Les Nouvelles Priorités Des Ménages Au Niveau De La Consommation

politique Politique de refroidissement En 1976 le Gouvernement Barre a donné la priorité à la lutte contre l’inflation a servi à modérer la hausse des salaires. Entre 1981 et 1982, François MITTERAND avait pour priorité la création d’emplois publique A partir de 1982, changement de cap, échec de la relance Politiques structurelles, énergie Mise en œuvre d’une politique de réduction de la consommation A la fin des années 1990, l’économie a renouvelé avec la croissance, inflation avec

les réserves financières sont inexistantes. La gravité de la situation explique l’intervention de l’Etat conformément au programme du CNR (Conseil National de la Résistance). L’ensemble de la classe politique considère la reconstruction comme la priorité. La nationalisation des secteurs-clés (énergie, grandes banques, assurances, transports) lui fournit des leviers indispensables pour agir. Ces nationalisations s’effectuent en deux étapes : une phase « spontanée » sous la pression des employés et

se base toujours sur une relance via la consommation et on multiplie les dépenses publiques et les mesures sociales en attendant une ‘renaissance économique’ comme en 1946, qui n’arrivera jamais. La dette publique se creuse, l’inflation et le chômage sont au rendez vous. En 1983, on assiste donc au fameux ‘tournant de rigueur’ marqué par l’augmentation de la pression fiscale, la baisse du salaire réel jusqu’en 1 1987 et la stagnation de la consommation et de l’investissement. Par la suite, la

la chaîne » ayant pour but de diminuer les temps morts et de baisser les coûts de production. Le fordisme alimentait la croissance durant une grande partie des 30 glorieuses. Cependant, dans les années 70, ce système se fatigue : on voit alors de nouvelles formes d'organisation du travail se développer, telles que le Toyotisme d'Ohno en 1980. Les NFOT auraient permis de remédier aux limites du fordisme et de renouer avec la croissance. Pourtant ces NFOT auraient des effets pervers, qui auraient un

diminuant et la demande de travail augmentant, l’équilibre sur le marché du travail sera restauré et le chômage disparaîtra. L’intervention de l’Etat n’est donc pas nécessaire. Cependant, ce raisonnement microéconomique ne fonctionne pas forcément au niveau macroéconomique car la baisse des salaires réels va provoquer une baisse de la demande et de la production qui va amener les firmes à licencier les travailleurs en surnombre. Le chômage appelle le chômage et la dépression risque de s’accentuer. L’intervention

avons pu voir apparaître une série de crise immobilière, crise financière, crise de matière première, s'enchaîné jusqu'à maintenant auxquelles les Subprimes sont au cœur de toute cette effervescence. Pour financer leur consommation et l'acquisition de leurs logements, les ménages américains n'hésitaient pas à s'endetter. Tout a démarré lorsque le marché immobilier américain s’est effondré subitement, alors qu’il bénéficiait d’une hausse continue depuis plusieurs années. La crise des "Subprimes"

Portugal, Italie, Irlande, Grèce, Spain ) Solidarité entres membres de la zone € ? rôle du FESF Quid de la BCE -Régulation de la finance mondiale Objectif du G20 ( cf réunion Cannes ) Vers un nouveau SMI (Système Monétaire International) Certes nouvelles règles de régulation … mais “ banques de l'ombres“ -BCE : décision surprise le 3 nov nouveau président : Mario Draghi Baisse du nouveau taux directeur de 1,50 à 1,25 -Qu'elles décisions de politiques économiques ? -Echelon Européen Création du FESF

son apogée dans les  années 1950   1.2. Un modèle fragilisé  depuis le milieu des  années 1950   Amendement, bipartisme,  impeachment, «ticket », lobbies,  maccarthysme, capitalisme, welfare  state, “American way of life”,  segregation, “Nouvelle Frontière »,  “Grande Société ».  Remise en question  d’un modèle  Beatniks, hippies, woomans’lib,  Vietnam, Watergate.  Comment expliquer  la notion de  « modèle  totalitaire » ?  PCUS, culte de la personnalité, Soviet  Suprême

demande agrégée soit insensible à la combinaison des politiques économiques (principe de l'entonnoir commun), la composition de la demande est affectée. Ainsi, une politique monétaire restrictive et une politique budgétaire expansive favorisent la consommation par rapport à l'investissement privé, par le biais taux d'intérêt élevés. Au contraire, une politique monétaire expansive et une politique budgétaire restrictive favorisent l'investissement et la croissance. Dans les années quarante, la position

« Dans la réforme et l'ouverture sur l'extérieur, nous devons faire preuve de plus d'audace et nous tenir prêts à tenter de nouvelles expériences, au lieu de nous comporter comme des femmes aux pieds bandés. » (Deng Xiapoing) La Chine témoigne d’une longue histoire de relations économiques internationales et a d’ailleurs dominé le « vieux monde » pendant longtemps grâce au contrôle des routes des épices et de la soie. Elle a aussi été la première civilisation à utiliser le papier monnaie