Les Plaideurs Jean Racine

 Introduction Historique Au Droit Bibliographie : Histoire du droit et des institutions dans la France médiévale et moderne (Economie 4, Albert Rigaudiere), Intro historique au droit (Jean-Louis Thireau) Le programme s'étale de la fin Du Vème siècle jusqu'à 1789. On y distingue trois grandes périodes : Première période : 476 - 987 Englobe la dynastie mérovingienne et carolingienne. Deuxième période : Commence en 987 (avènement des capétiens) Début de la période médiévale

religieuse de ce droit, c'est l’ordalie. L’ordalie que l'on appelle souvent jugement divin- est un mode de preuve qui fait appel aux dieux. Quand il n'y a pas d'autre preuve, le plaideur est soumis à une épreuve matérielle destinée à révéler la vérité. En Mésopotamie, l’ordalie prend souvent la forme fluviale : le plaideur doit entrer dans le fleuve et il doit y parcourir une certaine distance. S’il surnage, son innocence est prouvée. S’il coule, cela prouve qu'il est coupable. Voilà un droit qui

- sept 2006) |Question : Quelle caractéristique de la situation théâtrale justifie le rapprochement de ces trois textes ? | |- Racine, Britannicus, II, 4,5 et 6 |Commentaire : Racine, Britannicus, II, 4,5 et 6 (du v.6 « Vous êtes en des lieux tout pleins de sa puissance » à la fin) | |- Molière, Les Fourberies de Scapin, II,6

préciser la notion de souveraineté notamment avec Jean Bodin, la caractéristique majeur de ce pouvoir: faire la loi et la faire appliquer aux sujets qui vivent sur le territoire mais également la rendre en justice aux sujets. La loi va être un élément de la construction de l’état. La chose à exister avant le mot « état ». Il faut attendre le 16è siècle pour que ce vocabulaire soit utilisé. Si sa naissance est assez récente elle a en réalité des racines historiques, juridiques beaucoup plus lointaine

Introduction Historique au Droit. Introduction Droit : racine grecque « recte » peut désigner ce qui est droit → idée de règle. Racine romaine « jus » → idée de justice. De nos jours, tous les historiens s'accordent à dire qu'il n'y a pas de véritable définition du droit. Cornu lie le droit à la règle, il peu désigner la droite conduite dictée par les règles → mais idée de règle ne suffit pas à elle seul pour faire le droit. Pour le romains, le droit est l'art du bon et du jus : « jus

réussi à isoler le droit, c'est-à-dire que Rome va isoler le droit de la religion, la dissociation entre droit et religion apparait pour la première fois. Au départ il n’y avait pas cette distinction, c'est-à-dire que le droit romain plonge ses racines dans la religion, au départ ce sont les pontifes (prêtres) qui connaissent la religion et le droit, on a un droit qui est sacré, un droit qui fait appel aux dieux pour se former. Il faudra prêter des serments. Il en ai de même pour la sanction des

un point commun, leur méthodologie qui consiste en un savoir logique, rationnel et construit. Le Droit est une science parce qu’il repose sur un ensemble cohérent de connaissances, il élabore des constructions intellectuelles à partir des faits. Jean Carbonnier a qualifié le Droit de science de systématisation car le droit permet de classer et de mettre en ordre le savoir juridique. I-La spécificité du Droit 1) Le langage du droit Il existe un véritable langage juridique parce qui emploi un vocabulaire

des gaules puisque pour la periode jusqu’au 9eme siècle, on designait le territoire equivalent par le terme de Gaule. Dans cette gaule, il y a eu plusieurs experiences politiques et religieuses qui vont fonder les racines du futur royaume de francie occidentale. Il puise ses racines dans une triple tradition: * la tradition romaine dans la mesure ou la gaule a été une province romaine * la tradition chretienne car le christianisme se developpe et apparait au cours de l’empire romain

la morale. Autre signe de l’imprégnation religieuse, l’ordalie. Souvent appelée jugement divin, il est un mode de preuve qui fait appel aux Dieux. Le plaideur est soumis à une épreuve matérielle destinée, en l’absence de preuve, à révéler la vérité. En Mésopotamie, elle prend fréquemment la forme de l’ordalie fluviale. Le juge ordonne que le plaideur (le plus souvent le demandeur) aille au « dieu-Fleuve ». « L’ordaliste » entre à pied dans le fleuve et s’y avance jusqu’à une certaine profondeur

en dégageant le notaire de sa responsabilité après avoir constaté la nullité du cautionnement par suite de l'irrégularité du mandat au regard de l'article 1326 du Code civil, et en modulant ainsi les effets de la norme jurisprudentielle selon le plaideur concerné, la cour d'appel aurait 2 introduit une discrimination entre les destinataires de la même norme et violé par là-même les articles 2 et 1147 du Code civil, 12 et 455 du nouveau Code de procédure civile et 6 de la Convention européenne des