Les Nuits blanches

classe 11 qui a achevé sa guerre dans l'armée d'Orient. Jamais vraiment remis des années passées au front, il mène dans le Paris des années 1920 l'existence oisive d'un jeune rentier célibataire et séducteur : garçonnière dans l'île Saint-Louis, nuits blanches au Lulli's Bar, soirées mondaines et liaisons sans lendemain. Spectateur désengagé de sa propre vie, il attend sans conviction de découvrir enfin l'objet d'une passion. Cet objet sera Bérénice, jeune épouse d'un pharmacien de province, venue

Dont les flots ne reculent pas ? Ferme tes yeux, tes bras, ton âme ; Adieu, ma vie, adieu, madame, Ainsi va le monde ici-bas. De nos soirs, de notre querelle ? Tu me donnas, je me rappelle, Ton collier d’or pour m’apaiser, Et pendant trois nuits, que je meure, Je m’éveillai tous les quarts d’heure, Pour le voir et pour le baiser. sentiments, le fait que le temps passe, qu’il emporte les souvenir mais point les Ah ! prenez-y garde, marquise, Cet amour-là, quoi qu’on en dise, Se retrouvera

dos. Plus d'un n'avance que contraint. Cependant, si le verbe exprime une idée de réciprocité ou si "plus d'un", répété, sert de déterminant à plusieurs noms, alors il faut le pluriel. Plus d'un médecin, plus d'un infirmier ont souvent passé des nuits blanches. Plus d'un voleur se volent l'un l'autre. Avec "moins de deux" le verbe se met toujours au pluriel. Moins de deux, plus d'un Le verbe qui a pour sujet un adverbe de quantité se met au pluriel (Combien de marins sont partis sans espoir de retour)

Sur les jeunes lèvres décloses ; Il brille, le sauvage Été, La poitrine pleine de roses. Roi superbe, il plane irrité Dans des splendeurs d'apothéoses Sur les horizons grandioses ; Fauve dans la blanche clarté, Il brille, le sauvage Été. Théodore de Banville, Odes funambulesques Nuits de Juin L’été, lorsque le jour a fui, de fleurs couverte La plaine verse au loin un parfum enivrant ; Les yeux fermés, l’oreille aux rumeurs entrouverte, On ne dort qu’à demi d’un sommeil transparent

de frein On se retrouve très vite obliger de le faire sinon on le regrette Les gens qui t’entrainent te motiveront et tu plonges la tête Jamais à cours d’idées comme nos références  On va de cité en cité sur cette même cadence Avec des nuits blanches, des dérapages on se consume Il est temps qu’on s’arrache de tout ce qui nous fume  Mais que vois-je en face de moi ? C’est si déplorable De voir un frère à terre, dis-moi tout et soi raisonnable Qu’est ce qui t’as mis sens dessus dessous

robustesse et de force provenant des racines de l’arbre, comme en FM l’importance de la Tradition à travers le rituel, la perte du rite entrainant une perte d’identité. Dans le même temps, en Provence, la longue table familiale décorée de trois nappes blanches superposées régale famille et visiteurs de douceurs multiples… Autour de ce lieu de rencontre, de partage et de dialogue plus les douceurs ou« calenos » ( en provençal) sont nombreuses , plus l’Année qui arrive promettra d’être riche et fertile

irrégulières et, pour revenir le plus tôt possible devant son écran, il ne prendra pas le temps de se faire un repas sain et santé. La personne négligera son hygiène personnelle, car ceci n’est plus une priorité pour lui. De plus, il passera des nuits blanches à naviguer sur le web. Les impacts à court terme finissent par devenir de mauvaises habitudes de vie de façon à en créer d’autres qui deviendront des impacts négatifs à long terme. L’alimentation irrégulière et non saine ainsi que l’inactivité

ville des » : périphrase typique de la littérature des voyages => met en valeur des stéréotypes sur l’exotisme des pays lointains· Le poète fait appel à notre imaginaire : « mille et trois clochers » => songer aux merveilleuses « mille et une nuits » · « Sept gares » => chiffre hautement symbolique · Moscou symbolise le rêve et le

d’Alfred de Musset ( 1810 – 1857 ). La destinataire de ce poème est une des nombreuse femme à qui Alfred a fait la cour, celle-ci s’appelle Laure. A Laure Si tu ne m'aimais pas, dis-moi, fille insensée, Que balbutiais-tu dans ces fatales nuits ? Exerçais-tu ta langue à railler ta pensée ? Que voulaient donc ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots et ces cris ? Ah ! si le plaisir seul t'arrachait ces tendresses, Si ce n'était que lui qu'en ce triste moment Sur mes lèvres en

maléfique (La belle mère dans Blanche neige). B.L'épreuve initiale: la séparation La plupart des contes de fées commencent par la séparation, qui recouvre mille facettes s'assemblant entre elles. Elle est représentée par la mort d’un parent (celle de la mère de Cendrillon, du père de Blanche-Neige) ou, plus fréquemment, par le départ de l’enfant, soit parce que celui-ci est abandonné par ses parents ou par une autre personne (Le Petit Poucet, Hansel et Gretel, Blanche-Neige), soit parce qu’il fuit