Les Nuits blanches

navires soit à voile, soit à vapeur, venant de tous les coins du monde. Donc, il y a eu un an à l'automne dernier, je fus pris tout à coup de malaises bizarres et inexplicables. Ce fut d'abord une sorte d'inquiétude nerveuse qui me tenait en éveil des nuits entières, une telle surexcitation que le moindre bruit me faisait tressaillir. Mon humeur s'aigrit. J'avais des colères subites inexplicables ? J'appelai un médecin qui m'ordonna du bromure de potassium et des douches. Je me fis donc doucher matin

âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez vostre jeunesse : Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir vostre beauté. Pierre de RONSARD   (1524-1585) Ophélie I Sur l'onde calme et noire où dorment les étoiles La blanche Ophélia flotte comme un grand lys, Flotte très lentement, couchée en ses longs voiles... - On entend dans les bois lointains des hallalis. Voici plus de mille ans que la triste Ophélie Passe, fantôme blanc, sur le long fleuve noir. Voici plus

« les vieux jardins reflétés par les yeux » : les racines familiales, le passé, la civilisation. > la famille d’amont. - le travail solitaire du poète : « ni la clarté déserte de ma lampe » : angoisse de la page blanche, le poète est inhibé par le vide de cette page. « O nuits ! » : la douleur dans l’invocation ; le pluriel mesure le temps écoulé stérilement dans l’élaboration poétique. Cet appel au large est avant tout un besoin de rupture d’où l’indéfinition de la destination, la ligne

mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J'écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang

mon mari et j'en pleure jours et nuits, je me suis venger de tout ce qu'il a pu me faire, mais on m'as forcé. André mon ancien mari ma convaincu de le tué car il me voulait pour lui a nouveaux, et je l'ai écouté au lieu d'écouté mon cœur qui me disait de ne pas le faire. Je crois que si je pouvais retourné en arrière je le ferais car tout sa ma fait trop de mal.  J'ai caché et jeté les indices qui m’inculpe dans cette affaires de meurtres comme la cafetière blanche je l'ai lavé puis rangé car je ne

Le long de cette façade, entre lamaison et le jardinet, règne un cailloutis en cuvette, large d’une toise,devant lequel est une allée sablée, bordée de géraniums, de lauriers-roses et degrenadiers plantés dans de grands vases en faïence bleue et blanche. On entredans cette allée par une porte bâtarde, surmontée d’un écriteau sur lequel estécrit: MAISON-VAUQUER, et dessous: Pensionbourgeoise des deux sexes et autres. » (Extrait du Père Goriot deBalzac.) 2. La fonction symbolique Dire que ladescription

ouvrir; et voir la personne responsable de ces tapotements. D'un coup, une énorme douleur à la jambe me fit écarquiller les yeux et laisser échapper un cris. Mais quel imbécile ! Le responsable de ma douleur, n'était autre que le fautif de mes nuits blanches, soit Dylan. Il venais juste de marcher, sur un siège qui lui c'était appuyer sur un autre qui était le siège qui bloquer mes jambes. Mais fait attention merde! Je vois que tu est toujours aussi aimable que ce matin.. Dit-il en sortant

des couleurs plutôt que la perfection du dessin. Soleils couchants Le soleil s’est couché ce soir dans les nuées ;  Demain viendra l’orage, et le soir, et la nuit ;  Puis l’aube, et ses clartés de vapeurs obstruées ;  Puis les nuits, puis les jours, pas du temps qui s’enfuit ! Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule  Sur la face des mers, sur la face des monts,  Sur les fleuves d’argent, sur les forêts où roule  Comme un hymne confus des morts que nous aimons. Et

grand Colomb, penché sur l’eau profonde, A travers l’Océan crut entrevoir un monde, Les peuples souriaient et ne le croyaient pas. Et pourtant, il partit pour ces lointains climats; Il partit, calme et fort, ignorant quelle étoile Dans les obscures nuits pourrait guider sa voile, Sur quels gouffres sans fond allaient errer ses pas, Quels écueils lui gardait la mer immense et nue, Où chercher par les flots cette terre inconnue, Et comment revenir s’il ne la trouvait pas. Parfois il s’arrêtait, las de

argumenté 1er paragraphe : l’expression des visages Les bouches signifient des cris ou des bouches ouvertes pour soit dire que c’est un mort ou qu’il est étonné puis pour montrer la douleur aussi Les cernes pour montrer les nuits «  blanche » de guet donc de l’insomnie et de la fatigue. On peut voir aussi des gens avec les mains sur le visage pour prouver la désespérance ou pour se protéger ou pour tout simplement ne pas pouvoir voir ce qu’il devrait voir. 2ème paragraphe :