Les Nuées

leur majesté : vastes oiseaux des mers (v2), compagnons de voyage (v3), rois de l’azur (v6), prince des nuées (v13). La cruauté des marins :Dans ce contexte, Baudelaire décrit des marins cruels et brutaux s’en prenant aux albatros. Ils apparaissent comme un groupe d’hommes : les

du sol. Les séismes ou les volcans constituent un risque pour l’homme car ils peuvent détruirent villes et campagnes. Les coulées de laves, les coulées de boue et les nuées ardentes anéantissent et brulent tous ce qui ce trouvent sur leurs passage, tandis qu’une forte pluie de cendres peut détruire des maisons. En cas de nuées ardentes, il faut évacuer la population au plus vite néanmoins en cas de coulées de lave on peut les ralentirent et parfois même les stopper grâce à l’arrosage. (Volcans

traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Problématique : Il s'agira de découvrir la signification allégorique du poète. Etude méthodique I- La parabole du

restait classique en respectant les règles du poème régulier. Champs lexical de « l’oiseau » : v.2 « oiseaux », v.7 «  ailes blanches » v.11 « bec » Champs lexical de l’albatros positif : v.2 « albatros », v.6 « rois de l’azure », v.13 « prince des nuées » Sont au début du poème pour le valoriser et montrer que l’oiseau est beau et majestueux Champs lexical de l’albatros négatif : v.6 : « maladroit et honteux », v.12 « l’infirme qui volait », v.15 « exilé sur le sol » Se mélange au champ lexical

présent de vérité générale pour des actions vraies en tout temps. « rois de l’azur »/ »prince des nuées » termes forts mais abstraits, poète cherche donc de la beauté et de l’imagination. Allitération en r = l’orage qui gronde et qui accompagne la tempête. Métaphore filée, il insiste sur les ailes de l’oiseau, montre le talent et l’imagination du poète. Basculement : « tempête » devient « le sol » ; « nuées » deviennent les « huées » avec la paronomase (proximité sonore). Le rire de l’albatros devient

suis sûr de moi. Paul Eluard - Le Phénix Le titre du recueil est les feuilles d’automne. Le titre du poeme est soleils couchants. Il appartient au genre lyrique.Il a été écrit en 1831 Soleils couchants Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées;  Demain viendra l'orage, et le soir, et la nuit ;  Puis l'aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;  Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s'enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule  Sur la face des mers, sur la

lequel l'oiseau évolue, sur : « les planches du navires » : rapport au sol, cela montre les limites physiques de l'oiseau sur ce terrain, le fait qu'il ne peut s’élever sur le plan spirituel autant que physique, restreint et borné. « prince des nuées »: rapport à la richesse et au pouvoir, ainsi suivit de l'appellation, plus loin dans le poème, de « rois de l'azur », on peut donc relever la référence à l'impérialisme, la majesté, la volupté, la somptuosité, la liberté, la grâce, l'élévation ainsi

(recherche d’un nombre désiré de classes) Utilisation de Dendrogramme et des nuées dynamiques « Classification hiérarchique : elle fournit une décomposition optimale en 3 classes & on constate que les 3 classes obtenues sont analogues à celle de l’analyse factorielle. 2 méthodes différentes convergent pour donner le même résultat » « Classification non hiérarchique : une requête en 3 classes utilisant l’algorithme des nuées dynamiques fournit à nouveau le même résultat que les 2 analyses précédentes

s’applique au poète. Elle nous permet de comprendre que le poème est basé sur une comparaison entre lui et l’Albatros. La comparaison « Le Poète est semblable au prince des nuées » (v.13) définie par le mot « semblable » met en évidence la comparaison qui a lieu dans tout le poème, en comparant l’auteur au « prince des nuées » qui dans ce cas serait l’albatros. « Ses ailes de géant » (v.16), en parlant du poète met l’accent a cette comparaison, et en lui donnant un « pouvoir spirituel », ce qui

Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid! (vers 10) Dans le 4e quatrain, a cause d’un inquiétude, il y a une dépuration du poème quand Le Poëte se reconnaît comme le price des nuées, en s’élevant à une condition d’existence ideal. Cette dépuration produit un reste, un rumeur, qui est plus denotable que définible. On croit qu’une des façons qu’il prend c’est la douleur d’exister, ou mieux, “d’(in)exister”. Cette douleur est aussi