Les Nus Bleu De Matisse

style cubiste, s’affirme à partir de 1907, dans Les Demoiselles d’Avignon de Picasso. Mais c’est en 1908, face au tableau de la Maison à l’Estaque de 1908, peint par Braque (g), qu’est prononcé le mot « cubisme » pour la première fois, sans doute par Matisse. De ce tableau ressortent des couleurs plutôt plates, le dessin et les couleurs sont simplifiés et réduits à l’essentiel, les arbres ressemblent à des cylindres et les maisons à des cubes. A partir de 1909, Picasso ajoutera au cubisme la peinture

par Phidias * Le Parthénon : temple dédié à Athéna (dont la sculpture monumentale autrefois présente à l’intérieur a disparu). Construit en marbre, de dimensions énormes, extérieurement dorique, intérieurement ionique. Murs et reliefs colorés en bleu et en rouge surtout. * L’Erechtéïon : plan complexe, car dédié à trois dieux : Poséïdon-Erechtée, Athéna et Zeus. * Les Propylées : entrée monumentale à façade hexastyle dorique, adaptation à la topographie. NB : les frises du style ionique

l'architecte baroque Francisco Galli, à Barcelone, avec la ferme résolution d'être peintre. Malgré des réticences, son père appuie sa vocation. Il y demeure trois ans durant puis fréquente l'Académie libre du Cercle Saint-Luc, y dessinant d'après modèles nus jusqu'en 19186. En 1912, il intègre donc l'académie d'art dirigée par Francesc d'Assís Galí i Fabra, et y découvre les dernières tendances artistiques européennes. Il assiste à ses cours jusqu'à la fermeture du centre en 1915. En parallèle, Miró suit

Paris a froid, Paris a faim. » (Éluard) Le contenu pour le contenant, ou l’inverse => « Boire une bonne bouteille. », « La salle a applaudi » « Rodrigue, as-tu du cœur ? » (Corneille) L’effet pour la cause ou l’inverse => « Contempler un matisse. » Le lieu d’origine pour l’objet ou la personne => « Du champagne » (du vin de Champagne) L’abstrait pour le concret, ou l’inverse => « Ce pin où tes honneurs se liront tous les jours. » (tes honneurs = les mots écrits en ton honneur) La

Milan, pinacothèque de Brera, détrempe. 3. Saint Martin, XVe siècle, fresque de la cathédrale de Pordenone. La dévotion populaire voyait dans cette représentation très répandue au Moyen Âge la personnification du commandement «Vêtir ceux qui sont nus». La figure 4, qui représente saint Jean-Baptiste, est un texte visuel particulièrement riche en attributs et en significations. Selon l’Évangile, Jean fut le précurseur du Christ, celui qui le baptisa (d’où son surnom de Baptiste) dans les eaux du Jourdain

de la calme majesté des représentations habituelles de son temps, ou du Christ de douceur et d’amour décrit par saint François d’Assise. A l’époque, l’œuvre avait fait scandale, surtout du fait que les quelques quatre cents personnages y figuraient nus, même le Christ. Paul IV songea un moment à supprimer toute la fresque, mais il se contenta finalement de faire voiler pudiquement certains personnages par Daniele da Volterra, qui y gagna le surnom de Braghettone (culottier). Au XVIIe siècle encore

mystère typique du symbolisme. Dramatisation. Moreau semble atteindre une apothéose dans la multiplication des symboles, mais l’œuvre est reprochée comme trop chargée. Artiste admiré par Odilon Redon. Moreau eut d’assez nombreux élèves comme Matisse. Les parcours : recherches plastiques, tel que P et M s’inscrivent dans des visées bien différentes. Dans le formel ainsi que dans les sujets choisis. Cependant ils se rejoignent sur plusieurs points : issus du romantisme avec un modèle commun

[réception écrite] • Lire et comprendre un poème : Le conscrit des cent villages de Louis Aragon Écouter et regarder [réception audiovisuelle] Des musées en région • Regarder et comprendre un reportage audiovisuel sur des musées : 1. Le musée Matisse de Cateau-Cambrésis 2. Le musée d'Art contemporain de Grenoble • Autodictée 29 à 35 Écrire [production écrite] Par la route de Jumilhac... • Comprendre et analyser des textes pour un guide touristique : 1. Jumilhac-le-Grand 2. Centuri • Des

Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine, Qu'ils sont doux, tes pas retenus ! Dieux !... tous les dons que je devine Viennent à moi sur ces pieds nus ! Si, de tes lèvres avancées, Tu prépares pour l'apaiser, À l'habitant de mes pensées La nourriture d'un baiser, Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d'être et de n'être pas, Car j'ai vécu de vous attendre

Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance Procèdent muets et glacés. Personne pure, ombre divine, Qu'ils sont doux, tes pas retenus ! Dieux !... tous les dons que je devine Viennent à moi sur ces pieds nus ! Si, de tes lèvres avancées, Tu prépares pour l'apaiser, À l'habitant de mes pensées La nourriture d'un baiser, Ne hâte pas cet acte tendre, Douceur d'être et de n'être pas, Car j'ai vécu de vous attendre,