Les Points Positifs Dela Chute Du Mur De Berlin

autoritaires en Amérique du Sud. Période propice à la réflexion autour de la démocratie avec la chute du mur de Berlin aussi. On distingue la démocratie originelle de la démocratie moderne, telle qu’elle se met en place avec les révolutions britannique, américaine et française (17ème / 18ème siècles). * La démocratie moderne : régimes libéraux et régimes représentatifs (B. Constant / I. Berlin) 2 traits caractéristiques : ces démocraties sont des régimes libéraux et représentatifs

de recherche est d’essayer d’en analyser une partie : la stratégie de développement de la communauté internationale. A partir du moment où le monde est de plus en plus complexe et ses unités économiques (individus, entreprise, États) sont liées au-delà des frontières géographiques, les décisions en matière économique prises par les institutions économiques internationales revêtent une importance cruciale pour une grande partie de la population mondiale. Cela a été le cas avec le « Consensus de Washington »

processus et le résultat du processus selon lequel des phénomènes de différents ordres (culturel, politique, etc..) tentent de revêtir une dimension planétaire. Il existe une forme d’équivalence entre les notions d’économie et de mondialisation. Au-delà de cette idée toute faite, quels sont les liens qui unissent ces deux notions d’économie et de mondialisation ? Section 1 : la question de la naissance de cette économie que l’on dit mondialisée *      Racine de l’articulation entre le développement

1989 (chute des démocraties populaires) à 1991 (chute de l’URSS). Un nouveau monde émerge Projet de nouvel ordre mondial mais échec. Années 89-91 : fin du monde bipolaire dominé par le couple EU-URSS depuis fin GM2. Cela aurait du être la fin d’un monde bipolaire : tentative de cons° d’un monde multipolaire/multilatéral mais concurrence d’une vision plus unilatérale avec EU hégémoniques. Années 90-91 marquées par la première guerre du Golfe Section 1 : Un monde en transition A) Chute du mur

revenir au système européen traditionnel, tel qu’il existait avant la révolution française, mais en le fortifiant : concert européen. Pour METTERNICH, chancelier d’Autriche, « il fallait restaurer l’Europe de l’équilibre et du droit des gens ». Ce point de vue était partagé par TALLEYRAND (royaliste sous Louis XVI, Ministre des Affaires Etrangères de Napoléon, puis de Louis XVIII, puis ambassadeur sous Louis-Philippe) et CASTLEREAGH. Ce fut ici l’œuvre du Congrès de Vienne, qui redessina la carte

Deutéronome 23,20 il est dit : « Tu pourras tirer un intérêt de l’étranger, mais tu n’en tireras point de ton frère14 ». Par conséquent : « Si tu prêtes de l’argent à mon peuple, au pauvre qui est avec toi, tu ne seras point à son égard comme un créancier, tu n’exigeras de lui point d’intérêt15 ». En tout état de cause l’Éternel dit à son peuple : « Tu prêteras à beaucoup de nations, et du n’emprunteras point 16». Il s’avère, dès lors, clairement que l’Éternel n’interdit pas à son peuple la pratique du

relations? Relations entre sujets censés égaux et souverains. Les Etats sont égaux en droits car ils sont souverains. Il n'y a pas forcément d'égalité de puissance mais une égalité juridique. Les relations internationales sont tous les rapports par delà les frontières → il n'y a pas de relations inter étatiques. Elles ont d'abord désigner l'activité diplomatique des Etats. De manière classique les relations internationales comportaient toutes les relations diplomatiques entre Etats → on accorde une

l’histoire: -L’objet des Relations Internationales évolue avec le temps, en fonction de la période considérée : 1ère période : les relations internationales étaient des relations de voisinages avec les princes, les soldats et les diplomates. -Au-delà de ces figures emblématiques (organisation étatique déjà), il faut évoquer les individus, les particuliers, et a cette époque ce sont les voyageurs, les marchands, les armateurs, les banquiers. -L’objet des RI, à cette période, se tournait exclusivement

établi une classification générale des images et des signes, sans doute la plus complète et la plus variée. C'est comme une classification de Linné en histoire naturelle, ou, plus encore, un tableau de Mendeleiev en chimie. Le cinéma impose de nouveaux points de vue sur ce problème. Une autre confrontation n'est pas moins nécessaire. Bergson écrivait Matière et mémoire en 1896 : c'était le diagnostic d'une crise de la psychologie. On ne pouvait plus opposer le mouvement comme réalité physique dans le monde

certains aspects des faits politiques et des institutions politiques différemment d’autres disciplines comme par exemple le droit Constitutionnel ? Pourquoi la science politique disposerait-elle d’un moyen d’étude des faits politiques différents au point de justifier la construction d’une discipline, la science politique qui, historiquement n’émerge dans se version actuelle qu’à la fin du 19ème siècle, fin de la seconde guerre mondiale ? Réponse à la première question : D’autres disciplines comme