Les Nuées

Jules César vient de conquérir La Gaule (dernière bataille contre Vércingetorix à Alesia) et va Rome pour se venger et récupérer ses droits par rapport à Pompée et au Sénat. 3) Étude de l'œuvre : a)description: Décor et personnages: On voit des nuées autour de la déesse, le reflet de la lune rousse dans le Rubicon, une légion avec une enseigne et un aigle. Il y a Rome personnifiée en déesse et face à elle César, suivi de 2 de ses légionnaires. b) Techniques: Support: aquarelle et huile

brûle-gueule » et qui « mime, en boitant, l’infirme qui volait » Le navire ici représente la barrière qui s’oppose à la liberté des albatros. On peut voir ici une similitude entre l’Albatros et le poète. « Le poète est semblable au prince des nuées » , ce vers montre une identité semblable non pas avec les hommes, mais avec les Albatros. Dans la deuxième strophe, nous voyons que les Albatros laissent leurs ailes « comme des avirons trainer à côté d’eux » , nous retrouvons dans la dernière strophe

divinités (daimonia) est mis en relation par Platon et Xénophon avec le « signe divin » (daimonion semeion) de Socrate. Dans Les Nuéesd'Aristophane, Socrate est présenté comme un « physicien », substituant aux anciens dieux des entités telles que les Nuées, la Langue ou le Vide. Mais le signe divin de Socrate n'apparaît nulle part dans la pièce et il est possible que ce chef d'accusation soit la manifestation d'une certaine jalousie des Athéniens envers ce qui pouvait apparaître comme une faveur des

peuvent être composés de différentes manières, en prose ou en vers, ce corpus regroupe des poèmes en prose mais ca n’enlève pas pour autant la dimension poétique de chacun d’eux. Dans tous ces textes un langage poétique est largement déployé : « nuées » dans le texte d’Aloysius Bertrand vers 4, des « ciels » dans « Les ponts » vers 1, « l'aube », dans « Aubes » vers 1. Chaque poème évoque un paysage ou un objet comparable à un paysage (le pain comparé à une vallée). La présence de l'eau, de la montagne

la nature = termes présents dans tout le poème pour montrer l’omniprésence de la nature. - Utilisation de pluriels = met en valeur la puissance de la nature - Référence aux 4 éléments : terre (montagnes), eau (fleuves), feu (soleil), air (orage, nuées, vapeur) à tout est réuni d’où la référence dans le dernier vers au monde. - « immense » + personnification « face » « front » = pouvoir de la nature et sa grandeur « joyeux », « fête » = aspect festifIII – Son impact négatif sur l’homme- Utilisation

comporte généralement de nombreux rebondissements et quiproquos. Les personnages sont souvent des bourgeois. Cf. Eugène Labiche ou Georges Feydeau. http://www.cafe.edu/genres/n-comedi.htm  Auteurs et oeuvres. Aristophane (-450 à -386, grec), Les Nuées. Ménandre (-342 à -292, grec), L'Arbitrage. Plaute (-254 à -184, latin), Amphitryon. Térence (-190 à -159, latin), L'Eunuque. La Farce de Maître Pathelin (1464, auteur inconnu). Pierre Gringoire (v.1475-v.1538, français), Le Prince des sots.

Gustave Flaubert. Le roman […] est la seule forme d’art qui cherche à nous faire croire qu’elle donne un rapport complet et véridique de la vie d’une personne réelle. Virginia Woolf. La poésie Le poète est semblable au prince des nuées [...] Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. Baudelaire. Tous les grands poètes ont écrit à dix-sept ans ; les plus grands sont ceux qui parvinrent à le faire oublier. Radiguet. Un poète est un monde enfermé dans un homme.

bondit », « on passe », « en avant », « on cours », « une hâte », « la course », « nous courons » mais aussi le champs lexical de la tempête que l'on reconnaît avec « averse de tonnerre » « les souffles », « tempête », « pluie », « tourbillon », « nuées » ou alors celui du volcan que l'on trouve avec les mot suivant « cratères », « laves », « soufrée » et « flamme ». Ces champ lexicaux nous permettent d’interpréter la guerre comme le déchaînement des éléments qui s'abattent sur la terre et dévastent

En effet, les diverses périphrases qui désignent l’albatros tendent déjà à une forme de personnification de l’oiseau : « compagnons de voyage », « rois de l’azur », « voyageur ailé », etc. Ainsi dans la dernière strophe la métaphore « prince des nuées » désigne l’albatros mais pourrait aussi bien s’appliquer au poète. 3) La figure est donc celle d’une comparaison filée qui suggère un parallélisme entre les deux situations, et un jeu de correspondances entre le poète et l’oiseau, que l’on

L’un  agace  son  bec  avec  un  brûle-­‐gueule,     L’autre  mime,  en  boitant,  l’infirme  qui  volait  !           Le  Poète  est  semblable  au  prince  des  nuées     Qui  hante  la  tempête  et  se  rit  de  l’archer  ;     Exilé  sur  le  sol  au  milieu  des  huées,     Ses  ailes  de  géant  l’empêchent  de  marcher.