Les Naufragés du temps

irrités de la cruauté de leurs maîtres, quittèrent la Grèce et vinrent s'établir ici, dans le ressentiment des outrages qu'ils avaient reçus de leurs patrons, la première loi qu'ils y firent fut d'ôter la vie à tous les maîtres que le hasard ou le naufrage conduirait dans leur île, et conséquemment de rendre la liberté à tous les esclaves : la vengeance avait dicté cette loi ; vingt ans après, la raison l'abolit, et en dicta une plus douce. Nous ne nous vengeons plus de vous, nous vous corrigeons;

attaqué par des pirates. Robinson a été fait prisonnier - sur la côte du Maroc, le port Salefi. Un jour, profitant de l'occasion, Robinson échappé de Maures captivité. Avec Ksurym, un esclave, de flâner le long de la côte en bateau. Après un certain temps ils ont rencontré sur leur voilier route, dont le capitaine les a pris à bord. Il était une unité de la langue portugaise qui coule au Brésil. Chez les marchands de San Salvador, encouragés par les récits de Robinson Crusoé extrêmement favorable pour

Guillaume Vigneault, Carnets de naufrage Résumé : C’est l’histoire d’un jeune homme banal de 27 ans qui vit convenablement dans la ville de Montréal. Alexandre fait sa maîtrise et travaille dans un bar près de chez lui. Sa femme, Marlène, le quitte pour un autre homme. Il plonge alors dans une profonde dépression. Lorsqu’il refait surface, il se cherche des échappatoires et il les trouve dans des discussions exaltantes, des voyages égayants et des conquêtes amoureuses rapides. À ce stade troublé

réguler l’info (triage effectué par le journaliste, médiateur, mais cette sélection s’oppose à l’idéologie de la liberté). Comment réglementer en garantissant la liberté de l’information ? Communication : relation Manager la crise afin d’avoir un temps d’avance face au journaliste et se servir de la crise pour utiliser l’information. La vitesse de l’information se heurte à la lenteur de la communication et les nouvelles technologies n’ont pas accrues la quantité d’information. Ex : Affaire Kerviel

logique, car il correspond à la réalité du fait divers historique : les quinze rescapés du radeau de la Méduse seront en effet récupérés par un navire, l’Argus. Le sens ascendant de la ligne marque une succession dans les sentiments qu’éprouvent les naufragés, du désespoir à l’espoir (même les nuages fort sombres, les couleurs et la lumière sur les cotés et au second plan renforcent cette idée de salut). Ce symbole est encore accentué par la gestuelle et les positions des individus du radeau. Le mouvement

face à l'immensité du temps 2eme strophe interpela° - proximité qui s'installe avec le lac énonciation° 2eme pers. Invita° à partager ses emot° Très romantique « ! » + « seul » traduit le désespoir V3-4 chiasme pr traduire changement des rôles. Devait venir accompagné ms s'assoit seul « pierre » opposition° entre le minéral & liquide → qqchose de solide, de blessant. En quoi le lac est il représentatif de la douleur du poète ? Douleur du temps qui passe, source de

et ses paysans et c'est cette simplicité que Du Bellay regrette. Sonnet XXVI Si celui qui s’apprête à faire un long voyageDoit croire celui-là qui a jà voyagé,Et qui des flots marins longuement outragé,Tout moite et dégouttant s’est sauvé du naufrage,Tu me croiras, Ronsard, bien que tu sois plus sage,Et quelque peu encore (ce crois-je) plus âgé,Puisque j’ai devant toi en cette mer nagé,Et que déjà ma nef découvre le rivage.Donques je t’avertis que cette mer romaine,De dangereux écueils et de

L'Ile des Esclaves, Scène 1 Marivaux Introduction: Cet texte est tiré de L'ile des Esclaves de Marivaux, cette oeuvre fut écrite pendant la période du Siècle des Lumières, siècle sujet à de nombreuses créations utopiques. Suite à un naufrage, Iphicrate, un jeune maître athénien et Arlequin, son esclave, ont échoué sur l'île des esclaves, habitée par d'anciens esclaves qui suppriment les maîtres ou qui les jettent dans l'esclavage. Alors que Iphicrate désormais en danger, est pressé de

les premiè?res clarté?s de l’avenir; et entre ces deux mondes... quelque chose de semblable à? l’Océ?an qui sé?pare le vieux continent de la jeune Amé?rique, je ne sais quoi de vague et de flottant, une mer houleuse et pleine de naufrages, traversé?e de temps en temps par quelque blanche voile lointaine ou par quelque navire soufflant une lourde vapeur ; le siè?cle pré?sent, en un mot, qui sé?pare le passé? de l’avenir, qui n’est ni l’un ni l’autre et qui ressemble à? tous deux à? la fois, et où

et somme toute prévisible, des baisses de température hivernale n'a pas pu échapper aux grands esprits qui nous gouvernent." (Declerck 2001 : p82). Et pourtant, comme on le constate lors de la lecture de la monographie de Patrick Declerck : Les Naufragés : avec les clochards de Paris, c'est loin d'être le cas. Les récits de vies et anecdotes à propos du monde des clochards s'y suivent et se ressemble, toutes plus repoussantes et désolantes les unes que les autres. Ce travail est le résultat d'une