Les Poètes Léo Ferré

poésie. Suppression de la ponctuation, vers libres, calligrames. Après le traumatisme de la 1 ere guerre mondiale, le dadaïsme, initié par Tristan Tzara, se livre à une démolition du langage pour exprimer sa révolte. Celle-ci est reprise par les poètes surréalistes : Breton, Aragon, Eluard. Avec des peintres : Dali, Magritte, des photographes, Man Ray, ils vont s'appuyer sur l'inconscient et libèrent la parole poétique à travers l'écriture automatique ( dictée par l'inconscient ) ( ex : Robert

poèmes intitulé La mort.5 En 1862, après avoir reçu son bac sans particularité, il passe une partie de ses vacances chez sa cousine Elisa, déja mariée, et tombe amoureux d'elle.6 Il s'inscrit ensuite en droit mais préfère fréquenter les cafés et les poètes.7 En 1863, son ami Louis-Xavier de Ricard l'initie à l'art des "parnassiens" (qui s'opposent au romantisme) et, deux ans après, il est déja lancé dans la littérature.8 Son père meurt en 1865.9 Chez Alphonse Lemerre, il collabore au premier parnasse

impose ses propres buts. À une époque où on était tout de suite censuré dès que l'on touchait à la justice, il fut donc difficile de répandre cette idée dans la société mais certains philosophes voir même poètes n'ont pas eu peur de donner leur opinions. Prenons le cas de la chanson de Léo Ferré. Chanson anarchique qui dénonce la peine de mort et récuse toute forme de pouvoir, religieux, politique ou social en reprenant la devise de Louis Auguste Blanqui, "Ni Dieu, ni maître". Cette chanson, née en

acquièrent des connaissances biographiques sur Verlaine en échangeant des informations qu'ils se sont procurées auparavant grâce à des recherches personnelles. Outre les informations culturelles sur le 19e siècle, les élèves découvriront aussi quelques poètes parnassiens, proches de Verlaine. Le parcours de poésie s’achèvera par la présentation du film « Eclipse totale » où les élèves trouveront des parallèles avec la scène qu’ils avaient élaborée lors de leur jeu de rôle. A l’aide des informations

propos des poètes  : « Ils parlent en effet, non en vertu d’un art, mais d’une puissance divine ». Au xvie siècle, la Pléiade reprendra cette perspective et Ronsard écrira ces vers dans son Hymne de l'Automne : « M’inspirant dedans l’âme un don de poësie,/ Que Dieu n’a concédé qu’à l’esprit agité/ Des poignants aiguillons de sa Divinité./ Quand l’homme en est touché, il devient un prophète ») et c’est dans cette lignée que s’inscriront les poètes romantiques et après eux Baudelaire et les poètes symbolistes

français de 1930 jusqu'à sa mort. Avec André Breton, Paul Éluard, Philippe Soupault, il fut l'un des animateurs du dadaïsme parisien et du surréalisme. À partir de la fin des années 1950, nombre de ses poèmes ont été mis en musique et chantés (par Léo Ferré et Jean Ferrat notamment), contribuant à faire connaître son œuvre poétique. La première chanson tirée d'une œuvre d'Aragon date de 1953 : elle est composée et chantée par Georges Brassens et a pour paroles le poème paru dans La Diane française en

diront la plupart, mais cette anthologie nous permettra de démontrer que les poètes et chanteurs ont parfois réussi à s'approprier la force des vers et des rimes, afin d'en faire leurs armes, leurs boucliers contre ce fléau qui a toujours menacé de réduire la parole des poètes au silence.  Cette lutte, au cours de l'histoire littéraire, contre une fin aussi inévitable que méprisable, a souvent été jugée vaine par la poètes qui s'abandonnent, pour les uns, à sa fatalité. D'autres choisissent plus rarement

Apollinaire. En analysant ce poème, nous pouvons relever différents thèmes. Premièrement, nous relevons la thématique du sapin et le thème de Noël. En ce rapprochant, nous pouvons constater un double sens : les sapins sont représentatifs pour les poètes et leur place dans la société. En dernier lieu, nous pouvons évoquer la thématique de la fuite du temps souvent évoquée dans les poèmes de Guillaume Apollinaire. 2) Désormais, nous analyserons la représentation et la symbolique des sapins.

lecteur sur la cause défendue. Effectivement, de nombreux poètes estiment qu'ils ont un rôle à jouer dans la société et se font les porte-paroles des opprimés et des persécutés. La poésie est une arme virulente dans le combat contre les injustices et les horreurs du monde. Au XIXe siècle, Victor Hugo attribue aux poètes un rôle de guide menant les hommes vers le progrès. Au cours du XXe siècle, la poésie suit le cours de l'Histoire et les poètes prennent position dans les grands combats qui agitent

françaises, 1922-1951) et l’ouverture au monde moderne avec Émile Verhaeren (Les villes tentaculaires, 1895 ; Toute la Flandre, 1904-1911). Charles Péguy Dans les mêmes années, des voix singulières se font entendre avec ceux qu’on a appelé « les Poètes de Dieu » comme Charles Péguy avec son inspiration patriotique et religieuse et la force d’une poésie simple (Jeanne d’Arc, 1897 - Tapisserie d’Ève, 1913), ou Paul Claudel avec sa quête spirituelle exprimée à travers l’ampleur du verset (Connaissance