Les Personnages Féminins Dans Le Rouge Et Le Noir

Le  Portrait  Féminin  :  Les  Figures  Féminines  de  la  Chrétienté     Notre   dossier   devant   porter   sur   une   œuvre   de   la   Renaissance   italienne,   une   œuvre   du   XVIIème   siècle   français   ainsi   qu'une   œuvre   contemporaine,   il   nous   a   paru   intéressant  d'aborder  ces  trois  périodes  extrêmement  différentes  artistiquement

1 Marie-Jo Bonnet « Les femmes dans l'art » Ed. de La Martinière pp. 11-18 CH.1 : La préhistoire de l'art au féminin Il y a vingt-cinq mille ans, nos lointains ancêtres sculptaient déjà de petites statuettes féminines dites vénus, voire «vénus impudiques », frappantes par leurs formes féminines disproportionnées. C'était à l'âge de l'Homo sapiens, et, comme l'activité artistique était apparue à cette époque, il va de soi pour les historiens d'aujourd'hui que l'artiste Homo sapiens était un homme

n'échappe pas. Voilà une des clés de cette nature vue au travers d'un tempérament. II- Plan possible : Axe 1 : La vérité des personnages, prouesse illusionniste Georges Duroy, l'arriviste : L'ascension d'un jeune homme sans scrupule : par les femmes tout spécialement (récurrence u 19ème siècle cf. Julien Sorel dans le Rouge et le Noir). Les figures féminines parisiennes : Les actrices (prostituées de luxe) ; Madeleine Forestier, froide et sans illusions ; l'hystérique madame Walter ;

positivisme,qui fait de l’expérience scien- tifique le socle de toute connaissance. Les écrivains travaillent sur les découvertes de la médecine et de la psychologie,Maupassant sur la folie (Le Horla, 1887), les frères Goncourt sur l’hystérie féminine (Germinie Lacerteux, 1865), ou Zola sur les lois de l’hérédité, au fondement de ses Rougon-Macquart (1871-1893), cycle romanesque sous-titré Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire. Les idées clés du réalisme et du naturalisme

l'art antique, l'édifice ancien contribue à donner un ancrage sacré et universel à La Guerre et La Paix, 1er tableau : la Guerre Les couleurs dominantes sont le bleu(pour la paix), le noir (pour l’enfer) et le rouge (sang). Dans l’ensemble le tableau est foncé, les couleurs sont violentes. Sur le sol rouge sang, la Guerre, représentée par une sorte de diable cornu, se déplace dans un char aux roues carrées. Dans une main, un glaive ensanglanté, dans l'autre, une corbeille d'où s'échappent des

Vénus -les orangers fleuris nous indiquent que nous sommes au printemps et plus précisément au mois de mai -les hommes sont placés aux extrémités du tableau, semblant uniquement encadrer les figures féminines -rendu minutieux des détails: il y a plus de 500 espèces de plantes dans ce jardin -le personnage de Flore jeune fille, à droite en robe blanche, devient l'allégorie de Florence -ce sont des fleurs qui sortent de la bouche de Flore, qui se trouve être la nymphe des fleurs des Grecs, lorsque

instrument, a sa propre façon de s’exprimer, qu’on appelle son style. Le style de Léonard se révèle dans son usage particulier du clair-obscur qui adoucit les traits, dans les tonalités estompées des couleurs et dans la variété des mouvements de ses personnages. Dans son style immédiatement reconnaissable, le maître toscan interprète un sujet sacré souvent, traité à son époque en lui conférant, une valeur expressive nouvelle, et donc des significations plus profondes. La représentation de Jésus et des douze

qu’un témoigne de la difficulté à résumer une seule identité, il semble y avoir une multiplicité du moi. Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :· « Le Prince d’Aquitaine » peut faire référence à Édouard Plantagenet que l’on surnommait « le Prince Noir » on y retrouve la couleur du malheur, de la désolation · « à la Tour abolie » la tour n’est pas « démolie » mais bien « abolie », c’est-à-dire entièrement supprimée, mise à néant, on retrouve alors de nouveau cette définition sur le mode négatif,

Arthur JOALLAND HISTOIRE DES ARTS Le Cri d’ Edvard Munch INTRODUCTION Cette oeuvre s’intitule Le Cri , il s’agit d’un tableau de genre Allégorique dont le support est un carton. Une allégorie est un nom féminin qui signifie une autre manière de dire quelque chose, de le montrer avec de images . Ce qui est bien le cas avec ce tableau car c’est une évocation du cri avec la représentation d’une personne en train de crier. Donc une représentation imagée. Elle a été réalisée par Edvard MUNCH en 1893

possible en peinture comme en poésie de recréer l’effet de réel ? Etude du tableau . De son vrai nom " Tableau de figures humaines, historiques d’un enterrement à Ornans ", la toile de Courbet, de dimensions exceptionnelles, L'omniprésence du noir et du blanc La palette, dominée par des teintes pâles ou sombres, est en accord avec cette cérémonie funèbre dans laquelle une communauté villageoise est rassemblée autour d’une fosse pour enterrer l’un des siens. Un travail sur les masses avec l’utilisation