Les Métèques

contrôlent et dirigent le gouvernement de la cité, ils représentent 10% de la population d’Athènes. Ils sont eux-mêmes fils de citoyens, ils sont majeurs et ont accompli leur service militaire (=l’éphébie). La citoyenneté est fermée aux étrangers (=métèques), aux femmes et aux esclaves. Ils peuvent et doivent participer à la vie politique de la cité sans conditions de richesses, d’éducation, de métiers. Des rémunérations sont possibles pour les citoyens les plus pauvres qui quittent leur campagne (=misthos)

démocraticité du système politique et social dans lequel elle se trouve. Histoire: La notion de citoyenneté trouve son origine dans le cadre de la cité de la Grèce antique, fondée sur l'égalité de ceux qui ont le statut de citoyens. Contrairement aux métèques ou aux esclaves, les citoyens participaient aux débats dans l'agora et aux décisions (lois, guerres, justice, administration).En France, le principe de citoyenneté a été instauré par la Révolution française après le renversement de l'ancien régime

entre le nombre toujours plus restreint des citoyens à Athènes et son ouverture croissante à Rome. Les exclus sont les mêmes : enfants, femmes, esclaves, affranchis, mais à Athènes on n’accepte qu’exceptionnellement de nouveaux citoyens parmi les métèques, alors qu’à Rome les étrangers sont de plus en plus intégrés ainsi que les fils d’affranchis. C’est donc la majeure partie de la population de la cité à Athènes, et une partie toujours + faible de la population de l’Empire. Les droits sont en

de la démocratie directe. Tous les citoyens athéniens avaient le droit de prendre la parole et de voter à l'Ecclésia, où étaient votées les lois de la cité, mais aucun droit politique ni citoyenneté n'était accordés aux femmes, aux esclaves, aux métèques. De plus, la République romaine organisait des élections mais, là encore, les femmes, les esclaves et une large partie de la population étrangère en étaient exclus. Le vote des riches avait plus de poids et la plupart des plus hautes fonctions était

sagesse (sophia, voir plus haut) ne peut être ravalée au rang de technè et que la faire payer, c'est la corrompre. Platon était issu de l'aristocratie, alors que les sophistes étaient issus du peuple et des classes populaires (et souvent étrangers ou métèques dans la Grèce antique). • les sophistes sont amoraux, puisque leur enseignement peut servir tout aussi bien à donner des armes à l'injustice, alors qu'ils prétendent donner à leurs élèves une éducation. • les sophistes manipulent le langage et

préparait les lois soumises à l'ecclésia et supervisait l'activité des magistrats. Pour être citoyen, il fallait être un homme libre, âgé de plus de 18 ans, de père athénien (de père et de mère athéniens à partir de 451 av. JC). Ainsi les femmes, les métèques (étrangers résidents) ou les esclaves ne pouvaient accéder à la citoyenneté. La démocratie athénienne connut son apogée au Ve siècle av. JC, à l'époque de Périclès (495-429 av. JC) et déclina au IVe siècle, après la fin de la guerre du Péloponnèse

et peu à présent participer à la vie de la cité. Quant à la naturalisation, disons qu’elle est quelque peu rare à Athènes. Elle est une sorte de symbole, mieux de récompense de grands services rendus à la cité par des étrangers communément appelés Métèques. La démocratie athénienne repose sur le pouvoir de l’assemblée qu’on appelle ecclésia. Une assemblée qui regroupe l’ensemble des citoyens de la cité, indépendamment de leurs conditions sociales. Tous peuvent prendre la parole et s’exprimer librement

eux-mêmes proposé pour participer avec les citoyens les mieux nés au tirage au sort du sacerdoce d’Héraclès. J’ai exercé des magistratures après avoir subi l’examen […]. Et dans ces conditions, je serais étranger ? Où ai-je acquitté la taxe de métèque ? Qui dans ma famille l’a jamais acquittée ? » La démocratie athénienne vue par Périclès « Notre régime politique ne se propose pas pour modèle les lois d’autrui et nous sommes nous-mêmes des exemples plutôt que des imitateurs. Pour le nom

Faire tableau comparatif entre citoyenneté aujourd’hui en France et Athènes. 2. Les non-citoyens : Il existe trois catégories de non-citoyens : Les femmes et les enfants. Les femmes sont considérées comme les gardiennes du foyer. Les métèques qui sont des étrangers. Ils occupent le plus souvent la fonction de commerçants. Ils sont de conditions libres. Les esclaves, ils sont les plus nombreux. Ils sont considérés comme des animaux ou des objets. Ils peuvent dans des cas très rares

avoir accompli l’éphébie, c’est-à-dire un service civique et militaire de deux ans.Les femmes et enfants de citoyens (30%). Ils ne disposent pas de droits politiques. Les femmes jouent un rôle social important en étant des maitresses de maison.Les métèques (ils payent le metoikon) (20%). Ils sont des personnes libres mais ils ne sont pas des citoyens athéniens. Ils ne peuvent pas posséder de terres et demeurent à Athènes pour le travail. Les esclaves (35%). Ils ne sont pas libres, appartiennent