Les Portraits Le Salut

figures presque transparentes. Le synthétisme : Réponse au divisionnisme. Artistes français : Paul Gauguin, Emile Bernard, Paul Sérusier. Caractéristiques : Technique et support : - Huile sur toile Thèmes : - Portraits, scènes de genre avec paysans, thèmes religieux. Composition, dessin, couleur et touche : - Innovation grâce aux estampes japonaises, division de l’image par diagonale. Compo qui va à l’essentiel en éliminant les détails superflus.

les abs qui ternissaient l’image de l’église ; - Jésuites : membres de la compagnie de Jésus ; - Jansénisme : doctrine de Jansénius et de ses disciples : mouvement religieux de ses partisans. - Grâce : don surnaturel que Dieu accorde en vue du salut ; - Apologétique : Discipline de la théologie visant à montrer la pertinence des croyances et des rites d’un groupe religieux. Préambule points principaux à mettre en valeur I- Qui est Pascal ? II- Comment désigner le texte et quel statut lui

Bernard GRASSET Edition : année 1848 Collection : livre de poche Couverture : Félice Cascrati, double portrait Page : 236 Fiche de lecture vipère au poing de Hervé BAZIN 1) Présenatation de l’œuvre Titre de l’œuvre : vipère au poing Auteur : Hervé BAZIN Editeur : Bernard GRASSET Edition : année 1848 Collection : livre de poche Couverture : Félice Cascrati, double portrait Page : 236 Fiche de lecture vipère au poing de Hervé BAZIN 1) Présenatation de l’œuvre Titre de

La présentation à la COUR ou le premier portrait de la princesse de Clèves Tome I  Lecture texte Commentaire de l’extrait : Y a-t-il des ressemblances entre le personnage de la Princesse de Clèves et son auteur Madame de Lafayette ? On pourrait le penser ! Toutes deux ont perdu leur père à quinze ans, ont épousé, par mariage arrangé, un homme estimable. Elles furent toutes deux éprises, hors mariage, d’un duc : le duc de Nemours pour la princesse et le duc de La Rochefoucauld pour Madame

étourdit les imbéciles [...], Van Ostade, Van Craesbeek me séduisent." En 1849 ,Courbet reviens à Ornans . Inspiré par son terroir, il crée un style qu’il qualifie lui-même de réalisme. La légende de Courbet est formée. Rassemblement de portraits (Les habitants d'Ornans, du maire au fossoyeur, ont posés), l'Enterrement sidère par sa vérité autant que par son format. Un épisode banal est traité avec le même soin et la même attention psychologique que le Sacre de Napoléon par David

du mouvement réaliste, il en publie le Manifeste. Volontiers provocateur et arrogant, il s’attire de violentes haines mais aussi de sincères amitiés : Bruyas, qu’il rencontre au Salon de 1853, Baudelaire, avec lequel il collabore à la Revue Le Salut Public en 1848. Démocrate et républicain, il participe à la vie politique de son temps. Emprisonné en 1871 pour avoir provoqué comme membre de la Commune, la destruction de la colonne Vendôme, il meurt très affaibli, exilé en Suisse. 1819 : naissance

Stefan Zweig, Le Joueur d’échecs Présentation de l’intrigue Écrit en 1942, Le Joueur d'échecs est le dernier roman de Stefan Zweig qui, ne voulant pas assister à l'enlisement de l'Europe dans "la longue nuit" du nazisme, se suicida quelques mois après. L'écrivain autrichien raconte comment, au cours d'une croisière, deux joueurs d'échecs que tout oppose s'affrontent. D'un côté, Mirko Czentovic, champion du monde des échecs, joueur dénué de toute intelligence et de toute imagination, mais

s’érige comme un Robin des Bois contemporain. De plus, quand il aperçoit Dorine, il lui demande expressément de couvrir sa poitrine car, en tant que fervent religieux, il se refuse à se laisser aller au péché charnel. 3) Acte II, scène III. Quel portrait Dorine fait-elle du Tartuffe ? Comment utilise-t-elle les procédés de la tonalité comique pour y parvenir ? (3 – 5 lignes) (1 point) Dorine dépeint un personnage loin de celui qu’Orgon défend. Elle montre Tartuffe comme un goinfre effréné, un homme

On peut donc se demander comment Victor Hugo à travers le portrait de Jean Valjean nous fait ressentir l’horreur engendrée par la misère dans ce texte ? Ainsi, nous verrons dans un premier temps en quoi le portrait donne une indication sur la misère ; puis nous étudierons la situation misérable du personnage.Au commencement de ce texte, l’auteur décrit celui qui sera Jean Valjean de manière

entend à la fois « rat » qui a une connotation péjorative mais aussi une rime en –ac renvoyant au nom de l’auteur Balzac. Il lui donne aussi un portrait physique et moral, Victor Hugo dans « les misérables » décrit avec précisions le personnage de Jean Valjean (sa taille, son aspect physique, ses vêtements…), dans « Napoléon le petit », Hugo dresse un portrait moral de son personnage grâce a de nombreux adjectifs péjoratifs qui le font paraitre comme une sorte de pantin. Le romancier pour créer son