Les Métèques

crise d'angoisse divinité paiene transformé en démonte par les chrétiens (vénus) L'entrée en littérature A) le don de poésie a l'époque, poésie séduisait les ados, progrès de la scolarisation, jeune tentaient les carrières d'écrivain. Batard métèque et fauché apollinaire marquer par l'absence du père parler et pensée plusieurs espace à la fois poésie de l'ubicuité, ableur Apo. mélange vrai et faux, admirer par ses camarades grande capacité au mitho, il fascine et surprend par sa capacité

de théâtre, d'un gymnase, équiper une trière pendant un an). Misthoi: dédomagement versé au citoyen lorsqu'il siège à la Boulè ou lorsqu'il juge. Ce n'est pas un salaire. Gynécée: partie de l'habitation réservée aux femmes, épouses de citoyens. Métèques: de métoikoï, ceux qui vivent avec; les étrangers d'une cité. Démagogue: qui mène le démos: homme politique qui mène le peuple par la flatterie et lui dit ce qu'il a envie d'entendre, afin d'obtenir le pouvoir ou de le conserver. Empire: ce terme

est égal (iségoria) et chacun peut prendre la parole. 3 Pour autant la cité n’est pas « gouvernée par l’ensemble du peuple » comme le prétend Thésée. Les citoyens ne représentent qu’une part réduite de la population  (environ 13%)): les femmes, les métèques et les esclaves sont exclus du droit politique. 4 Les défauts des institutions selon le Thébain : Le Thébain évoque avec raison à partir de l'exemple du "paysan" le problème de la participation. En effet il apparaît difficile de concilier travail

justice comme accusés et comme accusateurs » (ligne 20). Le domicile et l’action juridique peuvent donc appartenir à des personnes n’étant pas citoyens. Il parle aussi de citoyens incomplets, en prenant l’exemple des métèques qui ne jouissent pas de tous les droits, «  les métèques ne jouissent même pas complètement de ces droits » (ligne 24). A cette catégorie, il ajoute les enfants, n’ayant pas encore atteint l’âge de l’inscription civique, «  comme des enfants pas encore inscrits à cause de leur

p°44) être un homme libre, né de père citoyen athénien et de mère fille de citoyen athénien (droit du sang), avoir 18 ans et être inscrit sur les registres du dème (définition p°42) Qui cela exclut-il ? Cela exclut les femmes, les étrangers (métèques), les esclaves, les mineurs. Cette inégalité entre homme et femme paraît normale aux athéniens : les femmes n’ont aucun pouvoir politique même si elles contribuent à transmettre la citoyenneté ; elles vivent sous tutorat masculin dans un monde replié

étrangers libres : les métèques installés à Athènes (1/4), intégrés dans la société athénienne mais ne peuvent pas posséder de terres (peuvent être « naturalisé » après un vote de l’Assemblée des citoyens, mais c’est très rare) - Les citoyens et leurs familles (un peu moins de la moitié de la population). Des écarts de richesse qui peuvent être considérables entre citoyens (ex : la famille de Périclès) Des écarts de richesse aussi entre citoyens athéniens modestes et riches métèques. B. l’exercice

siècle on va voir que les récits merveilleux vont servir à combler les lacunes de connaissances. Notion : ALTERITE (les autres) Il y a en Grèce : des citoyens grecs (père et mère grecs) des esclaves (souvent des prisonniers de guerre) des métèques (celui qui habite avec un grec ou une grecque , il n'est pas esclave mais inférieur aux citoyens, il assure les échange) En dehors de la Grèce on a les Barbares. On ne les comprend pas. Il y a un balancement entre le xénophobie et le cosmopolitisme

préparait les lois soumises à l'ecclésia et supervisait l'activité des magistrats. Pour être citoyen, il fallait être un homme libre, âgé de plus de 18 ans, de père athénien (de père et de mère athéniens à partir de 451 av. JC). Ainsi les femmes, les métèques (étrangers résidents) ou les esclaves ne pouvaient accéder à la citoyenneté. La démocratie athénienne connut son apogée au Ve siècle av. JC, à l'époque de Périclès (495-429 av. JC) et déclina au IVe siècle, après la fin de la guère du Péloponnèse

situation d’immigration envahissante. Cet évènement incita l’état à contrôler d’avantage l’immigration. L’immigration en France de 1940 à 1944 Le régime de Vichy va immédiatement prendre des mesures contre les populations immigrées, qualifiées de « métèques , La loi du 27 septembre 1940 concernant les autres étrangers non juifs, règle le sort des « étrangers en surnombre dans l’économie nationale » : l’étranger est surveillé de près. Il n’a plus le droit de libre circulation sur le territoire et ne

rien qu’une présence féminine et un bon théâtre pour nous animer un peu. Vers la tombée de la nuit, nous nous rendîmes au Théâtre, nous nous assîmes et un vieil homme vint parler en scène, ce n’était pas un citoyen athénien, il avait une tête de métèque, (un étranger qui vit dans une cité dont il n’est pas originaire.) Il commença à nous raconter ce qui s’était passé plusieurs décennies auparavant : Grâce aux tablettes qui constituent la forme la plus ancienne du grec laissées par les mycéniens