Les Perses Eschyle

banquet réunissant les citoyens. Les pièces de théâtre étaient représentées (disdasco les acteurs enseignent) lors des fêtes religieuses, les citoyens pauvres touchaient une indemnité pour s'y rendre. Les sujets sont moraux, parfois patriotiques : Eschyle (Ασχύλος ἰ ), les P erses (Πέρσαι) en -472 ; ou critiques : Aristophane ( ριστοφάνης Ἀ ), l'Assemblée des f em mes ( κκλησιάζουσαι Ἐ ) en -392. Les funérailles publiques des guerriers morts au combat sont aussi une occasion de renforcer la cohésion

la tradition delphique et antique placent sur une pente où se serait trouvée une fissure naturelle exhalant des vapeurs. Il existe deux grandes traditions quant à l’origine de l’oracle : celle de l’Hymne homérique à Apollon et celle que suivent Eschyle et l’auteur de l’hymne. Selon la première, l’oracle est fondé par Apollon lui lui-même qui fait venir ses prêtres, en détournant un navire crétois. Selon la seconde, l’oracle était d’abord un oracle de la Terre qui fut transmis à Apollon après une

C’est la grde interrogation du 4 et 5ème s avec La politique d’Aristote et La Rép Platon. Une réponse donnée : l’h pô est celui capable de parler à ses concitoyens, c’est un orateur pô. Il faut se mettre ds la situation d’Athène-une cité petite 30 000 pers. Donc la pô se pratique de façon orale. C’est la notion d’éloquence, le fait de parler à la foule qui s’appelle « rhetorikè » : la rhétorique. M suffixe en « ique » donc la spé dans la technique du discours. Le rhéteur= celui capable de parler. L’éloquence

sont; Cléophon les a faits comme ils sont; Hégémon, inventeur de la parodie, et Nicocharis, auteur de la Déliade2, pires qu'ils ne sont. Il en est de même des dithyrambes et des nomes: on peut faire comme Timothée et Philoxène, qui ont imité, l'un les Perses, l'autre les Cyclopes. Enfin la même différence se trouve dans la tragédie et dans la comédie: celle-ci fait les hommes plus mauvais qu'ils ne sont aujourd'hui, et la tragédie les fait meilleurs. CHAPITRE III De la manière d'imiter. Il reste

la langue et les cultes. Cette fragmentation excluait l’unité et compliquait l’action commune. il en résultait un risque normal d’affrontement ou de domination ou de désordre dans la réaction aux agressions. Ainsi pour faire face à l’invasion des Perses, 31 cités seulement sur une centaine ont accepté de s’unir pour contrer le péril extérieur. Sparte continentale était chargée du commandement militaire et Athènes maritime veillait aux manœuvres de la flotte. le péril intérieur est vite apparu aussi

ont passé; les forces souvent semblables des adversaires, des lois communes de la guerre, et comme un minimum d’ humanité en deçà duquel aucune des parties ne pouvait descendre, tempéraient les arrêts de l’ histoire : Carthage ni les Étrusques, les Perses ni les Pharaons n’ entièrement sombré. Les Aztèques eux, ont ont été effacés de l’ histoire en quelques mois; en quelque semaines il en fut d’ comme s’ n’ eux ils avaient jamais été. Tout conjurait à cette illustration exemplaire de la mort des civilisations

permet à l’Occident de se définit par contraste. L’Orient peut alors être vu comme une notion imaginaire et construite en Occident qui ne représente pas une entité géographique mais les propres représentations de l’Occident. Eschyle représentait déja dans sa pièce Les perses les orientaux en figure familière. Dans sa correspondance, Flaubert a propagé le modèle de la femme oriental. il raconte sa rencontre avec une courtisane égyptienne dans un bordel, celle ci ne parle pas et ne montre pas ses émotions

rebondissements. ) Ruy Blas, Hugo ( Décrit ac 2 nombreux détails le palais du roi d’Espagne) Fin 2 Partie, Beckett ( les didascalies sont très longues et constituent 1 véritable narration 2 l’ensemble d’actions répétitives et absurdes 2 Clov). Les Perses, Eschyle ( Tragédie qui raconte le retour du protagoniste après la défaite 2 Salamine. AUCUNE DIDASCALIE) Les Fourberis 2 Scapin, Molière (il y a seulement des didascalies fonctionnelles qui indiquent la présence des persos sur scène : Octave, Scapin…)

l’histoire. Le romancier leur a rendu justice, contre une « histoire des hommes » injuste. Ce fut peut-être déjà le combat d’Eschyle qui, dans les Perses, eut la lucidité extraordinaire d’adopter le point de vue du vaincu – même si c’était pour critiquer son hybris et l’opposer à la sagesse de Darius. Et même plus tard, dans l’Orestie, Eschyle laisse dialoguer les voix de tous les protagonistes, afin que nulle ne soit privée du droit de revendiquer son droit. Erynies ou Athéna, Clytemnestre ou

Homère, Iliade, chant XXIV, v.723-746. Traduction de Bareste, 1843. 2 Eschyle, Les Perses (Ve siècle avant J.-C.) Ô roi Zeus ! tu viens donc de la détruire, cette armée des Perses, cette armée superbe, innombrable ! tu as plongé dans les ténèbres du deuil les cités de Suse et d’Ecbatane3. Combien de mères, de leurs faibles mains, déchirent leurs voiles et baignent leur sein d’abondantes larmes ! Et les femmes perses qui espéraient revoir les époux naguère associés à leur joug ! elles se livrent