Les Nuées

mouvements de plaques. Le volcanisme est toujours le résultat d’une remontée en surface d’un magma profond, mais ses manifestations peuvent différer d’une éruption à une autre. Conséquences humaines : Pour l’homme, les principales menaces sont les nuées ardentes parce qu’ils peuvent toucher des populations situées sur un littoral loin d’un volcan. Dans une moindre mesure, les glissements de terrain, émanations de gaz toxiques, coulées de laves et cheveux de Pélé sont également dangereux pour l’homme

laissent peu de chance à la végétation et aux constructions se trouvant sur leur passage, les consumant et les ensevelissant dans une gangue de roche. Paysage noyé sous la lave à Hawaii aux États-Unis en 1987. Nuées ardentes Appelées aussi coulées pyroclastiques, les nuées ardentes sont des nuages gris qui dévalent les pentes des volcans à plusieurs centaines de kilomètres par heure, atteignent les 600 °C et parcourent des kilomètres avant de s'arrêter. Nés de l'effondrement d'un dôme ou

vers 10h00 du matin , le volcan propulsa dans l'atmosphère un énorme nuage de cendres brûlantes en forme de pin parasol. À plusieurs kilomètres de hauteur, ces cendres retombent sous forme de poussières et de pierres ponce sur Pompéi , ce sont des nuées ardentes. Plus de 2000 personnes , moururent d’asphyxie. L’enjeu se jouait à présent , si les gens ne fuyait pas maintenant il était trop tard pour espérer survivre à cette catastrophe. Et beaucoup de gens ignorant le danger et la menace qui

1917 Verdun est une œuvre du peintre français Félix Vallotton (1865-1925). Il s’agit d’unehuile sur toile peinte en 1917. Son titre entier est : Verdun, Tableau deguerre interprété, projections colorées noires, bleues et rouges, terrains dévastés, nuées de gaz. Doc.1. Verdun, Félix Vallotton, 1917 En 1916, les poilus et leurs ennemis sont engagés dans unconflit qui a sombré dans l’immobilisme total. La ligne de front n’évolue plus et les combats épuisent tant les soldats que les stocks des deux

monde des hommes. Il est exclu, car un géant parmi eux, car différent. « les huées » sont les moqueries des hommes, les rires des hommes d’équipage. D’ailleurs, l’assonance en [é ] fait entendre ses rires, ses « huées »: « nuées », « Exilé », « archer », « huées », « marcher ».  Vers 16

s'élèveau-dessus du Vésuve et les premières cendres ne tardent pas à retomber dans la baie, la ville croule bientôt sous des projections de cendre et de lapilli, et des nuées ardentes ravagent les rues, 30 000 personnes périssent lors de l'effondrement de leur maison, ou étouffées, ou brulées. Les descriptions de la violence de l'éruption, des nuées ardentes, des pluies de cendre démontrent que le Vésuve est un volcan explosif. VI. QUELS SONT LES INTERETS HISTORIQUES DE LA DECOUVERTE DE LA VILLE EN 1599

de rimes croisées. Le poète utilise le terme « souvent » , car au cour du trajet, l ' équipage s'ennuient et se distraient en se moquant des l'albatros. L'utilisation de l'adjectif qualificatif "vaste" s'explique l'envergure d'un tel "prince des nuées", métaphore utilisée pour désigner l'oiseau,les ailes des albatros peuvent atteindre 3,5 mètres « Ses ailes de géant l'empêche de marcher ». Le lecteur s'imagine d'immenses ailes blanches recouvrant et protégeant les océans « leurs grandes ailes blanches »

... On ne peut plus s'asseoir, tous les bancs sont mouillés ; Crois-moi, c'est bien fini jusqu'à l'année prochaine, Tant les bancs sont mouillés, tant les bois sont rouillés, Et tant les cors ont fait ton ton, ont fait ton taine !... Ah, nuées accourues des côtes de la Manche, Vous nous avez gâté notre dernier dimanche. Il bruine ; Dans la forêt mouillée, les toiles d'araignées Ploient sous les gouttes d'eau, et c'est leur ruine. Soleils plénipotentiaires des travaux en blonds Pactoles

la marginalité dans ce poème est exprimée par le champ lexical de la hauteur ou de la grandeur. Les vers "Le poète est semblable au prince des nuées / [...] Exilé sur le sol au milieu des huées, / Ces ailes de géant l'empêchent de marcher", nous font toucher du la haute opinion que le poète a de lui - même. En effet, en plus de faire parties des "nuées", situation élevée géographiquement, le poète en et en plus le "prince", situation élevée socialement. De plus, "ses ailes de géant", autre preuve

le   début de  l'éruption du Vésuve,  et remarque  notamment  que des  séismes  précèdent  le début d'une  éruption. Mais malheureusement,  il  a  voulu  se  rendre  au  plus  près  de  ces  événements,  et  fut  donc  tué  par une des  nombreuses  nuées ardentes qui  détruisit  la ville  de  Pompéi. Pline  le Jeune, son neveu, n'ayant pas  pu accompagner son oncle, fait une description précise de l'éruption nommée «éruption  plinienne»  voici  un  extrait  :  «  Un  nuage  part  de  la  montagne