement d’une taxe de résidence. Sous la démocratie Athénienne, quelle est la condition

êtres intelligibles, des idées comparables à des nombres.   2. Emergence du logos dans la vie politique 5e S : mutations politiques= passage d’un régime monarchique         démocratie (inégalitaire : n’ont pas de droit politique les barbares, les métèques, les femmes et les esclaves) Victoire contre les Perses. Le pouvoir descend dans l’agora (place publique) : les décisions politiques sont prises entre citoyens (décisions importantes). Les problèmes liés à la démocratie vont donner naissance à la

moment du tirage au sort ; partage égalitaire et par tirage au sort des viandes après le sacrifice). Les grandes manifestations religieuses sont l'occasion d'affirmer la cohésion de la cité ; c'est pourquoi tous les habitants libres (jeunes, femmes et métèques) y participent. La principale de ces manifestations est à Athènes la procession des Panathénées (qui prend tous les quatre ans un éclat encore plus vif, on parle des Grandes Panathénées). Après une veillée nocturne avec des chants et des danses,

stratège, inventeur de la démocratie, Périclès ne serait pas un « vrai démocrate » au sens moderne du terme. Les hellénistes et les historiens le savent bien. Au Ve siècle avant Jésus-Christ, la géniale Agora n’était pas encore ouverte « aux femmes, aux métèques, et aux esclaves ». « Sacrilège » dit-on aujourd’hui. Périclès a aussi fait la guerre aux cités grecques qui refusaient de se plier à ses idées. Son combat pour la démocratie s’est soldé par trente ans de conflit sanglant dans le Péloponnèse et par

droit de participer à la vie politique de la cité. C’était les citoyens. Cependant, cette notion différait un peu dans les deux cas. En ce qui a trait à la cité-état d’Athènes, la population se divisait en trois groupes distincts : les citoyens, les métèques et les esclaves. Au Ve siècle av. J.C., il y avait 40 000 citoyens sur une population de 600 000 habitants. Pour en faire partie, il y avait certaines conditions à remplir. Tout d’abord, il fallait être un homme. "À Athènes jusqu’en 451, pour qu’un