Les Officiers Royaux

L’élection royale d’Otton Ier Assurer la succession « Déjà désigné depuis quelques temps comme roi par son père » En Juillet 936, le roi Henri regroupe assemblée à Erfurt, pour les impôts mais cherche le moyen d’assurer sa succession (une dynastie). Il n’a pas partagé le royaume entre ses fils. Henri est le « Père de la patrie » : qui veille sur son royaume et assure une dynastie. Le choix des ducs « Ils le firent roi, selon la coutume ». Les ducs ont un pouvoir de désignation qu’ils

Correction DE LA COMPOSANTE MINEURE Histoire-Géographie. Première question (3 points) : Comment les Capétiens ont-ils agrandi le domaine royal et renforcé leur pouvoir ? 1° C’est surtout à partir du XIIIe siècle que les Capétiens ont agrandi le domaine royal à partir du XIIIe siècle. Comment ? Par : * des conquêtes (Ex la Normandie ou le Poitou) ou des confiscations (par ex. les fiefs des seigneurs félons) ; * des mariages (les dots des épouses : ex. la Champagne en 1284) ; * des achats

L’ostentation permanente de la majesté royale entraîne le développement de la vie de cour. A cet égard, la fin du Moyen Âge représente un moment de transition dans l’histoire des cours européennes, entre les cours « féodales », encore chevaleresques et monastiques des XIe-XIIIe siècles et les cours absolutistes, à la lourde étiquette, de l’époque moderne. L’essor de la vie de cour se marque par : – la multiplication des châteaux et résidences royales (désormais souvent distinctes du siège

permanent I- L’affirmation de la souveraineté royale A- L’indépendance du roi au temporel 1- Le recours au droit romain, le roi est empereur en son royaume, la protestas publica. Il a l’imperium sur tous les hommes de son royaume. 2- Le recours au droit canonique, le roi n’a pas de supérieur au temporel et ce avec la bulle papale d’innocent 3 B- Le démambrement de la curia régis 1- L’autel le roi = Grands officiers et officier ordinaire 2- La curia régis= curia in parlemento

siècle dans le royaume. L’avocat durant la période étudiée est un auxiliaire de justice tout comme les huissiers ou les procureurs. Leurs fonctions judiciaires apparaissent très importantes durant l’époque moderne pour l’affirmation de l’autorité royal et dans le développement des institutions judiciaires. Ils sont très proches du corps des magistrats. Cependant la mise en place de la vénalité des offices restreint beaucoup l’accès des avocats à la magistrature et contribue a faire du barreau et

torture en matière judiciaire, le servage des paysans dans le domaine royal. Promulgue un édit de tolérance des protestants de 1778 et mariage protestant. Qst financière qu’il n’arrive pas à résoudre. Famine entre dans les raisons de la révolte. Guillotiné le 21 janvier 1793. · Historiens décrivent Louis 16 comme honnête mais pas les épaules pour gouverner. Justice structurée en 2 grands concepts : · Justice déléguée  justice royale ordinaire.· Justice retenue justice personnelle du roi retenu dans

l’autorisation de changer de nom ou de prénom. Un arrêté royal autorisant le changement de nom sera publié au moniteur belge. Cet arrêté ne sortira ses effets qu’après 60 jours. Pendant ce délai, tout intéressé à le droit d’introduire une opposition, qui, si le gouvernement la juge fondée, entraînera la révocation de l’autorisation de changer de nom. Le changement de nom ne deviendra effectif qu’à dater de la transcription de l’arrêté royal dans les registres de l’état civil. Par ailleurs une demande

d’Ines de Castro, épouse secrète de l’infant Pedro, assassinée en 1355 sur l’ordre du roi Alphonse IV de Portugal. Après la mort de son père, Pedro monte sur le trône et fit exhumer le cadavre d’Inès et obligea la cour à la reine morte les honneurs royaux. Montherlant s’est aussi inspiré de Francisco Vieira « Inès de Castro » représentant Inès de Castro entourée de ses deux enfants, suppliant le roi du Portugal de l’épargner. - Œuvre isolée La Reine Morte est une œuvre isolée qui n’appartient

observer ici un graphique qui montre l’importante augmentation des dépenses lié au roi, à la guerre La gabelle était perçue par les grenetiers, aussi appelés gabelous qui vendaient le sel dont le prix était fixé par le roi dans les greniers royaux. Cet impôt était très impopulaire car sa collecte était particulièrement arbitraire. En effet sa consommation était fortement taxée et les habitants obligés à consommer un minimum de sel par an. En revanche la gabelle n’était pas imposée dans tout

et non ceux des hommes, et la majorité de nobles ne sont pas « titrés ». De plus certains de ces titres (principalement celui de marquis) sont mis en vente à partir de Louis XIV (1661). Celui-ci pouvait aussi les offrir, notamment aux maîtresses royales. C’est un petit mot placé avant ou après leur nom qui permet aisément de les identifier. En France au XVIIe siècle il s’agit des mots « escuyer » ou « chevalier » pour le degré supérieur. Le rapport avec le métier des armes quand à lui n’est plus