Les Officiers En Franc Maçonnerie

LA COLONNE D’HARMONIE Lorsque mon Vénérable Maître m’avait demandé de prendre une responsabilité dans le cadre des officiers dignitaires de ma Loge il m’a proposé la Colonne d’Harmonie. C’était là un défi considérable pour moi qui ne sait pas lire les notes de musique et qui ne connaissait pas le répertoire de la musique classique. Bien- sûr, j’avais quelques disques de musique classique du répertoire le plus populaire, moins pour étudier ce genre de musique, mais pour entendre des sons différents

…) : Officier de la marine Royale jusqu’en 1783, député suppléant sous la Convention en 1792, commissaire prés Barras (1755-1829) de l’armée d’Italie en 1792, membre du comité de la sureté générale en 1794, commandant de la force armée de Paris en 1794, président de la Convention en 1775, général en chef de l’armée de l’intérieure en 1795, membre du Directoire de 1795 à 1799. Actions réalisées : Paul Barras entre dans la marine Royale en 1771 et sert en tant qu’officier à l’Ile de France (île

ratifié :      Il est élu pour 5 ans Les officiers reprennent le contrôle des Loges à la rentrée de septembre Les installations de Septembre servent de filtrage ultime Les FF se soumettent ou se démettent dans l’urgence La confusion juridique est entretenue pendant de nombreux mois  F. Stifani est rejeté :        Il n’est pas élu mais il poursuit les fonctions maçonniques qui ne lui ont jamais été véritablement retirées Les officiers reprennent à la rentrée de septembre le contrôle

1744, indique bien que le Vénérable de la Loge est décoré « d’un grand cordon bleu », mais il précise à plusieurs reprises que « les frères n’ont aucun ornement qui les distingue ». Il faudra attendre la publication du Tuileur de la Maçonnerie écossaise en 1812, pour trouver une référence à un cordon de maître bleu moiré, comportant « au milieu une rosette couleur de   feu,   à   laquelle   est   attaché   le   bijou ». Aucune des gravures maçonniques d’époque n’apporte la moindre

d) Fort de Mirebalais dit Fort Anglais e) Fort de La Roche f) Fort Dimanche -Conclusion Introduction Pendant que se poursuit sur le sol de la France révolutionnaire le débat autour de la déclaration des Droits de l’Homme, l’appel à la liberté retentit partout à travers les plantations de Saint-Domingue. À l’issue d’une cérémonie secrète qui se tient dans la nuit du 14 au 15 août 1791, au lieu-dit

Martin s’appelait 1=3. Elle était tellement caustique pour l’époque qu’il n’ y eut que trois émissions. Pourtant que signifiait ce titre ? Je me suis longtemps interrogé sur le sens à priori absurde de cette « équation » . Il m’a fallu entrer en maçonnerie pour comprendre quelle pouvait en être l’explication bien que je doute que ce soit là que les auteurs aient puisé leur inspiration. Mais sait-on jamais ? Dès lors la question posée appelle une première interrogation : pourquoi travailler d’emblée

d’exiger des serments des citoyens jusqu’en 1848, date à laquelle seul le président le prête « en présence de Dieu et devant le peuple français »….il s’appelait Louis Napoléon Bonaparte, la suite de l’histoire va le rende parjure… Et, dans notre France laïque, la prestation de serment existe encore et correspond à un engagement d’acte comme celui du témoin devant un tribunal, l’engagement de vie comme le serment d’Hippocrate. Avant d’aborder le serment maçonnique je voudrais aborder un serment

fil conducteur de cette saga étant l'histoire des treize : « nom d'une des tribus de Compagnons ressortissant jadis de la grande association mystique formée entre les ouvriers de la chrétienté pour rebâtir le temple de Jérusalem », espèce de franc-maçonnerie exerçant une puissance ne respectant ni l'ordre social tel qu'il est juridiquement constitué, ni la morale naturelle ou religieuse. Les mentions de « treize prêtres venus de diverses paroisses », d’« un convoi où il y avait treize voitures de

Brigades internationales), l'autre, illégitime, entre les Alliés et l'Axe. Selon l'historien américain Robert Paxton, Franco était « d'une hostilité maladive à la démocratie, au libéralisme, au sécularisme, au marxisme et tout spécialement à la franc-maçonnerie ». En revanche, Franco n'est ni fasciste, ni libéral, ni démocratechrétien. Ce militaire conservateur, déçu tout à la fois par Alphonse XIII et par la République. Sa tactique repose sur son prestige personnel. Elle consiste à s'entourer de

Petites Écuries du Roi-Soleil ; aujourd’hui encore, un homme se dégante pour serrer la main d’une femme. C’est en acte de soumission que le gant est offert au roi, au Moyen âge, par ses villes vassales. Lors des cérémonies rituelles du couronnement en France, l’archevêque, en bénissant et en présentant une paire de gants au souverain, lui assure, par ce geste, possession de son domaine et loyauté de ses sujets. En cette période le gant est principalement associé à la noblesse, à la chevalerie ou au haut