Les Personnages De Lorenzo Et Du Duc

longueur. Cette liste des personnages n’offre pas moins d’une quarantaine de noms très divers mais tous ont une consonance italienne. Nous remarquons en outre que Musset a préféré ranger ses personnages selon le rang qu’ils occupent dans la hiérarchie sociale. Ainsi, la liste qui s’ouvre par la mention d’Alexandre de Médicis, " duc de Florence ", immédiatement suivie des noms de Lorenzo de Médicis et de Côme de Médicis " ses cousins ", s’achève par l’énumération de personnages subalternes : un orfèvre

Ionesco, tous représentent un pouvoir exercé par un monarque absolu, un roi ou un empereur. Nous exposerons les différents aspects du pouvoir absolu et abusif. Tout d’abord, nous observerons le désir de puissance des personnages puis les limites de cette puissance. Les personnages de Ubu et d’Egisthe imposent leur tyrannie par une prise illégitime du pouvoir. En effet, Ubu tue Vanceslas et Egisthe assassine Agamemnon. Une fois au pouvoir, ils ont un regard dédaigneux envers les autres. A la scène

Rapport de force entre les deux personnages : - A : Lorenzo et Philippe = Lorenzo a l’avantage sur Philippe, il ne lui laisse pas le choix, il l’informe de son projet d’assassinat du duc de Florence sans lui permettre une quelconque intervention dans l’affaire. Il veut agir seul, que personne n’interfère dans son plan pour le mener à bien et permettre aux républicains, dont Philippe fait partie, de prendre la pouvoir à la suite de la mort du tyran. Philippe est un républicain c’est pourquoi il le

traduit. C'est l'histoire romaine. LORENZO. Je suis très fort sur l'histoire romaine. Il y avait une lois un jeune gentilhomme nommé Tarquin le fils. CATHERINE. Ah ! c'est une histoire de sang. LORENZO. Pas du tout ; C'est un Conte de fées, Brutus était un fou, un monomane, et rien de plus. Tarquin était un duc plein de sagesse, qui allait voir en pantoufles si les petites filles dormaient bien. CATHERINE. Dites-vous aussi du mal de Lucrèce ? LORENZO. Elle s'est donné le plaisir du péché

scène, et peut-être aisément considérée comme un personnage à part entière de la pièce. A travers notre analyse, nous allons tenter de déterminer la place que détient la ville de Florence dans la pièce de Musset. Ainsi, nous remarquerons, dans un premier temps, que la ville de Florence est le reflet d'une réalité historique, géographique et sociologique ; Puis, dans un second temps, nous étudierons les diverses fonctions qu'elle exerce pour les personnages de la pièce. La ville de Florence, dite « la

Premièrement, lamour que Lorenzo porte à la libertéest grand et il aimerait que sa belle citée de Florence soit libre, et non sous le joug de ladictature dAlexandre. Mais ici, lamour nest pas la caractéristique la plus démarquée desthèmes du Romantisme. Tout simplement car cest le plus nuancé, par rapport au mal dusiècle et au mal du moi. Deuxièmement, lamour que porte Lorenzo à Alexandre est spécialet difficile à analyser. Musset essaye de discrètement nous faire percevoir que Lorenzo enest secrètement

Etude de la didascalie des personnages C’est une didascalie initiale très longue, apportant ainsi une multitude de renseignement au lecteur. Une liste d’une quarantaine de prénoms, tous d’origine italienne. Le choix de Musset quant à l’ordre de la présentation des personnages n’est pas habituel. Au lieu d’être présentés selon l’importance de leur rôle dans la pièce, les personnages sont listés selon leur rang dans la hiérarchie sociale. La liste s’ouvre donc sur le duc de Florence, Alexandre de Médicis

une branche cadette, Lorenzo de Médicis (notre Lorenzaccio) lui tient lieu de compagnon de débauche. Quelques aristocrates florentins, qui prônent une république sur le modèle vénitien, tentent en vain de renverser les Médicis lors de rébellions violentes et meurtrière. Celles-ci sont toutes rapidement et durement réprimées. Certains d’entre eux préféreraient, à la domination allemande et papale, une alliance avec la France. C’est le cas de Philippe Strozzi, personnage attesté par l’histoire

semble impossible, le peuple, la bourgeoisie incarné par les marchands, se répandent en lamentations sans oser agir ou comme Philippe Strozzi qui veut agir seulement lorsque ses fils sont emprisonnés «Il faut nous délivrer des Médicis, Lorenzo » (III, sc.3). Ainsi, Lorenzo tend une perche aux florentins en tuant le tyran Alexandre de Médicis, ils leur permettent de se révolter mais au lieu de cela, ils vont jusqu’à le tuer à son tour seulement pour de l’argent. De plus, comme en 1830, la jeunesse se sacrifie

Introduction : C'est la scène initiale ou scène d'exposition qui va mettre en scène deux personnages principaux : le duc de Florence, Alexandre de Médicis et son cousin Lorenzo. Les deux hommes attendent l'apparition d'une jeune fille. Ce passage constitue un dialogue principalement entre ces deux personnages qui se rattache aux critères d'une scène d'exposition et qui va permettre un premier portrait du héros, Lorenzo. Analyse : I) Une scène d'exposition A. Le décor (contexte) Il y a les didascalies